Qu'est ce que j'aurai fait sans toi ? - Miraculous Fanfiction

Chapitre XVI

-Vous avez arrêté le papillon ?

-Oui, ne t'en fais pas.

-Tu vas bien ?

-Oui, quand tu es à mes côtés, je vais très bien.

-Moi aussi chaton.

Je m'approche d'elle pour pouvoir l'embrassé. Pouvoir regoûter à ses lèvres sucrées et pulpeuses, je ne demandais que ça. Quelle agréable sensation. Je lui tapai ses lèvres avec ma langue pour qu'elle ouvre sa bouche. Ce qu'elle fit immédiatement. Nos langues se rejoignirent et ce fut un bal endiablé. On dû arrêter pour reprendre notre respiration.

-Je sors quand ?

-Le médecin nous le dit à 16 h.

-J'espère que ce sera rapide.

-Moi aussi. Tu as faim Mari ?

-Oui un peu.

-Tiens. Je lui tendis ce qu'Alya m'avait apporté.

-Merci.

Elle se mit en tailleur et commença à manger. Elle est belle en toutes circonstances cette fille. Elle finit de manger et elle commença à s'endormir. Je lui massai l'avant-bras pour la rassurer. Je m'endormis aussi à côté d'elle et Plagg et Tikki étaient tous les deux enlacés sur le ventre de ma lady.

Quelqu'un frappa à la porte et je me réveillai en sursaut.

-Je peux entrer ?

-Oui.

Un médecin entra et il examina ces blessures. Il lui refit des bandages au cas où.

-Elle pourra sortir quand ?

-Eh bien, si tout se passe bien, elle pourra sortir jeudi.

Un sourire se plaqua sur mon visage.

-Bon eh bien l'infirmière passera demain comme à son habitude. Bonne fin de journée.

Et il sortit. Marinette avait le sourire aux lèvres comme moi. Je la pris dans mes bras et elle alla nicher sa tête dans le creux de mon cou. Je sentais des larmes. Sûrement des larmes de joie. Je sentis une larme se formait au coin de mon œil.

-Je suis tellement heureux princesse.

-Moi aussi chaton.

On resta un moment chacun dans les bras de l'autre. Le réconfort de l'autre, sa chaleur, son odeur. C'était tellement apaisant. Marinette se rendormit après car elle était fatiguée. Je la scrutais du regard. Ses traits du visage apaisés. Son visage était moins pâle. Ses lèvres étaient redevenues roses. Plus que 2 jours et on pourrait tout refaire ensemble. Sans akumatisation, sans héros (bien sûr on n'allait pas abandonner nos kwamis, ça jamais. On se transformera parfois pour refaire nos défis de course...) on sera nous. Adrien et Marinette.

Le mercredi se passa normalement. L'infirmière était passée. On avait parlé, mangé, puis on s'était endormi.

Je me réveillai comme à mon habitude. Mais aujourd'hui était un grand jour. On allait enfin pouvoir retourner à Paris, revoir nos amis, le lycée. Marinette se réveilla aussi. Petit à petit.

-Bonjour chaton, on part à quelle heure ?

-Notre vol est prévu à 12 h, on sort de l'hôpital vers 10 h. Donc dans moins d'une heure.

-J'ai tellement hâte de revoir mes parents et mes amis.

Un médecin arriva pour nous dire que l'on pouvait partir. On s'empressa de prendre nos affaires et de sortir.