15/ Kacchan

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J'ai l'impression d'être expulsé de la bille dont j'étais prisonnier et d'être réveillé d'un sommeil profond. Quelqu'un me tien au niveau de la gorge et appui de manière assez forte pour que j'ai du mal a m'exprimer.
-Kacchan !
C'est le nerd qui me hrule dessus, je suis sur le point de franchir un portail contre ma volonté et je ne me débat même pas. Je suis pitoyable.
Face de main commence à hurler que je vais les rejoindre et d'autres trucs mais je suis trop peu concentrer pour l'écouter. Eijiro est là, il court dans ma direction mais c'est peine perdu, je vais être téléporté d'une seconde à l'autre.
-Kacchan !
-Dégage le nerd !
Je n'ai pas le temps d'adresser le moindre mot à Eiji que je disparaît dans le portail.
J'arrive dans une salle qui ressemble à celle d'un bars. Un siège avec des lanières est disposé au centre de la pièce et avant que je ne puisse dire quoique ce soit on m'y attache de force et on le bâillone. J'ai beau essayer de défaire mes liens ils ne cèdent pas et je n'arrive pas à utiliser mon alter.
-Écoute moi mon petit katsuki bakugo, je suis tomura shigaraki et je suis le boss des vilains si tu préfère. Je t'ai vus à la télé le jour où ce gars t'avais pris en otage ainsi qu'à la remise des prix des jeux de yuei et je n'ai pas pus m'empêcher de voir la façon dont tu t'es débattu alors je me suis renseigné sur toi et, moi et les associés, nous sommes tous arrivés à la conclusion que tu n'as pas suivis la bonne voie jusqu'ici, tu es fais pour être un vilain, tu as tout pour en-tout-cas.
C'est une blague ? Donc ce mec m'a vraiment enlevé pour que je rejoigne son espèce de gang de dégénéré. Wow, moi qui pensais avoir tout entendu. La vieille avait raison, les gens sont vraiment tarés. Cette situation commence réellement à m'énerver, j'essaye de bouger, de hurler mais rien à faire. Merde, depuis que j'ai perdu du poids je suis plus souple mais mes muscles sont moins puissants qu'avant. J'ai vraiment l'impression d'être une sombre merde. Néanmoins la seule chose dont je suis sûr c'est que même sous la torture, les menaces ou même les coups, jamais je ne rejoindrais l'alliance. J'ai ma propre définition de la justice, du bien et du mal et c'est sûrement pas ces espèces d'énergumènes qui m'y feront renoncer. Je peux me sortir de ce merdier seul, je n'ai besoin de personne.

Tu m'aimeras un jourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant