13. Le premier baiser

45 7 1
                                    

Après avoir vu sa belle robe de couleur rose, et ses seins qui étaient admirablement dessinés. Je ne pouvais pas m'empêcher de la dévorer de mes yeux à maintes reprises.

Sur le coup du désir, je me débarrassais de ma cravate aussi rapidement que je l'aurais imaginé.

Tout à coup, nous sentions une atmosphère de désir remplissait la chambre vide à côté de la pièce où étaient nos amis. Elle se retrouvait dans mes bras, plaqué contre moi, son corps s'harmonisait avec le mien.

Elle me faisait un appel silencieux…
J'avais glissé une main derrière sa nuque pour la pencher doucement vers l'arrière, mes lèvres puissent enfin conquérir les siennes, juste pour un petit combat délicieux.

Nos plaisirs prenaient des proportions inattendues en ce moment-là.

Elle — Bon Sang Young, nous ne pouvions pas faire ça ici, ce n'est pas confortable et tu sais tout autant que moi que c'est un péché de faire ça avant le mariage.

Moi — Ok, désolé, je n'aurais pas dû commencer ça ici, ce n'était pas prévisible, je ne voulais pas le faire ici, c'est juste que le plaisir était trop. Désolé.

— Moi aussi, je suis désolée, on peut parler de ça après...

— Oui... Mais ne me dit que nous allons rester planté ici, allons faire un tour et boire une bière, on aura le temps de parler d'autres choses.

— Ok allons-y...

Arrivé là-bas, je tentais d'attirer son attention sur le fait qu'on aurait moins de temps à passer ensemble, c'était important, ça ne devrait pas une surprise pour elle.

— Mélissa, nous sommes admis, c'est bon, mais tu sais que ça va créer un manque de temps de toute évidence....

Mélissa : Young, crois-moi chéri, je comprends tout ça, je pensais justement parler de ça avec toi... nous sommes à la faculté, c'est bien, mais être avec toi n'a pas de prix, je pense qu'on peut faire avec tout ça.

— Je suis émerveillé par ta compréhension, je pensais que cela allait faire une grosse discussion. Mais tu as tout compris, je t'aime.

Mélissa : Je t'aime moi aussi.

Et après, on continuait à s'embrasser de nouveau et c'était tellement bien que je savais tout de suite que ce n'était pas la dernière fois, l'amour avait des racines très profondes en nous.

Je suis tombé sur mon Alter egoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant