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~Mon cher journal, cette page est la dernière.

Je ne m'étais pas redu compte que j'avais déjà usé toute tes pages.

Je ressens un mélange de joie et de tristesse. Un peu comme de la mélancolie.

Je voulais te remercier de m'avoir écouter raconter mes joies, mes peines et mes histoire de cœur pendant tout ce temps.

Je sais bien que tu n'es qu'un simple carnet mais tu comptes beaucoup pour moi.

Maintenant, il faut que je rachète un nouveau journal car mon histoire et loin d'être terminée.

Je te serais toujours reconnaissant d'avoir était là, mon cher journal.

On se revoit bientôt sur de nouvelles pages vierges.

Merci,

Eijiro Kirishima~

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Le jeune homme aux cheveux blond cendrés ressemblant plus à un porc-épique qu'autre chose qui tenait ce carnet entre ses mains depuis plusieurs heures maintenant ne pouvait s'empêcher de sourire.

Ce qu'il avait là, c'était les souvenirs de sont petit-ami -bientôt mari- qu'il chérissait tant.

Bien qu'étant conscient de l'acte de voyeurisme que représentait la lecture de ce carnet, il s'en contrefichait. Cela avait toujours était dans sa nature. Et puis, comme on le dit si souvent : " La nature même du métier de héros est de se mêler de ce qui ne nous regarde pas". Hors sujet ? Il s'en fichait aussi.

Tout se qui comptait pour lui en ce moment, c'était les mots écrit qu'il avait pu lire.

Ça pour une surprise ! Ils savait tout l'amour que lui portait le jeune homme aux cheveux rouge endormi sur le canapé depuis deux heures déjà. En même temps, qui ne l'aimait pas ? Mais il n'aurait jamais imaginé qu'un journal presque tout entier y serait consacré. Parce que, ne nous voilons pas la face, le rouge avouait lui-même n'écrire presque qu'au sujet du blond.

C'est alors qu'en fouillant un peu plus profond dans ce carton de vielles affaires, il découvrit encore des tas de carnets, tous de couleurs différentes et tous signés Eijiro Kirishima.

Le blond sourit de plus belle en voyant les heures de lecture qui lui restait mais préféra les garder pour une autre fois. De prolonger son plaisir encore un peu. Parce que après tout, il n'avait lu que la moitié de leur année de seconde et si il en croyait la date sur le carnet le plus récent, alors il lui restait deux ans et demi d'histoire à lire.

A cette pensée, le blond laissa un sourire s'échapper de ses lèvres.

Il était heureux d'être tombé amoureux de son abrutis préféré.






-FIN-

Mon cher journal... [KIRIBAKU]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant