Les Maraudeurs chassent les Horcruxes

Epilogue

Voldemort était mort, son corps fut brûlé, et ses cendres furent jetées dans la t'amise. Ce fut le cas de Bellatrix Lestrange. Rodolphus et Rabastan, furent envoyés à Azkaban, sans même un procès, de même que Dolohov.
Puis, vinrent les enterrements des malheureux Auror, pour lesquels la bataille du ministère, avait été fatale.

Lorsque la bataille avait pris fin, Sirius et Meredith s'étaient retrouvés à Sainte Mangouste, au chevet de Régulus.
Tandis qu'ils veillaient sur lui, Méredith se tourna vers Sirius.
- J'ai quelque chose à te dire.
Il fronça les sourcils, inquièt, tout à coup.
- Tu as changé d'avis ? Tu...
Il prit une profonde il bde inspiration
Tu ne veux plus m'épouser.
- Mais non, espèce d'idiot. Je....j'attends un enfant.

Un instant, Sirius la contempla, hébété. Elle le scrutait, inquiète de sa réaction.
- Un bébé ? Demanda Sirius. Tu...on...Je vais avoir un bébé ?
- Et bien... Moi je vais avoir un bébé. Et.. Tu seras son père, si..tu le veux bien.
- Bien sûr que je le veux.
Sirius la souleva, et la fit tourbillonner.
- Hé, doucement, n'oublie pas que je suis enceinte.
- Je ne l'oublie pas. Il l'embrassa fougueusement. Comment veux tu que je l'oublie ? Murmura t'il contre  ses lèvres.
Elle lui sourit.
- Embrasse moi idiot.
Il emprisonna ses lèvres, dans un baiser plein de douceur.

- Vous êtes obligés de faire ça dans ma chambre ? Grogna Regulus. C'est un hôpital ici.
Méredith se détacha de Sirius.
- Tu es enfin réveillé !
- Comment te sens tu ? Demanda Sirius.
- Je me sentirais mieux si vous aviez l'amabilité d'aller vous bécotter ailleurs.
Ils rirent.
- Effectivement, il va mieux. Durent ils en coeur.
- Reg, tu vas être tonton. Lui apprit Sirius.
Regulus se tourna vers Meredith.
- Ça y est  alors ? Tu lui as dit ?
- Tu étais au courant ?
- Oui, elle me l'a dit, juste avant qu'on décide d'investir le manoir.
- Pourquoi tu lui as dit à lui et pzs à moi ?
- Parce que tu m'aurais interdit de me battre.
- Bien sûr que je te l'aurais interdit ! Et si tu avais été blessée ?
- Mais,ce n'est pas le cas.
- Tu es complètement inconsciente !
- Moi je suis, inconsciente ? Excuse moi de chercher à te protéger.
- OH ! Gronda Regulus. Vous voulez pas aller vous disputer ailleurs ?
Méredith se tourna vers lui.
- Pardon Reg,
- Hum. Puisque vous êtes là, vous pouvez me dire ce qui va se passer pour moi ?
- Dumbledore à dit qu'il intercèderait en ta faveur  tu seras libère avec in contrôle judiciaire. Bien sûr tu seras place sous ma tutelle. Expliqua Sirius
- C'est toujours mieux qu'Azkaban Reg. Et puis ce n'est que deux ans. Renchérit Méredith.
Regulus soupira.
- Je suppose que je devrais m'estimer heureux, je m'en tire à bon compte.

Au même moment, Lily et James Potter rentraient chez eux à Godrik's Hollow, dans la maison familiale de James. Ses parents étaient décédés, l'année auparavant, des suites de la dragoncelle.
James n'y était pas revenu depuis l'enterrement.
Rien n'avait changé dans le cottage.
Le manteau de son père était toujours accroché à la paterre.

James,se laissa glisser dans un fauteuil. Il se passa une main dans les cheveux.
C'était étrange, de se retrouver ici, sans ses parents. Il lui semblait que sa mère allait sortir de la cuisine, avec son tablier à fleurs, les mains sur les hanches et un large sourire aux lèvres.
Il ferma les yeux. Il était épuisé.
Lorsque les médecins l'avaient laissé sortir, et après qu'ils l' aient rassuré sur l'état de santé de Remus et Peter, ils étaient venus la.
Ils auraient pu se rendre au QG, partager la joie de leurs collègues, mais ils avaient préfèré se retrouver entre eux.
Lily vint s'asseoir sur ses genoux, et posa les mains de son mari sur son ventre.
James leva les yeux vers elle, les sourcils froncés.
- Tu vas être papa. Lui murmura t'elle.
- Papa ? Répéta t'il. Moi je vais être papa ?
Elle lui sourit.
- Oui, toi.
James regarda le ventre de son épouse, puis leva de nouveau don visage vers elle.
Il l'embrassa.
- Je t'aime Lily jolie, tellement.
- Moi aussi James Potter.

Deux  mois plus tard, alors que Sirius et Méredith s'étaient installés, dans un cottage situé  deux maisons plus loin de celle de James et Lily, Regulus, qui était détenu à Azkaban, fut libèré, sous condition de vivre chez son frère, pendant deux ans. C'était une mise à l'épreuve, et le jeune homme était bien conscient  que de son comportement, dépendrait sa remise en liberté totale.

Quelques mois après sa libération conditionnelle, le jeune sorcier se promenait dans le chemin de Traverse.
Il entendait échapper à l'ambiance étouffante du cottage.
Méredith était dans son troisième trimestre et Sirius la couvait tellement  qu'il l'a rendait folle. Les disputes fusaient en permanence.
Il s'installa à la terrasse d'un salon de thé, et rejeta sa tête en arrière, profitant du soleil estival.
- Tu te fais bronzer ?

Cette voix grave lui était familière, mais son propriétaire ne pouvait pas être là ! Il se redressa et leva la tête vers l'homme en face de lui.
Il lui souriait,  ses cheveux blonds brillant au soleil, il portait des lunettes noires, mais même sans voir ses yeux, Regulus l'aurait reconnu n'importe où.
Il se leva lentement, et fit face à son interlocuteur.
- Aiden ? Mais...C'est pas possible. Tu...tu es..
- Mort ? Je me porte plutôt bien  pour un mort non ?
- Je t'ai tué. Je.. Bella m'a obligé...
- C'est ça qu'elle t'a montré ? Moi, elle m'a fait croire que tu étais mort en tentant de t'enfuir.
- Mais...Comment ?
- Elle a du faire appel à un legillimens particulièrement puissant. C'était de la manipulation mentale.
- Mais...Pourquoi ?
- J'en sais rien, mais lorsque le manoir Lestrange a été détruit, j'en ai profité pour filer.
- Et t'as pas essayé de me retrouver ?
- Je te croyais mort. Jusqu'à ce que...

Il sortit ine coupure de presse de sa poche.
La photo représentait Regulus.
Le titre indiquait :
Un mangemort repenti libèré pour bonne conduite.
- J'en croyais pas mes yeux. Tu étais vivant. C'est alors que j'ai compris.
Je t'ai cherché, mais tu étais,chez ton frère...
- J'arrive pas à y croire. Je..
Regulus l'enlaça et l'embrassa avec fougue.
Aiden y répondit avec passion.
- Toi, murmura Regulus plus jamais je te quitte.
- Et ton frère ? Demanda Aiden, une pointe d'inquiétude dans la voix
- Mon frère ? Il sera bien.obliger de s'y faire

Sirius n'avait pas accueilli Aiden avec plaisir, et la naissance toute proche de leur enfant à naître, l' avait décidé à chercher une solution adéquat.
Il leur céda son appartement.

Orion et Walburga retrouvèrent leur maison. Regulus se rendit chez Andromeda  et les relâcha.
Ils n'eurent aucun remerciement pour leur fils, qu'ils jugeaient aussi coupable que leur aîné.
Regulus se vit interdire l'entrée du 12 Square Grimmaurd.

James,  Sirius et Peter, étaient entrés au bureau des Aurors. Remus s'était vu offrir une place de professeur contre la défense du mal à Poudlard.
Méredith et Lily attendaient leur premier enfant.
Le petit Harry Potter, vint au monde le 30 juillet 1980. James et Lily demandèrent à Sirius d'être son parrain.

Méredith et Sirius découvrirent qu'ils n'attendaient pas un, mais deux enfants, un garçon et une fille.
D'abord effondrés, ils avaient fini par prendre la nouvelle avec philosophie.
Sirius subissait les railleries de ses collègues, James compris.
Mais c'est chez lui, que les choses étaient compliquées.
Méredith le trouvait trop étouffant. Il la couvait, comme si elle en porcelaine. Ce que la jeune femme ne supportait pas.
Les disputes éclataient de plus en plus souvent.

C'était le cas, lorsqu'elle perdit les eaux.
Toute la journée, elle avait eu des douleurs dans les reins.
Elle avait cru que c'était du au manque de sommeil.
La panique passée, Sirius l'avait emmené à Ste Mangouste.
Sirius avait été jeté dehors du bloc, après avoir menacé à plusieurs reprises, les sagemage.

Lily, Regulus et James étaient venus en renfort.
Des pleurs retentirent, et le coeur de Sirius fit un bond, dans sa poitrine.
La porte s'ouvrit, et il fut autorisé à entrer 
Méredith était en sueur, l'air épuisée, mais son regard, posé sur la minuscule tête brune enfouit dans sa poitrine était empli de douceur et de tendresse.
Sirius entra et vit alors une seconde tête brune.
Méredith leva les yeux vers lui.
Elle lui sourit.
- Ils sont beaux nos enfants.
Ému, les yeux brillants de larmes, Sirius les regardait, sans oser les toucher.
- Tu veux prendre ton fils  ?
Il hocha la tête. Il n'osait pas lui dire qu'il avait peur de ne pas savoir s'y prendre, de lui faire mal.
L'infirmière lui posa le bébé.
- Leo, murmura Méredith, je te présente ton père.
- Il est tellement petit.
Méredith sourit.
- Et elle  c'est ta fille, Cassandra.
Jamais Sirius n'avait ressentit autant d'amour.
Ils étaient si petits, si fragiles, si vulnérables. Il se sentait la force d'un lion, pour les protéger.

Ils l'ignoraient encore, maus leurs deux petits anges, allaient devenir de véritables petits démons.