Finalement, le voyage à bord du Central boat, le bateau sur lequel nous voyagions, c’étais passer dans un profond sommeil. Je n’avais pus toléré les mots de cœurs qui me prenaient, donc Sir Arthur a usé d’hypnose pour que je m’endorme durant les quelques jours sur la barque prénommer Central boat, me réveillant de temps en temps pour prendre un bouillon préparer par Maria. Lorsque je fus totalement réveiller et que nous étions désormais sur terre ferme, un coché nous attendais. Quelques personnes nous dévisageaient, mais nous n’y portions aucune attention.
Je me doutais du fait qu’ils connaissaient mon père et donc, ils pouvaient très bien avoir entendu parler de sa fille cadette.
Il nous restait un bon trajet à parcourir avant d’arriver au manoir de Froet. Maria décida d’arrêter dans un petit bar près du grand lac, pour y prendre quelques boissons. J’étais un peu étonné de découvrir ma domestique personnelle, prendre de l’alcool. Bref, Sir Arthur accepta sans ce faire priez, contrairement a moi, John et George.
Le carrosse nous y emmena et nous y passions quelques heures.
-Il se fait tard, non? Ne devrions-nous pas commencer le trajet? Demandais-je
-Oui, je suis tout à fait d’accord avec Abby, m’approuva George.
Maria commanda quelques bouteille de vin du coin, et quitta sans payer, offrant l’opportunité a Sir Arthur d’agir en gentleman et de payer a sa place, ce qu’il fit sans hésitation.
-Maria, n’abuse pas de se pauvre Sir Arthur, lui dis-je pendant qu’elle s’assit dans le carrosse qui nous attendais toujours.
-Abby, il s’est proposer a bord du bateau, il faut tout de même savoir profiter d’une bonne bouteille de vin. De plus, le notre est le meilleur!
John, Sir Arthur et George venaient de s’asseoir à leurs tours.
Sir Arthur sortit la tête de la fenêtre et expliqua au cochet les indications pour se rendre au manoir. Quelques secondes plus tard, le carrosse se mis en marche et les chevaux avançaient. Tout au long du trajet, George parlai de sa patrie et de la guerre qui menaçait a tout instant d’éclater, Sir Arthur approuvait de temps en temps jetais un regard vers Maria. Celle-ci avait la tête à moitié sorti du véhicule et menaçait à tout moment de déglutir la boisson qu’elle avait pus boire quelques heures plus tôt. Finalement, John me tenait la main et moi, je fixais les montagnes et rochers par lesquels nous passions. Il fallait que je dise à John que je l’aimais, et a n’importe quel prix.
La lune brillait déjà haut dans ce ciel étoilée. Quelques nuages cachaient les sommets des montagnes. Je pouvais constater que nous étions près du manoir, car certaines lucioles dansaient aux travers de buissons et arbres. Le chemin se faisait de plus en plus rocailleux. Nous étions enfin dans nos montagnes. L’odeur étais fraîche et remplissait nos poumons au contraire de l’odeur renfermer de Londre. Tout était étouffant en ces lieux.
L’odeur des sapins se faisait de plus en plus présente, ce qui était agréable.
-Quel jolie pleine lune…Dit John d’un ton de voix peu élever, de sorte que notre conversation ne dérangerais pas George.
- En effet. Elle semble un peu plus claire qu’a Londre.
-Cette fois... Je ferais connaissance avec ton père…
-Oui…
-En tant que domestique personnel de mademoiselle Élizabeth Sceletoon. Riait légèrement John.
C’était étrange d’entendre mon nom complet, prononcer par John.
Le cocher arrêta brusquement le carrosse. Il nous fit descendre a la hâte, laissant sur le parterre de l’entrer du manoir, nos valises et partie aussi vite sans réclamer son dus.
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Une histoire de Sceletoon
VampireNe vous fiez pas aux histoires de vampire traditionnelle car celle-ci est loin d'être comme les autres. Élizabeth Sceletoon, Jeune demoiselle de 16 ans, deviens officiellement l'une de sa famille. Elle deviens Vampire. La mort prématurer de sa mèr...