//Chapitre 6//

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-Qu'est-ce qu'il c'est vraiment passer Eren ?

-Je vous l'ai dit, j'étais stressé à cause de la rentrée et j'ai fait une crise.

-C'est bon Eren, je te connais assez pour savoir que tu mens. Ca sert plus à rien avec moi. Alors dis moi la vérité, on était inquiet avec Mikasa, tu peux le comprendre? Alors dis moi s'il te plais.

-Je suis désolé, je ne voulais pas vous inquiétez. Mais cette fois c'est plus compliqué, on va dire.

-Et alors ! aller vas-y, s'il te plaît.

-D'accord, mais il faut que tu me promettes de garder le secret, surtout envers Mika!

-J'te le jure Ren, tu sais très bien que sur ce point là tu peux me faire confiance. 

-Bah ce matin, au début des cours, j'ai vu un gars passé dans le couloir avec Zackley. Il s'est tourné pour regarder dans la classe et nos regards se sont croisés. Je sais pas comment dire, euh... c'était une sensation étrange que j'avais l'impression d'avoir déjà ressenti mais il y a longtemps.

-En gros tu es en kiff sur un mec ! me dis joyeusement le fan de yaoi.

Et si c'était ça. Au fond de moi j'avais compris que j'étais tomber amoureux de lui, du moins si on peut appeler ça amour, mais je ne voulais pas recommencer. Ma dernière expérience amoureuse avait été beaucoup trop douloureuse, et elle l'est encore d'ailleurs. Ne pense pas à ça maintenant Eren ! N'y pense pas ! J'essayais de chassait ces mauvaises pensées de ma tête pour pouvoir répondre à mon ami.

-Peut-être, mais le problème n'est pas là. Pendant la pause ce matin, je suis allé parler à Hange et Erwin, et le garçon était avec eux. Je leur ai parlé vite fait et ils m'ont présenté Livai, le pion dont je vous ai parler ce matin.

-Ah ouai, là ça pose un sérieux problème.

Je lui racontais alors tout le reste de la matinée, en faisant attention de n'oublier aucun détail. Il m'écoutait lui racontait ma crise et quand il m'avait emmené à l'infirmerie, sans me couper. Je pense qu'il était rassuré de connaitre la véritable cause de ma tristesse. Armin changea de sujet sans vraiment me répondre et on se laissa, arrivait devant nos maisons.

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