L'oméga femelle [ EN PAUSE]

découverte surprise

J'ai réussi à rentrer avant tout le monde, il est 13 heures et la chaleur est à son comble dans ma buanderie ou j'ai repris place car je mis sens plus à l'aise.
À peine sorti de la douche ou j'ai pris plaisir à lavé mon corps en repensant à ma douce aventure d'il ya une heure je souris bêtement en revêtant une de mes longues robe, je suis au comble du bonheur mais j'aimerais tellement être avec lui en ce moment pouvoir l'embrasser et même refaire l'amour avec lui (｡・//ε//・｡).
Certaine d'être seul dans la maison je m'aventure dans le salon de style japonais, c'est peut être ma seul chance d'être seul dans cette maison avant longtemps je dois en profiter pour trouver mon acte de naissance original sinon je pourrais pas être totalement libre, je fouille les tiroirs les armoires sous les tapis mais rien, je monte à l'étage où je fais pareil veillant toujours à bien remettre tout comme j'ai trouvé mais rien, j'ai fouillé toute les chambres je n'ai même pas trouvé un petit papier je m'allonge sur le sol dépité et regarde fixement le plafond de la chambre de mon père qui est la plus rangé et entretenu de la maison, et la mon regard se fige, très finement dissimuler il y'a une petite trace d'ouverture presqu'impossible à voir si on ne fait pas attention sur le plafond, machinalement je me jette sur la chaise de son bureau qui est dans sa chambre et grimpe dessus pour atteindre l'ouverture que je pousse avec délicatesse, c'est un contreplaqué peint en blanc qui servait de camouflage à je ne sais quelle choses appartement à mon père et qu'il cache même à sa chère et tendre épouse.
Une fois retiré j'aventure ma main à l'intérieur du plafond d'où j'en sort une boîte assez lourde je la récupère difficilement et l'emmène avec moi au pas de courses dans ma buanderie n'oublions pas de faire vite au cas où quelqu'un revienne à la maison.

Je n'y crois pas mes yeux la boîte est remplie de grosse liasse de billets de banque, 3 millions en tout, la vu de cet argent me donne la nausée je suis sûr que c'est avec sa qu'on m'a acheté, je me mettais à rangé quand j'ai remarqué plus au fond de la boîte une enveloppe kaki qui semblait vieille, en l'ouvrant je fus choqué de voir tous d'abord mon acte de naissance mais surtout une lettre avec la photo de MA MÈRE !
J'étais tellement choqué que je me suis mise à pleurer à chaude larmes, sur la photo il y avait l'image d'une magnifique femme Alpha la peau couleur chocolat au lait, ces beaux yeux bleu marine fixant tendrement un petit bébé au cheveux bouclés noir jouant de ces petites mains avec ses long cheveux au dégradé violet et bleu, elle était allongé sur un lit d'hôpital avec le nourrisson dans les bras, il ne faisait aucun doute que c'était le jour de ma naissance.
J'ai réussi à tout rangé la boîte en prenant soins de gardé le contenu de l'enveloppe kaki caché dans ma buanderie en quelques minutes heureusement car mon père est rentrée tout de suite après me trouvant le visage rouge et humide de toutes les larmes que j'avais trop gardé en moi, il s'approcha de moi croyant que ma fièvre avait augmenté mais je lui est violemment giflé la main pour qu'il ne me touche pas, j'avais peur j'avais mal je me sentais comme un objet, comment une personne sensé vous donner tout l'amour du monde peut être votre pire bourreau.
Il me regardait énervé Sachant qu'il ne pouvait plus me corriger avec des coups de fouets dont il savait l'effet sur moi, il se frotta la main m'observant pleuré sans retenu comme une folle.

Sun Hi - pourquoi... Pourquoi tu me déteste papa...

Père - Arrête tes conneries Sun Hi et laisse moi voir si tu vas mieux

Sun Hi - NE T'APPROCHE PAS DE MOI SALE MONSTRE !!!

père - BORDELLE DE MERDE!!! TU VEUX QUE JE TE CORRIGE AVEC LE FOUET PETITE CONNE D'OMÉGA !

Sun Hi - oui vas y !! Tue moi en même temps pour que je puisse être avec ma mère !

Père - AH AH AH !! ta mère qui n'a jamais voulu de toi et qui est morte part ta faute, celle là même qui m'a supplié de caché à tout le monde que tu étais sa fille!!

Sun Hi - tu ...mens, tu n'es qu'un menteur elle m'aimais je le sais... Je le sais ...

Il m'attrapa sauvagement par les cheveux et me traina ainsi mes cris de douleur l'accompagnant jusqu'à ma buanderie, il me menotta les poignets et les jambes et me fit prendre plusieurs médicaments qui me plongèrent dans un profond sommeil remplie de mes pire cauchemar et mes plus grande crainte.
Est ce que ma mère ne m'a vraiment pas voulu même après ma naissance ?
Ma t'elle délibérément mise au monde pour me faire subir tout ces supplice psychologique ?
Ne m'a telle jamais aimé ?
Je plonge dans l'obscurité avec la douleur de ces questions tournoyant dans ma tête, ma si belle journée ces transformé en mon plus gros cauchemar.