(le titre du chapitre est éclaté au sol:))
Je n'en peux plus. Voilà presque une semaine qu'avec kirishima on s'évite le plus possible, ce qui est compliqué puisque nous dormons dans la même chambre, et l'ambiance est assez tendu. Il est tellement borné quand il s'y mets.
-Tu sais bakugou, je pense que tu es bien plus borné que lui.
-Qu'est-ce que ?
-Tu pense à voix haute.
Et merde voilà que l'autre face cramé commence à connaître le fond de mes pensées. Les choses ne pourraient sûrement pas aller plus mal.
-KACCHAN !
Je retire ce que je viens de dire. Voilà le brocoli sur patte qui débarque.
-Qu'est-ce que tu veux le nerd ?
-Aizawa sensei veut tu voir.
Merde, je suis cramé. J'ai pas trop le moral depuis quelques jours donc j'ai recommencé à moin manger puisque je ne traine pas autant qu'avant avec Eiji. Je me lève et pars en direction de la salle des profs. Une fois devant la dite salle mon très chère professeur, alias face de cerne, arrive.
-Katsuki Bakugou.
-Shota Aizawa.
-Ne commence pas, pas de familiarité ici.
J'acquiesce pour seule réponse.
-J'ai crus remarqué qu'avec ton ami Eijiro Kirishima vous êtes moin ensemble et que tu reprends tes mauvaises habitudes.
-Ce n'est rien.
-Écoute, si cette situation ne s'arrange pas je me verrais dans l'obligation de te renvoyer chez toi. Un héros doit savoir prendre soin de la population et ça commence par réussir à prendre soin de lui même.
-Je n'ai pas besoin de vos conseil. Je suis tout à fait capable de prendre soin de moi même.
Il soupir et me lance un regard qui veux clairement dire "tu me prend pour un con ?". J'ai vraiment l'impression d'être un gosse c'est insupportable comme sensation.
-Si il se passe quoi que ce soit tu dois en parler aux profs, c'est compris ?!
-Ouais ouais.
-C'est mon dernier avertissement, après c'est renvoie pour une durée indéterminée.
Super, ma vie ne peux pas aller mieux. Je sors de la salle et me dirige vers le réfectoire pour aller chercher mes affaires laissés précédemment sur le canapé de la salle commune. Une fois fait je pars vers la chambre que je partage avec Eijiro, on va parler. Cette situation ne peux pas durer. Je baisse la poignée et l'aperçoit. La perfection. Il est assis en tailleur sur son lit avec un livre à la main et le soleil se reflète dans ses cheveux rouge. Je viens de perdre mes couilles, finalement on va pas parler.
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Tu m'aimeras un jour
FanfictionAimer son seul ami, admettre que l'on n'est pas aussi fort qu'on le prétend, toutes ces choses sont si difficiles pour moi. Je sais que toute ma vie j'ai été un connard, j'ai fais du mal à tout le monde. Mais peut-être qu'un jour j'arriverais à reno...