20/ Épilogue

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Je suis alité sur un grand lit d'hôpital, comme toi cinquante ans auparavant. Si je me rappelle bien après que tu sois partis j'ai quitté le lycée pour aller m'inscrire dans un autre. Un où chaque murs ne me rappelais pas ton visage et où on avait rien vécu ensemble. J'ai grandi et j'ai vite monté les échelons. Je suis devenu le plus jeune deuxième super-héros qu'on ai connu et la gloire m'a tendu les bras. À mes vingt et un ans j'ai rencontré celui qui allait devenir mon mari. Nous avons fait ensemble tout ce que je voulais faire avec toi. Il était médecin à cette époque, un petit géni à l'alter pas très utile mais qui faisait ce qu'il pouvait pour aider tout le monde. Nous avons même adoptés des enfants. Sakura, tu l'aurais adoré, un tempérament de feu toujours prête à se battre, aujourd'hui elle a vingt six ans et est maman d'un petit garçon. Tanaka, un petit trouillard avec un potentiel très réduit, il étudit pour devenir avocat et il a vingt et un ans. Et le petit dernier que j'ai appelé katsuki, un petit blond assez téméraire pour son âge, il te ressemble un peu en quelque sorte il a eu dix-sept ans il y'a deux mois. Ils sont ma fierté. J'aurais aimé que tu les rencontre. J'ai quitté la profession il y'a presque vingt ans. Mon mari est mort il y'a quatre ans. Ça ne m'a pas réellement attristé, de toute ma vie tu as été mon seul grand amour. Celui qu'on ne rencontre qu'une seule fois. Il ne c'est pas écoulé un jour sans que je ne pense à toi, à ce qu'il c'est passé. Aujourd'hui si je suis dans cette triste chambre c'est parce que le cancer me ronge depuis des années. Je sais que je n'en ai plus pour longtemps. Je vais laisser derrière moi une vie mouvementé et des enfants géniaux. J'ai souvent pensé à ce jour où la mort m'emmènerait. J'ai tellement hâte de te revoir, si tu savais comme tu m'as manqué toute ces années. J'arrive, attend moi katsuki, mon amour.

(point de vue externe)
Dans son grand lit blanc, dans cette bien triste chambre le vieil homme soupira et tourna la tête vers sa fenêtre. Une branche d'un cerisier en fleur devant son visage il sourit.
-Je suis désolé les enfants.
Ses paupières commencèrent à se faire lourdes, son corps ne répondait plus, son poul ralenti. "Je me demande ce que tu as pus penser juste avant de t'éteindre" voilà la dernière pensée de ce vieux monsieur qu'autrefois on appelait red riot.
Voilà comment ce termine l'histoire d'amour d'Eijiro Kirishima et de Katsuki Bakugo.

Tu m'aimeras un jourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant