Qu'est ce que j'aurai fait sans toi ? - Miraculous Fanfiction

Chapitre IV

On reprend vite la forme de nos alter-egos.

-Cataclysme.

On sort de ce trou pour ensuite aller retrouver l'akumatisé

Il fait de plus en plus de dégâts sur son passage.

-Comme on se retrouve.

-Et oui, on t'a manqué ma lady et moi ?

-Tu ne fais rien pour attendre.
Chat noir l'akuma doit être dans le collier qu'il a dans ses mains. Mais pour ça, il nous faudra ton Cataclysme alors va refaire prendre des forces à ton kwami.

-Je refuse de te laisser seule dans ton état.

-Je te promets de faire attention chaton.

-Je n'en ai que pour 1 minute.

Ladybug

Je tente de riposter face aux attaques de l'akumatisé grâce à mon yoyo. Je vois heureusement Chat noir apparaître dans une ruelle.

-On peut dire que tu as été rapide mon minou.

-J'ai fait le plus vite que je pouvais buguinette.

-Arrête avec ce surnom stupide.

À l'aide de mon lucky charm je prends le collier et le lance à Chat noir. Il l'attrape et fait son Cataclysme. J'attrape le papillon avec mon yoyo pour le purifier et lance mon lucky charm en l'air.

- Bien joué. Dit-on ensemble en joignant nos poings comme à chaque fin d'akumatisation.

À peine, j'eus le temps de marcher que je ressens une forte douleur au niveau de l'épaule, mon visage se crispe de douleur.

-Ma lady ton épaule.

Mon épaule se remet rapidement à saigner. Soudain, je sens le sol s'écroulait sous mes pieds et le noir apparaît.

Chat noir

Je vois Ladybug perdre l'equilibre, je la rattrape à tant et la porte comme une princesse. Je me rends chez elle et la dépose sur son lit. Elle se dé transforme. Je vais chercher des tissus pour faire compression sur son épaule et vais chercher un gant de toilette avec de l'eau froide pour atténuer sa fièvre.

Marinette

J'ouvre petit à petit les yeux et vois une personne, mais tout était flou. À ma grande surprise, c'était Adrien.

-Qu'est-ce que tu fais là ?

-Eh bien, tu t'es écroulée au sol et je t'ai donc amené chez toi. Tout va bien ?

-Oui, ne t'inquiète pas. Fis-je en me levant.

À peine, je pose un pied au sol que je sens ma tête tourner et m'écroule dans les bras d'Adrien.

-Tu ne vas nul part ma princesse.

À ces mots, je rougis, il le remarque et me fait un sourire, des milliers de papillons traversent mon estomac. C'est très déstabilisant.

-Il faut que tu te reposes tes parents sont là ?

-Non, ils sont partis pour une urgence, ils reviennent que vendredi soir.

J'ai une intense envie de le regarder soudain il tourne la tête et je plonge mes yeux dans les siens, ils sont remplis de désir, mon poul s'accélère rapidement et une intense chaleur commence à naître dans mon bas ventre. Il s'approche de moi ce qui me donne des frissons dans le corps. Nos têtes ne sont qu'à quelques centimètres. Je regarde ses lèvres et me mords la lèvre inférieure.