59. Le mariage

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Sans plus tarder, un huissier allait l'annoncer qu'elle était le moment pour elle de rentrer, elle était déjà prête, elle rentra sous la pluie des applaudissements, tout de suite après la danse de son cortège, Franck l'accompagnait.

Je ne la voyais pas trop bien du fait de la longueur de l'allée de l'église, mais à mesure qu'elle s'approchait, je sentais sa présence petit à petit, j'étais plus ébloui que n'importe quelle autre fois de voir comment elle était splendide, plus ravissante, plus belle que je l'imaginais tout à l'heure dans mon rêve. C'était une merveille, tout le monde l'admirait, c'était elle sans maquillage, naturelle, elle n'a fait que quelques petites retouches. Je savais qu'elle était aussi belle à l'intérieur... Elle arrivait enfin près de moi, j'étais debout pour recevoir ma reine, sa robe était parfaite pour elle, je lui ai fait un clin d'œil juste pour dire qu'elle était belle, elle souriait et sa beauté s'illuminait, elle devenait lumière.

Je ne pouvais pas m'empêcher de la regarder à chaque instant comme si elle allait disparaître, elle ressemblait trop à un ange. L'officiant nous a demandé de nous mettre debout pour faire nos vœux et pour passer les alliances conformément à la tradition et aux écrits.

On était face à face, je ne pouvais pas la regarder dans les yeux, c'était impossible de supporter sa beauté. On pleurait de joie depuis les premiers des vœux individuels, une partie de ses vœux me tenait vraiment à cœur et c'était :
<<Tu es celui qui me fait rire, qui m'aime profondément et passionnément et qui voit en moi celle que je suis vraiment. Grâce à toi, je suis une femme amoureuse, épanouie et heureuse. Tu es mon Alter Ego, je n'imagine pas ma vie sans toi, tu es mon époux, mon mari et je le répète je t'aime à l'infini Young !

J'étais ému et je pleurais parce que je savais étaient sincères, en même temps étonné puisqu'elle n'aimait pas sortir des sentiers battus, si elle le fait, c'est pour de vrai !

Mes mots, eux, tardèrent à venir, moi grand parleur. Je ne contais pas faire un discours à la place des vœux, je me contentais simplement de quelques mots :
<<Je pouvais répondre par oui, je te veux, mais mon amour pour toi, il ne vaut plus, tu le sais bien. Tu es ma confidente, je t'aime pour tout ce que tu peux devenir et pour ce que tu es. Je ne cesserai pas de t'aimer, tu es mon Alter Ego, mon âme Sœur !
Après un récapitulatif de notre histoire qui nous faisait rire aussi bien que les invités, après les échanges d'anneaux viendrait le moment que tout le monde attendait, un moment spéciale ; vous pouvez embrasser la mariée, la foule était en liesse, je la connaissais, je connais son goût, mais à l'église j'ai goûté quelques choses de différent après ces choses la cérémonie ne tardait pas à terminer.

On était bien conscient des exigences et défis du mariage, on était aussi déterminé à les surmonter.

La cérémonie terminée, c'était la joie, je voyais les sourires et les pleurs de Franck pour la première fois.

On regagnait rapidement le palace, parce que là-bas, c'était plein de gens, de cadeaux, de musique et surtout, c'était la fête !

Je suis tombé sur mon Alter egoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant