Je suis Nomi Shizen, une des plus puissantes Kunoichi de Konoha. Je vais vous raconter mon histoire, mon amitié avec Sasuke, ma relation avec Kakashi... Et surtout mon histoire amoureuse avec Neji... Jusqu'à ce qu'il parte.
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Aujourd'hui, je me rends au bureau de Kakashi, maintenant devenu Hokage :
« Bonjour Monsieur le Hokage !
– Roh ! Arrête de m'appeler comme ça ! se plaint-il.
– Eh bien c'est pourtant le cas non ? lui dis-je pour l'embêter. Tiens ! Je t'ai apporté des vêtements propre et de la nourriture pour ce midi.
– Tu n'es pas obligée de faire ça, je te l'ai déjà dit Nomi. Tu devrais plutôt te reposer à la maison.
– Mais non ne t'en fais pas ! Je m'ennuie à la maison... En plus, ça fait longtemps que tu n'es pas rentré, c'est pour ça que je te rends visite.
– C'est vrai que je n'ai plus beaucoup de temps pour moi en ce moment... se rappelle-t-il
– Bon... je retourne à la maison, seule, sans personne, triste... lui dis-je pour le persuader de venir à la maison
– Haha ! Tu as raison ça fait longtemps qu'on a pas passé du temps ensemble. Tu sais quoi ? Ce soir je t'invite au restaurant.
– Super ! Je n'attendais que ça ! Allez j'y vais Monsieur le Hokage ! »
Il a à peine le temps de se plaindre que je suis déjà partie.
En rentrant, je pense à Neji... Depuis ses funérailles, je ne suis jamais retournée à sa tombe, c'était trop dur pour moi. Aujourd'hui je me sens prête à y retourner.
Quand j'y arrive, je m'approche de la tombe puis m'assieds à genou devant et pose ma main dessus :
« Salut Neji... lui dis-je, tu me manques énormément tu sais... Tout me manque chez toi, ta présence, ton corps, ton odeur, ton sourire...
Je repense à tous nos bons moments passé ensemble pendant un instant.
– Neji, j'ai renoncé à découvrir mes origines. Maintenant que tu n'es plus là, la peur de tout connaître est revenue. Ce n'est pas grave... Ce n'est pas de ta faute...
Je ne me sens pas bien, je décide alors de changer de sujet.
– Et si je parlais de quelque chose de plus joyeux hein ? Je pense que c'est mieux, me dis-je. Tu ne le sais pas encore mais...
J'ai du mal à le dire. Lui annoncer de cette manière me rends malade.
– ...on a un enfant, repris-je. Je l'ai appris après que tu sois parti... Personne ne l'avait remarqué, même pas moi.
Tu dois sûrement te demander comment il se porte, j'ai quand même assisté à cette guerre en étant enceinte.
Écoute... notre bébé va bien. Je devrais d'ailleurs accoucher dans moins de deux mois... Ah oui ! j'ai découvert le sexe de l'enfant il a quelques jours et figure toi que c'est un garçon ! lui dis-je en riant. Eh oui, un garçon !
