« Tu sais, c'est bizarre. C'est comme-ci peut importe où va Bella, Alec est obligé de la suivre, comme un aimants. »
-------
Skinny love / amour dans lequelle deux personnes s'aiment l'un l'autre mais sont trop timide pour l'admettre, mais qu'ils l...
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
ELLE EST SAUVÉE
Mes yeux s'écarquillèrent lorsque je le vis.
Simon et Isabelle étaient à mes côtés, alors que Valentin s'approchait de nous.
« Oú est votre frère ? » demanda Valentin.
« Tu penses vraiment qu'on va te le dire ?! » dit Clary, alors que Simon mît un bras devant moi.
« T'approche pas d'elles ! » cria Simon, en se jetant sur Valentin. Mais il le poussa sur le sol.
Mes yeux s'agrandissaient et la peur m'envahissait.
Valentin sortit son épée, prêt à tuer Simon.
« Non ! » criais-je, avant qu'Isabelle enroula son bracelet autour de son épée.
Valentin anticipa son coup et attrapa son bracelet avant de tirer dessus, la faisant tomber au sol.
Je tenais le livre fortement, en le regardant.
« Stop ! » cria une voix, venant de l'autre direction.
Je tourna ma tête rapidement et vis Jace, pointer son épée sur Valentin.
« Cette fois, tu t'en sortira pas. » lui dit-il.
« Tu es prêt à tuer ton propre père ? » lui demanda Valentin, alors qu'un de ses garde releva Simon.
Maintenant il ne peut plus nous aider, ni partir.
L'autre garde, releva Isabelle en mettant son épée contre sa poitrine.
Moi, j'étais au côtés de Clary.
« Tu m'as abandonné . » dit Jace.
« C'était pour te protéger. Tu n'étais pas prêt à l'époque mais maintenant, tu as grandis. Tu es désormais le guerrier que je voulais que tu sois. »
« Tu m'as bien entraîné. »
« Pourtant, j'ai encore tellement de choses à t'enseigner. Je t'ai pas fait venir ici pour rien. » dit Valentin « Si tu m'affronte, tu verras tes amis mourir. » ajouta t'il avant que j'entende des halètement venant de la porte.
« Non , Alec ! » pleurais-je.
« Reste là, Bella. » dit-il.
Je ne pouvais pas rester là à le regarder et ne rien faire. Il avait lui aussi, l'épée du garde plaqué sur la poitrine, prêt à être transpercé si c'était nécessaire.
Les larmes commençaient à apparaître dans mes yeux, mais aucune ne coulèrent. Je ne voulais pas pleurer devant lui. Je ne pouvais pas. L'amour vous rend faible, et c'est la vérité.
