Chapitre 18

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Le lendemain Rosie n'était sortie de sa chambre que pour le petit déjeuner, au cours duquel elle avait su
beaucoup de choses concernant le déroulement de leur voyage. Elle avait pris qu'ils ne passeront que cinq jours ici à New-York. Durant tout le temps du déjeuner elle n'avait pipé mot par peur de le vouvoyer et d'être punie même si elle aimait sécrètement cela. Après le petit déjeuner, elle lui avait proposé de faire la vaisselle même si il était contre cela, il avait finis par accepter mais à condition qu'elle mette juste les assiestes dans le lave-vaisselle. Mais elle avait fait tout le contraire, elke les avait nettoyé seule, tout cela pour avoir un peu de temps pour elle.

Elle ne voulait pas être dans la même pièce que l'homme à l'origine de ses tourments et surtout à cause du jeu qu'il avait instauré pour qu'elle remède à son vouvoyement. Mais cela n'était pas de sa faute elle ne trouvait pas le courage et la force de le tutoyer et de l'appeler par son prénom.
Elle avait passé la majeur partie de son temps à lire le roman qu'elle avait rapporté du manoi. C'est vers 17h qu'elle s'était souvenu du dîner d'affaires qui aura lieu ce soir donc elle devait se préparer sinon elle risquerait de l'énerver plus que ce qu'il est déjà après s'être rendu compte de son manège.

De son côté Alexano était frustré et énervé par l'attitude de la jeune femme. Il avait compris son manège, elle le fuyait ouvertement et il n'en connaissait pas la cause. Peut-être pour le jeu qu'il installait ? C'était un jeu dangereux et il le savait, elle le rendait fou, il brûlait de désir pour elle. Il savait qu'il allait perdre à son propre jeu. Mais il se devait de le faire pour la booster un tout petit peu.

Pour ne pas aller la chercher dans sa chambre il avait préféré s'enfermer dans son bureau pour travailler. Il se forçait pour être concentré car ses pensées étaient rivées vers cette délicieuse demoiselle.

Rosie Owen

Elle le rendait fou, tout ce qu'il voulait était de l'avoir à ses côtés. Il voulait constamment qu'elle soit auprès de lui et à ses côtés il ressentait une sensation de bien-être. Elle était devenue un besoin vital. Son besoin vital. Il rêvait d'elle toutes les nuits, il faisait des rêves torrides tous les soirs, des rêves où il caressait sa peau laiteuse...

Il jetta un coup à la montre sur son poignet et se rendit compte qu'il ne lui restait qu'une heure et demie pour se préparer afin de se rendre à son dîner d'affaires. Il referma d'un coup sec son ordinateur et sortit d'un pas fouribond de son bureau. Il se rendit alors dans sa chambre pour se préparer. Il prit une douche froide, glacée pour se remettre les idées en place...

Une fois habillé il descendit les escaliers pour rejoindre le salon. Il se rendit compte que la jeune femme n'était pas encore prête alors il se dirigea vers le bar pour se servir un verre de cognac tout en consultant ses mails. les bruits des talons claquant sur le sol firent pivoter Alexano qui l'attenait près du bar. Relevant lentement le regard, il la détailla de haut en bas... Elle était habillée d'une élegante robe blue marine qui lui arrivait aux chevilles mais qui mettait parfaitement chaque courbe de son corps en valeur. Ses longs cheveux ebènes étaient tressés sur le côté, tenant son manteau au bras... Elle est juste splendide, songea-t-il alors que un désir violant lui comprimait les muscles. Il but d'un trait son cognac et déposa le verre violemment pour afin se concentrer sur la jeune femme.

Elle le regardait toujours timidement mais dans son regard une lueur y brillée. Elle s'avança timidement pour s'arrêter devant lui mais cette fois-ci ne baissa pas le regard.

- Tu es ravissante Rosie, la complimenta-t-il

Elle lui sourit simplement ne disant rien. C'est alors qu'elle remarqua qu'il était beau et diablement sexy dans son costard noir. Le poids de son regard la fit rougir qu'elle dut baisser le regard et le relever.

L'impérieux milliardaire (Tome 1 des frères Calderini) En réécritureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant