𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝖓𝖊𝖚𝖋.

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𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 𝖓𝖊𝖚𝖋.

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Ashley plissa les yeux, la mine froide.

-Qu'est-ce que tu veux? Demanda la brune.
-Te parler. Souffla Barbara.

-J'en ai pas envie, maman. Déclara amèrement la jeune Johnson, bousculant l'épaule de la blonde.

Mais cette dernière lui attrapa le bras, l'arrêtant dans sa marche.

-S'il te plait.
-T'aurais dû y penser avant de nous abandonner. Affirma Ashley, se dégageant de la poigne de la pus âgée des deux.

Après quelques secondes de marche, elle entra dans le salon, lançant un regard à Tabitha, qui rangeait son lasso.

-On part dans combien de temps? Demanda Ashley, attirant l'attention de la Galavan.
-Dès que le rouquin arrive.

Quelques minutes plus tard, Jerome entra dans la pièce, un sourire au lèvres, alors que la brune baissait les yeux.

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Appuyée contre la table du petit appartement, la jeune Johnson était placée derrière le Valeska qui, assit sur une chaise, était face à Paul Cicero, son père.

L'homme, bâillonné et attaché, paraissait effrayé.
Dans ses yeux légèrement blanchis, étant aveugle, Ashley pouvait voir la peur, et même la terreur, se refléter.

Tabitha, derrière les criminels, fouillait dans le réfrigérateur, jetant en arrière ce qui ne lui plaisait pas.

-J'me souviens d'une fois, surtout. Affirma le rouquin, se relevant lentement. Le soir de mon neuvième anniversaire. Ils venaient de terminer leur tournée des « trois b ». Enchaina-t-il, parlant de sa mère et d'une homme avec qui elle avait couché. « Boire, baiser et boxer Jerome. »

Ashley fronça les sourcils.
Plus les jours passaient et plus cette impression que le rouquin et elle se ressemblaient s'intensifiait.

Ils avaient eu la même enfance, et avaient fini au même endroit.
C'était un signe.

-Bref. Souffla Jerome, s'approchant de la table pour prendre un couteau à beurre.

Il effleura alors de sa main la cuisse de la brune, qui frissonna.

-J'étais sorti de la roulotte, et toi tu étais passé devant. Reprit le rouquin. Et là, tu as dit: « tu pleures? Pourquoi tu pleures, Jerome? ». « C'est mon anniversaire, et, maman et monsieur n'arrêtent pas de me battre »

Ashley lança un regard à Tabitha, qui avait toujours le nez dans le frigo.

-Alors, t'as répondu: « Ce monde n'en a rien à péter de toi ou de qui que ce d'autre, Jerome » Expliqua le criminel, la mine sombre. « Mieux vaut que tu te mettes ça dans la tête, tout de suite. » Et tu es reparti. Continua-t-il, reprenant son célèbre sourire.

Jerome s'approcha rapidement de son père, plaçant son visage à quelques centimètres à peine de celui de ce dernier.

-Mais aujourd'hui, j'ai rencontré quelqu'un, un homme qui croit en moi, qui sait que je peux devenir une star. Affirma-t-il.

La Johnson tourna à nouveau son regard vers la Galavan qui, en entendant les paroles du rouquin, leva les yeux au ciel.

Face à cette réaction, Ashley fronça les sourcils, pensive.

-Et tout à l'heure, tout le reste de Gotham va le découvrir aussi. Enfin, à part toi. Toi, évidemment, tu seras mort.

-Jerome! Tenta Monsieur Cicero, une fois son bâillon enlevé.
-Tu vas me dire à quel point tu es désolé, c'est ça? S'exclama son fils. Que tu regrettes de pas avoir cru en moi, mais qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire? J'ai une mauvaise nouvelle, il est trop tard!

Ashley vit, encore une fois, une part d'elle en Jerome.

Même si le garçon feignait toujours l'indifférence, une partie de lui était en colère.
Et cette colère, il essayait continuellement de la refouler.

-T'es pas obligé de faire ça, mon garçon.
-Si, mois je crois que si. Affirma le Valeska, ayant repris son calme.

-J'ai été un mauvais père, c'est vrai, mais je t'ai toujours aimé. Déclara Paul. Pourquoi tu me tuerais pour ça?

Jerome éclata de rire, sous le regard lassé de Tabitha, qui avait fini de fouiller le réfrigérateur.

-C'est pas du tout pour ça que je vais te tuer, enfin. Se moqua-t-il, alors qu'Ashley se redressait pour sortir les plans qui étaient dans son sac, les tendant au criminel.

-Des plans de l'Asile D'Arkham. Expliqua-t-il, les balançants dans la pièce. Et, j'ai aussi ça, des lettres échangées entre toi et ton vieux fils perturbé. Innocentes à première vue mais, l'Inspecteur Gordon, tu te rappelles de l'Inspecteur, en les prenant, il va trouver les messages secret qu'on s'écrivait en braille. Affirma-t-il, jetant les fausses lettres. Et grâce auxquelles on a minutieusement planifié mon évasion d'Arkham.

Jerome rapprocha sa chaise de son père, s'y asseyant de nouveau.

-Car, tu vois papa, ce nouvel ami qui m'a fait sortir d'Arkham, il n'a pas envie que ça s'ébruite, évidemment.

-J'ai faim et y'a rien à manger, finis-le qu'on puisse décoller. S'impatienta Tabitha.

-Désolé, papa, tu vas rater mon grand soir. Mais, toi qui est voyant, rassure-moi, ça va être une tuerie?

-Jerome, tu seras une malédiction pour Gotham, les enfants vont se réveiller en pleine nuit parce qu'ils feront des cauchemars a cause de toi! S'exclama le vieil homme, sentant son heure arriver. Tout ce que tu laisseras de ton passage, su cette terre, c'est la mort, et la folie.

Jerome lui rit au visage, levant ensuite son bras pour planter son couteau dans l'oeil de l'homme.

-Jerome, t'es pas obligé de faire ça! S'exclama soudainement Ashley.

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Oulala

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Gros bisous!♡︎
( ˘ ³˘)

𝑳𝒖𝒄𝒊𝒆.

𝑃𝑎𝑟𝑟𝑖𝑐𝑖𝑑𝑒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant