Dᴀʀᴋ Dᴇᴋᴜ [ Kᴀᴛsᴜ X ᴅᴇᴋᴜ ]

chapitre 8: Dabi..."senpai"?

{pdv:dabi}

Je fus réveillé par une odeur d'eau de javel et de savon, une odeur d'hôpital...
Je me lève avec difficulté, ma tête me faisait terriblement souffrir que je maintiens avec peine en espérant atténuer la douleur.

Quand ma vue s'adaptas enfin a la pièce beaucoup trop blanche, je me redresse et me débranche de la machine qui bipais bruyamment.
Izuku était couché sur un lit séparé du mien par un simple rideau bleu.

Je tire complètement le rideau et constate avec effrois son état catastrophique. Son bras et sa jambe ainsi que son torse étaient pleins de cicatrice. Et sa mine épuisée le rendait presque méconnaissable. Je me couche à ses côtés et l'observe avec attention, me maudissant de m'être évanoui. À cause de moi, il est dans un état pitoyable...

Ses yeux s'ouvrirent lentement, il me regarde vaguement et chuchota de manière très faible.

Izuku:... Dabi ?...

Dabi : bas alors la momie... On pionce ?

Il ouvrit grand les yeux et se redressa brutalement regrettant vite son geste en exprimant un rictus de douleur. À croire qu'il vient de me reconnaître...

Izuku : da-dabi !!! Tu vas bien ! *souris*

Dabi : c'est moi qui suis sensé m'inquiéter, c'est toi qui es dans un état pathétique pas moi...

Izuku : n'empêches-tu étais quand même contre 10 robots blindés avec un alter pas adapté à ce combat-là pendant que je galérais à utiliser mon alter *sourire gêné* donc au final ne t'en veux pas hein !

Dabi : de base, c'est moi qui étais sensé venir de donner un coup de main et finalement, c'est toi qui m'as sorti de ce merdier... Merci le puceau

Je le vis rougir fortement puis tourner la tête pour ne pas croiser mon regard.

Izuku : ne m'appelle pas "puceaux"... *rougis*

Dabi : pourquoi ? Ce n'est pas ce que tu es ?...

Ses réactions m'amusent tellement, sa façon, de rougir le rend tellement attirant et ses manières maladroites le rendent... Unique.
Je me redresse et prends son menton entre mes doigts avant de rapprocher son visage très proche du mien.

Dabi : réponds... Ce n'est pas ce que tu es ?

Izuku:.... S-si, c'est ce que je suis... Mais.... Je

Ses lèvres roses et charnues me donnent envie de les manger, la tentation est beaucoup trop forte et je me retiens depuis bien trop longtemps.
Je pose mes lèvres sur les siennes et mords sa lèvre inférieure.
Plus j'intensifiais mes baisers et plus la machine qui mesurait les battements du cœur d'izuku s'enflammais dans des "bips" beaucoup plus rapides.

Il pose sa main derrière ma nuque, puis sur mon torse en finissant par mes hanches me faisant frissonner de désir. Il en voulais plus, bien plus, je n'étais pas contre, mais je préférerais le faire autrement. Le faire gémir comme une chienne ici pourrais compromettre nos plans de plus... J'ai une terriblement envie de tester ses limites.

Au moment où il descendit de plus en plus vers mon entre-jambe, je coupai net la proximité entre nous et me levai face à lui.
Je pouvais lire sur son visage comme dans un livre, j'y lis de l'incompréhension et de la frustration puis du résignement.

Izuku:... Ex-excuse moi... Je me suis emballée... *gêne*

Dabi : c'était plutôt agréable le puceau, tu te débrouilles bien...

Izuku:... C'est vrai !?

Son visage s'illumine de bonheur me faisant éclater de rire.
Une fois calmer, je le tire brutalement vers moi et lui chuchote à l'oreille.