DabiXreader

Interrogatoire

Salut salut! Alors je voulais juste dire merci de suivre la fanfic les vu sont montés d'un coup donc merci vraiment à ceux qui lisent et qui laisse des commentaires ça me fait plaisir:) du coup ça m'a motivé à me concentrer sur cette fic. J'ai corrigé tous les autres chapitres et je vais faire plus attention quand je oublierai un chapitre pour que ça soit un minimum de qualité.

Ce chapitre est court mais c'était juste pour me reaproprier un peu l'histoire puis noir il est presque 6heures du mat et j'ai pas encore dormi alors bon je suis crevée 😅
Bon bah bonne lecture j'espère que ça vous plaira.
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J'étais en colère certes, mais je devais faire mon travail pour l'alliance. Je me devais de poser les mêmes questions qu'au roux pour vérifier si les infos étaient bonnes mais avec lui ça ne serai pas facile...

Il a une totale confiance par rapport au système de sécurité de Yuei. Il ne devrai pas pourtant, d'après ce que j'avais vu aux infos et ce que m'avait raconté Toga ainsi que Tomura ils leur avaient été facile d'entrer une fois dans Yuei puis d'attaquer le SCA. Bref, j'ai juste à casser cette confiance qu'il a en cet établissement et en lui même pour lui faire cracher le morceau.

Au même moment, Dabi sorti de la salle de bain et vint s'installer à mes côtés et à vrai dire je n'ai même pas réagi, trop concentrée à penser à comment je devrais m'y prendre avec notre otage. Je me demandais aussi si c'était fait exprès que se soit ce professeur là où si il était tombé dessus par hasard. J'étais plongée dans mes réflexions quand une main, fine mais forte m'avait attrapé la cuisse. D'abord je sursauta puis je voulu me lever pour en finir avec ce Dabi qui était beaucoup trop entreprenant à mon goût surtout devant Shota.
Dabi: hey, du calme. Tu réfléchis beaucoup trop. Pose lui simplement tes questions et si il ne répond pas tu pourra le buter.

Il avait raison, je me prenais trop la tête juste parce que c'était mon oncle qui se tenait en face de moi. Néanmoins je ne me suis pas gênée pour retiré ses sales pattes de ma cuisse. Il a vraiment pas froid au yeux pour faire ça en plein interrogatoire et un léger sourire ornait désormais mes lèvres. Ce Dabi est louche et indifférent à tout et pourtant j'ai l'impression qu'à ce moment là, nous sommes des collègues de longues dates. Il a réussi à me résister d'un simple geste. Raaah ça m'énerve l'effet qu'il a sur mon corps alors qu'en réalité j'ai toujours envie de l'étriper mais comme il me l'avait demandé j'ai arrêté de me casser la tête et me suis re concentrée sur notre otage.

Évidement, il était hors de question de le tuer comme ça, il devait souffrir avant, je voulais lui faire avaler sa fierté, lui faire avouer son crime, le fait qu'il avait abandonné ma mère, sa propre sœur et sa nièce par la suite.Je me suis vite reprise pour me pencher d'avantage vers notre otage qui n'avait pas perdu une miette de la scène mais n'avait pas réagit pour autant.
Tp: tu as entendu Dabi, je vais te reposer les mêmes questions et cette fois tu va y répondre sinon tu sais ce qui va t'arriver.
Il le démordait pas de ses idées et restait muet comme une carpe, il avait sûrement compris que le kidnapping d'un élève était du bluff mais on avait encore une carte à jouer. Je m'approchai de l'oreille de Dabi pour lui chuchoter quelques instructions et il acquiesça avant de sortir de la pièce. J'étais seule avec mon oncle et j'allais profiter de cette occasion pour avoir une discussion avec lui.
Tp: Le petit roux, Eijiro c'est ça? Il était plutôt mignon alors j'ai demandé à Dabi d'aller me le chercher. En attendant on va pouvoir discuter.
Il souffla un grand coup avant de relever sa tête vers moi, sans pour autant me répondre mais maintenant il était ouvert au dialogue.
Tp: pourquoi tu as laissé maman seule avec ce fils de pute qui m'avait servi de père?
Son regard restait impassible, soit il s'attendait à cette question, soit il n'en avait rien à faire de sa sœur et dans ce cas là je n'avait cas le tuer sur le champ. Il ne mérite pas de vivre dans les deux cas de toute façon.
Shota: c'est beaucoup plus compliqué que tu ne le pense tp. Tu ne pourrai pas comprendre.
Il me prend pour une gamine ou quoi? Je suis plus une enfant je peux tout à fait comprendre. Enfin je pourrai comprendre ses paroles mais peu importe ce qu'il me dira je ne comprendrai pas son choix. Il n'avait pas le droit de l'abandonner.
Tp: j'en ai rien à foutre. J'ai plus dix ans alors maintenant tu va tout m'expliquer ou je te grille les neurones!
Il souffla une seconde fois, il commence a m'énerver, on dirai que c'est un ados obligé de répondre à des questions qu'on lui pose avant de retourner jouer a sa console.
Shota: c'est elle qui m'a demandé de ne rien faire.

Ça je ne pouvais pas le croire. Mes mains se resserrent jusqu'à faire blanchir mes phalanges et à en faire sortir des éclaires qui remontaient le long de mes bras.
Tp: arrête de raconter de la merde! Tous les soirs elle me couchait en pleurant, puis quand j'ai commençait à grandir et que j'étais en mesure de comprendre ce qu'il se passait elle faisait tout pour m'éviter les foudres de mon père et même si je ne la voyait plus fondre en larme devant moi, je la voyais a travers le trou de serrure, elle pleurait chaque soir, maudissait mon père pour ce qu'il lui faisait vivre. Elle aurait rêvé de partir mais on avait pas d'argent tout était sur le compte de ce batard, t'aurai pu nous loger avec ton grand appart mais nan tu l'as laissé! Tu nous a laissé !C'est sûrement pas elle qui t'en aurai demandé ça !

La colère prenait le dessus sur moi et mon alter s'emballait, tous mes bras étaient recouverts d'éclairs qui ne demandaient qu'à venir se loger sur le corps de mon oncle afin de l'envoyer s'excuser au prêt de sa sœur.
Shota: je t'assure tp... c'était un mariage arrangé. Elle l'avait choisir et m'avait demandé de ne pas intervenir. Plusieurs fois, j'ai soigné ses blessures. Tu n'avais pas du t'en rendre compte mais certain bandages ou pansement qu'elle portait, il lui aurait été impossible de se les faire seules. Alors je l'aidait du mieux que je pouvais mais c'est bien elle qui ne voulait pas partir, elle avait un contrat à respecter.

Je ne comprend pas, je ne comprend pas de quoi il parle, il ment forcément, ma mère n'aurai jamais fait ça. C'est tout bonnement impossible. Et même si ça l'était, elle aurait divorcer. Il y a quelque chose d'autre qu'il ne me dit pas ou alors il a tout inventer.

J'allais renchérir, lui hurler dessus mais la porte s'ouvrît sur un roux, bâilloné qui atterrit sur le sol. Je me calma rapidement, c'était une discussion que l'on devait avoir seul alors en voyant mon amie actrice suivie de Dabi je me calma et tourna la chaise de mon oncle pour qu'il voit la scène qui s'offrait à lui.
Shota: Kirishima! Tp comment tu as osé, et comment vous avez pu!?
Eijiro: Mon...monsieur...
Le Roux s'évanouit sous nos yeux et Shota s'agita dans tous les sens afin d'essayer de se rapprocher de son élève mais tous ses mouvements étaient vains. La chaise ne bougeait pas du sol.

Moi, je savais qu'il ne s'agissait que de Toga et elle jouait son rôle à la perfection, j'avais envie de rire mais il fallait que je me retienne car la suite des festivités allaient être encore plus exquise.