Les Maraudeurs chassent les Horcruxes

10eme chapitre L'esprit de Lord Voldemort

Lorsque Orion et Walburga furent enfermés, Sirius et Regulus levèrent les sorts.
Aussitôt, un torrent d'injures et de menaces leur tombèrent dessus.
- Que vous me croyez ou non, répliqua Sirius, c'est pour votre sécurité.
- Et depuis quand te préoccupe tu de notre sécurité ? Répliqua Walburga.
- Depuis que Reg me l'a,demandé.
- Regulus Arcturus Black ! Fais nous sortit de la immédiatement.
Regulus  la tête basse, n'osait  regarder sa mère en face.
- Je ne peux pas, mère, je suis désolé, mais...vous êtes en danger, le seigneur des,ténèbres..
- Sait que nous sommes de son côtés. Il ne nous fera rien ! Affirma Orion.
- Mais moi je l'ai trahi, et s'il ne peut l'atteindre, c'est à vous qu'il s'en prendra.
- Peu importe ! Nous saurons nous défendre, pour qui nous prends tu ? Pour des faibles ? Des lâches ?
- Non ! Bien sûr que non, mais face à ses mangemorts, vous ne ferez pzs,ke poids.
- Et c'est tout ce que tu as trouvé ? Rugit Orion. Une cellule, comme si nous étions des criminels !
- Je regrette, je n'ai pas,d'autres choix.
- FAIS NOUS SORTIR D'ICI ! Fils indigne ! Tu ne vaux pas mieux que ton frère ! Deux vauriens, irrespectueux, rends moi la baguette  et je te montrerais ce qu'il en coûte de t'en prendre à nous.
- Je suis désolé, père.

- Viens Reg, appela Sirius. Tu vois bien que ça ne sert à rien.
Regulus soupira.
- J'espère qu'un jour vous me pardonnerez. Andromeda veillera sur vous.
- Cette vipère, admiratrice de sang de bourbe ? Comment oses tu nous laisser chez elle ?
- Insultez là encore une fois, gronda Sirius, indifférent jusque là aux insultes de ses parents, et je vous ferme la bouche. Mère.
- C'est facile, hein quand on tient la baguette ! Répliqua Walburga.
- Vous en savez quelque chose. Répondit Sirius, avec amertume.
- Ça te va bien de jouer les victimes. Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait pour toi. 
Pour ton éducation. Et s'il fallait recommencer, je le ferais.
- Oh ça je n'en doute pas. Bourreau un jour bourreau toujours.
- J'ai reçu la même éducation que toi, et je n'en suis pas morte ! 
- Il n'y a pas de quoi être fière.
- Tu n'es qu'un faible. Un pleurnichard. 
Sirius haussa les épaules.
- Si vous le dites, mère. Viens Reg, tu ne les raisonnera pas, ils sont tellement sur d'avoir raison 

Et sans plus se préoccuper d'eux, il remonta dans le salon.
Regulus jeta un dernier regard à sa mère, et soupira, avant de rejoindre son frère.

- Alors ? Demanda Andromeda. Ils bien installés ?
- Aussi bien que possible. Répondit Sirius.
- Bien, j'irais les voir tout à l'heure.
- Ne t'attends pas à un bon accueil. Renchérit il.
Elle sourit,
- Pourquoi ? Il n'apprécie pas mon sens de l'hospitalité ? Demanda t'elle d'un ton moqueur.
- Il semblerait que non. Ils ne sont pas très reconnaissants. Répondit Sirius sur le même ton.
- Tu m'en vois navrée. Répliqua Andromeda, d'un ton qui contredisait ses paroles.
Ils rirent de bon coeur.

Puis Andromeda se tourna vers Regulus, silencieux.
- Et toi ? Tu n'as rien à dire ? Pas d'excuse ?
- Je n'ai fait qu'obeir aux ordres. Rien de plus.
- Et bien sûr cela excuse tout.
- Je n'avais pas le choix.
- On a toujours le choix. La preuve, tu as fait le choix de les quitter.
- Les circonstances étaient différentes.
- C'est sûr, je n'étais qu'une traîtresse adoratrice de sang de bourbe. Ce sont tes propres mots si je me souviens bien.
- Ce n'est pas de ma faute  si tu t'es
  mariée avec un sang de bourbe.
Elle le giffla de toutes forces.
Il porta la main à sa joue, les yeux brûlant de rage.
- Cet homme  que tu insultes, vaut dix mangemerdes comme toi. Il a des qualités dont tu ignores jusqu'à l'existence. Tu es pitoyable, mon pauvre Regulus. Ma soeur et tes parents t'ont manipulé pour que tu deviennes leur toutou, obéissant, et stupide. Tu n'as rien dans le ventre. Tu es incapable de réfléchir par toi même....
- Andro ! Coupa Sirius. Ça suffit. Tu es en colère, et je le comprends, mais il s'est racheté.
- Vraiment ? Et bien mieux vaut tard que jamais.
- On y va Andro. Envoie moi un patronus, si tu as des ennuis.
- Je n'y manquerai pas, mais si ma  soeur vient ici, elle saura à qui elle a à faire.
- Sois prudente quand même.
- Je je serais. Et lui  tient le à l'oeil. Il a tourné sa veste une fois, il peut toujours le refaire.
- Ce ne sera pas le cas, ils l'ont sûrement condamné à mort.