Chapitre 9

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Je me réveillai dans une grande pièce, couché dans un grand lit baldaquin aux couleurs de vert anglais et vert avocat. Cette chambre, je la reconnaissais. Lorsque je venais passer quelques temps chez ma Tante Marie, mes appartements étaient situés ici, au troisième étage. La question qui me passait par la tête étais : comment ais-je fais pour m’endormir ici. Ces alors que les images de la nuit dernière se bousculaient, l’une a la suite de l’autre, dans ma tête. John qui m’avait sourie, ce sourire qui m’étais si doux, m’avais raccompagné, ou plutôt dire, m’avait transporté jusqu’au troisième étages, tel une princesse. C’était, je dois l’avouer, embarrassant, mais j’étais tout de même reconnaissance. J’avais du m’évanouir à savoir tout ce qui s’étais passé la nuit dernière.

Justement, je n’étais pas certaine d’avoir tout compris. Je décidais soudainement que je n’arrivais pas à mettre mes idées au clair car j’avais faim. Effectivement, mon ventre me grondait de ne pas avoir mangé de la soirée. Finalement, j’aurais surement du gouter au thé que maria avais préparé la veille. Je sortis du grand lit baldaquin et me dirigea vers une grande armoire. J’ouvris les deux porte qui étaient surmonter de deux grand miroir, et vit toutes les robes que j’avais dans mes bagages, accrocher. Qui aurait pu le faire a ma place? Je rougis a l’idée que cela aurais été John. On ne doit pas se cacher le fait qu’il est supposé être mon domestique personnel, mais aurait-il été au point d’agir de la sorte? Bref, je me poserais les questions plus tard, car j’avais un terrible mal de vente, tellement j’avais faim. Je décidai de prendre une petite robe légère. Une robe de ‘campagne’ m’aurais dit ma Tante Marie. C’est une robe qui n’a pas de corset et ou elle termine au bas des genoux. Celle que j’avais décidé d’enfilé étais d’un jaune discret avec des fleurs imprimé. Plus précisément, des marguerites.  J’enfilais mon choix et descendit. Il était tôt et cela expliquai pourquoi il n’y avait que des servantes et des domestiques. Lorsque je dévalai les marches, Sir Arthur m’arrêta.

-Vous êtes déjà réveiller? Lui demandais-je

-Bien sur. Il me prit le bras et m’obligea à monter les escaliers vers mon point de départ.

-Sir Arthur, j’ai faim, ne pourrait-tu pas me laisser aller a la cuisine? Lui demandais-je doucement.

-Hmpf. Étais tout ce qu’il m’avait répondu.

Il avait retrouvé sa froideur, remarquais-je, pas comme la veille.

Il entra dans mes appartements et ouvrit sans gêne l’armoire emplis de mes vêtements.

-Ne te gêne surtout pas! Lui dis-je.

-Ne t’en fait pas pour moi!

Il sortit une robe d’un rose framboise. Elle était si longue qu’elle trainait un peu sur le plancher. Elle avait un corset de couleur rose thé qui s’arrêtait sur le bas de la poitrine et ceux-ci étaient retenus que d’un simple tissu. Les manches n’étaient guères longue et ne commençais même pas aux épaule, mais plus bas. La robe était définie par des roses éparpillé un peu sur le bas du corset, ainsi que sur le haut, mais en l’occurrence, les roses n’étaient pas totalement ouvertes. Sir Arthur me sortit un collier que l’on serra autour du cou, assez que l’on aurait la sensation d’être presque étouffer. Le collier était noir et ornée du signe des Sceletoon : une rose suivi d’une tige. Il me lançait les vêtements et me poussa dans la salle de bain. Je dus me résigner car j’avais trop faim et mis la robe.  Après quelques minutes de tentative de discuter avec celui qui m’avais enlevé du paradis qui m’avais été offert, C'est-à-dire la cuisine, je sortis. Quelqu’un me siffla, mais ce n’étais pas Sir Arthur. Cette personne étais derrière moi et étais en train de me suspendre le collier au cou. Les mains étaient étrangement familières et froide. Je me retournai et fut surprise d’apercevoir Jeremy.

Une histoire de SceletoonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant