Conscience Zero

. 001:Mentalist

C'était un matin, vers 6h. Les oiseaux envahissaient le ciel, les voitures roulaient à toute vitesse, les trotoires étaient remplis d'homme et de femmes. Les rues étaient animées, les gratte-ciels faisaient de l'ombre tellement ils étaient haut. Mais alors, où sont les enfants ? En plein cours nous supposons.
C'est ainsi que dans une classe de  première littéraire dans un lycée nommé A. L. E:Auckland lycée des elites,ce tenait un jeune homme metisses de tain, bien coiffé et tracé laissant paraître la forme de ça tête il était plutôt pas mal. Il était là, la main sur la joue, regardant les oiseaux et perdu dans ses pensées. La dame de philosophe qui se tenait devant les élèves en expliquant le cour, remarque un élève qui ne prêtait pas attention à ses explications, pourtant très explicites et convaincantes. Elle décide de ce diriger vers ce dernier qui jusqu'à ce qu'il y ait un contact physique entre eux ne l'avait point remarquer.

Qu'es ce que je n'donnerais pas pour être libre comme un oiseau?
(soupir) pense le garçon

-Bonjour jeune homme s'exclama la dame essayant de cacher son mécontentement.

-Oui madame dit le garçon d'un ton sec, toujours en regardant les oiseaux à travers la fenêtre.

-Pourquoi ne suivez vous pas le cour ?

Ce dernier soupir.

-Il ne me sert à rien. Réplique le jeune homme toujours aussi sèchement.

Ça ce voyait à des kilomètres que la dame contenait sa colère en elle.

-Comment vous appeler vous ?demande la dame reprenant son calme.

-Guëith Matthiew. Répond le garçon

-Et bien M. Mathiew vous me voyez dans...

Guëith interromp la dame

-Connaissez vous la similitude entre le néant et l'infini ?

-Et bien non je suppose que vous oui !? Demande la dame intriguée.

Il soupir grandement prend ses mains et fait des gestes pour mieux expliquer à la dame.

-Du néant est né l'infini, l'infini contient du néant... De ce fait on ne peut les mesurer.

La dame subjuguée, dit
-Qu'elle rapport avec ma question M. Mathiew ?

-L'infini nous sépare car je suis néant et vous êtes les fourmis qui parasitent mon espace.En gros l'infini sépare mes connaissances des infimes pensée que sont les votres. S'exclame le jeune homme avec un ère condescendant.

La dame respire un bon coup et lui demande calmement d'aller chez le proviseur. Ce dernier se leva étant le centre d'attention de toute la classe, et cela le déplaisait fortement.

*Elipse de trajets*

Guëith se retrouve devant la porte du proviseur,après ces 30minute de marché. Après tout c'est le premier jour de classe, normal de ce perdre dans un nouvel établissement.

Toc toc toc*

Aucune réponse. Après 15 secondes, le jeune homme ce décide à partir quand soudain, le proviseur lui demande d'entrer. À première vue, ce bureau est bien ranger et propre, avec ces têtes d'animaux, ces tableau sans doute hors de prix, et cette moquette en velours rouge sombre, sans oublier l'occupant du bureau en lui même.

-Bonjour mon garçon , je suis le proviseur de cette école, je m'appelle Julien Vinicius. Dit l'homme avec une voix imposante. Et toi ?