A New Era Of Flower 🌺 [Terminé]

chapitre 1: Anastasie

Le ciel obscurcit par la nuit était illuminé grâce au étoiles et à  la lumière de la lune.  Il était 1 heures du matin, toutes les rues étaient plongé dans le noir avec pour seul éclairage quelques faible lumière clignotait des lampadaires. La plus grosse source de lumière venait d'un magasin de fleurs. La modeste échoppe était fermé à cette heure-ci mais sa propriétaire était toujours éveillé. La porte qui donnait sur la rue ouvrait sur la pièce centrale du magasins, on voyais des plantes de toute les couleurs certaine en hauteurs, d'autres placé dans les espaces de la pièce et d'autres encore coller a la baie vitrée qui séparait le magasin de la rue . Un comptoir était installé  face  à la porte, derrière celui ci se trouvais des étagères remplis d'herbe médicale et de fiole. Un encadrement de porte où était disposé un rideau épais  séparait les étagère de bois, donnant sur une seconde pièce, plus petite que la  précédente. Dans cette pièce on trouvais un petit salon au centre et une petite cuisine à gauche. Devant il y avait un escalier qui donnait sur un demi étage, celui-ci décoré d'un lit double et de plante. En-dessous de cette étage une porte en bois donnait sur une serre invisible de l'extérieur.
La lumière de la lune pénétrai à travers le verre et éclairant une jeune femme agenouiller près du sol. Ses cheuveux brun tombait sur son dos et ses magnifiques yeux vert prient une couleurs dorée au moment où de sa main une lumière verdâtre jaillit tandis qu'au sol une plante magnifique éclos, une Belle-de-nuit(epiphyllum oxypetalu).

Le sourir au lèvres elle se releva, cueilla  une fleur et parti en direction du comptoir pour préparé un remède possédant des capacités relaxante. Une fois fini elle le bu et alla dormir.
Son someil était agité, de mauvais souvenirs refaisait surface par le biais de cauchemars. Elle se revoyait nuit après nuit enchaîné dans ce laboratoire secret et lugubre. Elle subissait ces tortures car un gène en elle lui permettait de subir les expériences faite dans son corps sans en mourrir. Le scientifique qui se présentait à elle  comme son père, avais un sourir glacial il s'approchait d'elle, sortant de l'obscurité des instruments dans les mains et chuchotant à son oreille:

-" fait moi confiance mon enfant, tu ne souffrira pas, après tout je t'aime crois moi"

Un rire glacial suivi ça phrase, puis il ouvrit à l'aide d'un scalpel son ventre en deux.

- " HAAAAAAAA!!!!"

Je me réveille en sursaut, ma respiration est rapide et j'ai des sueurs sur tout le corps. Ce cauchemar semblait si réel... Il était 5 heure du matin et je me dirigea vers la salle de bain du cotée  droit de la pièce. Sous la douche je pensais;

~flashback~
j'ai pu m'enfuir de cette endroit lorsqu'il y a eu une attaque, le courant à été coupé et j'avais rassemblé mes forces et mon courage pour m'évader par une fenêtre et j'avais courru  sans m'arrêter. Lors de cette panne de courant je ne me suis pas laissé le temps d'être surprise et mon instinct m'avais fait bouger automatiquement.

J'éteind l'eau, me sèche, m'habille et pris mon petit déjeuné. Maintenant que je suis réveillé il faut bien faire quelque chose...

À 8 heure j'ouvris le magasin, entre temps j'avais fait un peu de ménage, qu'elle que minute après l'ouverture Madame Mourtier, une vielle dame habitué à prendre mes remèdes entra faisant raisonnée la cloche suspendu au-dessus de la porte.

- " Madame vous êtes déjà là, vous êtes bien matinal.

- ma chère enfant toujours aussi souriante, mon remède est-il près ?

- évidement"

Je cherche dans une case de l'étagère son remède.

- " ça sent toujours aussi bon ici, tu as du courage de tenir seul cette boutique. Mais je ne m'en fait pas pour toi.

- tenez, comme d'habitude versé 3 gouttes dans votre boisson, pas plus de 2 fois par jour.

- très bien ma petite, tient

- il y a trop madame, je ne peux pas accepter.

- ne t'inquiète pas va, tu en a plus besoins que moi"

Sur ces mots elles sortis de la boutique.
Le reste de la journée c'est déroulé sans accros. C'est à 18h30 que je ferme la boutique afin d'aller prendre l'air dans la forêt voisine et observé la beauté du paysage dont j'avais si souvent rêver...
Je traverse les bois pour arrivé au bord d'une falaise qu'elle vu imprenable. On voyait au loin les montagnes, les collines et les forêts. Tandis quand contre-bas on apercevait un lac.