Tu m'aimeras un jour

17/ Pensées

-Crematorium, qu'est-ce que tu fou ?!
-Ce sale mioche m'a mordu putin !
-Et alors, je t'ai dis de veiller à ce qu'il ne meur pas !
-Cette enflure méritait que je le remette à sa place !
-Dégage !
Je suis au sol, le dit dabi m'a defoncé la gueule. Certeje l'ais mordu mais quand même, il fait pas semblant le con. Face cramé part pendant que monsieur je m'accroche des mains sur la gueule s'approche de moi. Je prends sur moi pour ne pas trembler, montrer à son ennemi qu'on ai sur le point de craquer est la pire chose à faire dans ce genre de situation.
-Tu vois, si tu n'es pas avec nous tu es contre nous.
-Ta gueule connard !
-Mais tu ne le vois vraiment pas ?! Tu es né pour être un vilain !
-Je ne suis pas comme toi !
-Bien sur.
-Crève !
Il relève mon siège, non sans quelques difficultés, puis quitte la pièce. Je ne suis plus bâillonné alors j'en profite pour ouvrir ma bouche et faire bouger ma mâchoire. J'essaye de bouger le plus possible histoire de suer un peu, oui sa a l'air dégueu dit comme ça mais j'ai pas d'autre moyen de débloquer mon alter, c'est comme ça qu'il fonctionne. Il faut que je me dépêche avant que les autres dégénérés débarquent. Je ne veux pas mourir maintenant.
-Shigaraki !
-Arrête de me parler de ça, le professeur a été très clair.
-Mais après tout ces efforts on va vraiment l'éliminer comme ça ?
-Je sais, j'aurais aussi aimé le voir craquer mais il n'a pas l'air de vouloir lâcher alors on y peux rien. Et puis regarde le, il ne tiendra pas longtemps.
Merde merde merde ! Fait chier ! Ils vont me crever ces enflures. Ok, calme toi. Trouve chacun des détails qui pourrait t'aider à t'enfuir, n'importe lequel. Hey, maintenant que j'y pense il n'y a aucun bruit qui viennent de l'extérieur, comme si toute activité avait cessé. All might ! Il va bientôt arriver, j'en suis sûr. Un héro comme lui, le numéro un, ne laisserais jamais un élève dans cette situation, je suppose que monsieur aizawa est avec lui. J'arrive Eiji, attend moi.