Dans le chapitre précédent : *PDV ELBIO* « Charles : Monsieur Elbio, votre père vient de rentrer. »
-Dit-t-il avec un petit sourire attristé.
Je me portais très bien sans cet enculé.
« Moi : Revoilà ce batard. »
Je descends l’immense escalier, en trainant les pieds. En bas, j’y aperçois mon père devant l’entré.
« Adam : Ne traîne pas les pieds, je te l’ai déjà dit. Comment voudrais tu que je te donne mon entreprise si tu ne sais même pas montrer ta motivation envers ton père.
Moi : Désolé père.
Adam : C’est pas grave, j’ai l’habitude avec toi et tes caprices. »
Salopard. Le repas se fait en silence, jusqu’à ce que je remonte enfin dans ma chambre au troisième étage, lui adressant aucun regard.
Puis après ça, je me connecte sur Facebook. Je suis loin d’être un mordu des réseaux sociaux, mais ça m’arrive d’y aller de temps en temps vite fait pour voir la misérable vie des autres. Remarque, la mienne n’est pas vraiment meilleure. Et c’est là que je tombe sur cette affreuseté. Oh mon dieu, je vais le tuer.
Fin du rappel ***************************************
« N’oublie jamais ça, le courage, le vrai courage, ce n’est pas de savoir quand supprimé une vie, mais savoir quand en épargnée une» -the hobbit
Beaucoup de gens aimeraient avoir ce que les supers héros ont. Les films aident les gens à oublier leurs problèmes pour s’imaginer autre chose. Comme-ci c’était le cas. Comme-ci des personnes pouvant avoir des pouvoirs tel que la télépathie, le feu, la glace, pouvaient exister.
Pour ma part, j’ai toujours su mettre une barrière entre la réalité et le surréalisme. C’est vrai, qui n’aimerait pas croire à ces histoires ? Tout le monde, mais ce n’est qu’un stupide rêve. Je ne crois qu’en ce que je vois.
En revanche, ce que je vois c’est que ce monde est pourri, pauvre et triste. Les gens d’aujourd’hui ne comprennent rien, veulent juste se monter un peu plus haut en grade dans cette société à perte. C’est triste pour eux. Pour moi, c’est juste des histoires d’enfants. C’est vrai, cette situation convient parfaitement à une cour de récréation de primaire, quand une personne veut se mettre au dessus des autres. « Le roi de l’école. »
Je me réveille sous le bruit incessant des oiseaux.
6heures. Oh mon dieu ? Six heures ? Ils veulent ma mort à me réveiller aussi tôt ? J’ai peut-être 30 minutes de route d’ici à mon École, mais quand même. Pourquoi ne pas non plus me faire réveillée à 4 heures ? Génial, je suis de mauvaise humeur. Mon premier pied posé au sol est le gauche. Non pas que je sois superstitieuse hein, rien de ça. Je prends ensuite ma douche et juste après ça devant mon miroir, j’admire mes cheveux. Pour essayer de faire un peu oublier ma touffe blonde, j’ai opté hier pour une teinture de mes cheveux. Un tye and die où le haut est violet clair, et plus on descend sur la longueur de mes longs cheveux plus ce violet s’assombri. C’est un peu comme ça que je vois mon parcoure.
Au début, tout est beau, tout est simple et clair. Et plus je grandis et plus j’avance, plus les obstacles de la vie me freinent et m’emmène dans cette spirale infernale qui est la haine. C’est ce que représente le violet très foncé vers les pointes de mes cheveux. Oui, tout ce que je fais sur mon corps à un sens. Si je fais un tatouage je ne prendrais jamais un symbole au hasard car il est joli, non, je le prendrais car il représente quelque chose dans ma vie.
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Je t'hais (me)
JugendliteraturInsouciante, manipulatrice, coléreuse, rancunière, égoïste, satirique, sarcastique, narcissique, vulgaire, arrogante, mais seulement et uniquement : Haineuse. Elle fut, elle est, et restera surement la même. Détestant tout ce qui bouge, se servant d...