𝔅𝔩𝔞𝔠𝔨 𝔰𝔭𝔞𝔡𝔢 {Soukoku}

1-𝔖𝔭𝔞𝔡𝔢

Ôgai Mori tendit une enveloppe à Dazai,la même enveloppe qui avait fait venir Chūya dans le bureau de celui-ci plus tôt dans la journée.

"Je préfère que tu sois avec Chūya,même si il n'y pas de danger,j'aimerais éviter qu'il y ait trop de dégâts pour cette chère ville." Leur boss vit un semblant de sourire en levant les yeux vers le duo,avant de se lever pour les raccompagner,ignorant toute protestation de leurs parts.
"Une dernière chose,les deux se turent,tâcher mieux vous entendre.
Je ne souhaite pas de conflit intérieur,nous en avons déjà assez avec l'agence des détectives armés et autres." En disant ses dernières informations,il fixa Dazai d'un air on-ne-peut-plus sérieux,voir même suspicieux.

Et se fut sur ces belles paroles qu'ils se retrouvèrent dans le couloir où ils se battaient un peu plus tôt.
Chūya croisa des bras et parti en premier en marmonnant :
"Jamais je m'entendrais avec toi.
-Ah tu vois ! On avance au moins on tombe d'accord sur un point."
Le rouquin se retourna et avança dramatiquement vers Dazai et le pointa du doigt,crissant entre ses dents serrées de colère :
"Et ce sera le seul." Avant de repartir comme il était venu.

Le petit s'écroula sur son lit,fatigué par l'énervement,et prit le dossier sur sa table de chevet.
La mission était simple,s'infiltrer dans une entreprise ennemie qui gagnait trop d'ampleur et nuirait aux affaires et trouver autant d'informations que possible pour les couler.
La demande était anonyme et y avait était jointe plusieurs milliard de yens.
L'opération durerait un mois et nos deux compagnons seraient logés dans un hôtel dont la chambre serait fournit par le donneur de mission,tout deux de fausses cartes,passeport,bancaire et visa et tout serait couvert par le donneur.
"Un donneur de mission anonyme ? Des milliards de yens ? Et le tout couvert par lui,Chūya soupira,
vous auriez pas pu faire mieux ? Ça n'a aucun sens !"
Il avait besoin de se calmer,alors le jeune homme sorti précipitamment de la pièce puis de chez lui afin de trouver un bar quelconque et il verra la suite une fois  qu'il sera imbibé.

Il se réveilla le lendemain,dans son lit avec la geule de bois,les vêtements débraillé,et ne souvenait de absolument rien.
Chūya se leva,s'étira avec de lamentablement tomber sur le sol,sa tête tournait et était douloureuse et il ne marchait toujours pas droit.
Celui-ci prit tant qu'il pouvait au passage sont trench coat sur le sol près de la porte,son collier sur la poignée,sa veste jeté misérablement sur la chaise de son bureau placé à l'opposé de la porte près de la fenêtre dont les rideaux blanc étaient fermés,une lueur orangeâtre illumine faiblement la pièce. Il trouvit ensuite ses chaussures et chaussettes jetées dans les quatres coin de la chambre.
Après avec rassemblés tout ça,il eut les idées un peu plus clair,malgré sa migraine qui lui faisait défaut à chacune de ses pensées.
Il se dirigea dans la salle de bain et se mit à hurler.