Fruits basket fanfiction (Arrêté)

Chapitre 30

Lorsque j'entrais dans la chambre de Tohru, je remarquais qu'elle était toujours réveillé et qu'elle semblait m'attendre.

Quand elle vit mes yeux rougit par mes pleurs elle s'approcha de moi et me fit un câlin. Honnêtement j'avais vraiment besoin du réconfort d'une amie en ce moment, et Tohru dégageait quelque chose qui met les gens facilement en confiance. Mes larmes commencèrent à rouler de nouveau sur mes joues sans que je ne puisse malheureusement les contrôler. Je me dégageait néanmoins car malgré mon état actuel, on ne pouvait pas dire que j'appréciais particulièrement les câlin.

Tohru me fit un sourire qui se voulait rassurant et je le lui rendit, signe que, j'allais mieux. Elle ne me demanda pas ce qu'il s'était passé pour que je sois dans cet état et cela me rassurait, en quelque sorte. Alors je me mis en pyjamas et je sauta sur mon lit qui semblait m'appeller. J'avais grand besoin de sommeil. Tohru aussi retourna dans son lit, non sans éteindre la lumière au passage et de me souhaiter une bonne nuit.

Malheureusement, ce que j'avais assez facilement prédit arriva, au fur et à mesure que je sombrais dans un profond sommeil, mon esprit commença à assembler peu à peu des images de mon enfance, pour en faire un horrible cauchemar...

- Maman ! Moi aussi je veux aller au parc d'attraction !

La petite fille regardait sa mère de ses petits yeux pétillant. Cette enfant, voulait absolument accompagner son père et son frère au parc d'attraction, mais la mère ne semblait pas du même avis. Celle-ci s'approcha de sa fille, et la gifla. Ce geste eu pour effet de balancer la petite fille au sol, qui releva la tête, les yeux ruisselant de larmes. La femme regarda sa fille avec un air dur.

- Comment ose-tu me demander ce genre de chose avec les notes que tu nous ramène ! Tu n'est qu'une déception à nos yeux, et tu en resteras une jusqu'à la fin de ta vie !

Sur ces mots, l'horrible femme sortit de la pièce dans laquelle elles se trouvaient, laissant derrière elle sa fille, assise sur le sol, la main porté à sa joue encore rougie par la force de la gifle. La petite fille fut tellement triste, que son corps se changea en un tout petit écureuil. Ce petit écureuil sauta par la fenètre ouverte afin de sauter sur la branche du peuplier qui se trouvait là.

Passons donc à quelques années plus tard, La petite fille qui avait autrefois 5 ans, en as maintenant 8...

Une petite fille entra dans le bureau de ses parents, elle n'avait évidemment pas le droit de se rendre ici, mais la tentation de désobéir était trop grande. Elle se dirigea vers un tiroir qui semblait fermé à clef, seulement, la petite savait où se trouvait cette clef, alors elle se dirigea vers un vase qui traînait là et fouilla un peu dans la terre afin d'en extirper une petite clef de la taille des tout petit doigts de l'enfant. La petite fille essuya ses mains pleine de terre sur sa robe bleue ciel en faisant une grosse tache marron sur celle-ci, mais l'enfant n'y fit pas attention et introduisit la clef dans la serrure du tiroir.

Celui-ci contenait plusieurs feuille que la petite fille sortit, quand elle entendit la porte s'ouvrir, elle s'empressa de fermer le tiroir en prenant toutes les feuilles, et elle se cacha sous le bureau.

- Non elle n'est pas ici, et je ne vois pas ce qu'elle foutrait là cette sale gamine.

C'était la voix bouru d'un homme qui claqua la porte après avoir balayé la pièce du regard. La petite fille quand à elle était resté silencieuse, bien qu'elle savait que la «sale gamine» en question c'était belle et bien cette enfant.

Elle compta jusqu'à dix en fermant les yeux avant de sortir de sa cachette non sans jeté un coup d'œil à la porte. Avec agilité, elle ouvrit la fenêtre et sauta sur un arbre en tenant les feuilles fermement contre elle. L'enfant passa rapidement sur d'autres branches afin d'atteindre facilement la fenêtre de sa chambre. Une fois entrée, elle sauta sur son lit et se cacha sous la couette afin de lire tranquillement les feuilles qu'elle avait voler à ses parents.