La concience explique t-elle tout ?... N'existe-t-il pas un phénomène psychique échappant à la conscience ? Pouvez vous échapper à votre inconscients ?
Elle retire sa veste et déboutonne ce qui était un peu bizarre. Qu'est ce qu'elle fout bordel ??!!
Ils étaient dans une autre salle de classe, plutôt éloigné, on aurait dit qu'elle voulait le violer, le tuer, et abandonner son corps tout nu quelque part.
Elle sorti une espèce de petit bâton de sa poche. On dirait qu'elle était sado-masochiste.
Elle ressemblait à psychopathe assoiffée de sex.

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- Putains pourquoi vous me regardez comme ça. Demande Guëith en effectuant deux pas en arrière.
Elle laicha sa lèvre supérieure tout en retirant ses lunettes, pour les poser sur le bureau, sur lequel elle s'assied.
- Oh ne fait pas semblant, tu es très beau Guëith, mais aussi très arrogant et agaçant. Dit la femme en croisant ses jambes à nouveau.
- Moi qui vous prenait pour une femme respectable, me voilà déçu. Dit Guëith plus arrogant que d'habitude.
- Voyons, je ne veux pas me venger, c'est pour les idiots ça. Dit la femme avec assurance tout en se déboutonnant d'avantage.
- Abon ? Demande le jeune homme.
- Vois-tu, tu m'as tenu tête alors que aucun homme ne l'avait fait avant toi. Tu ne peux pas savoir à quel point ça m'a exité. Dit la femme tout en mettant son doigt dans sa bouche.
- Désolé de vous décevoir, mais je suis déjà pris. Dit Guëith en soulevant ses mains en l'air à moitiés.
- Je le sais pertinemment, mais quel homme ne trompe pas sa femme ? Demande la prof en s'approchant de lui dangereusement.
Arrivée devant le jeune garçon, elle passa sa main sur la joue de ce dernier, qui lui, resta impassible.
- Madame, je connais votre mari.
La femme stoppa son élan, et retira son bras autour du cou de Guëith. Elle écarquilla ses yeux et se recula tout doucement.
- Comment tu sais pour mon mari, je ne porte même pas d'alliance. Dit la femme tétanisée.
On aurait dit qu'elle avait peur de quelque chose ou que quelqu'un, ce qui arrangeait le garçon, vue qu'il fit un petit sourire en coin.
- La vérité, c'est que c'est un homme violent, sadique et méchant qui ne pense qu'à lui.
- Comment tu le connais, non je ne te crois pas comment se présente son physique ? Dit la femme qui se mit à genoux.
Le garçon prit du temps avant de répondre. Il observait, la dame attentivement, faisait attention aux moindres détails, lorsqu' il remarqua une blessure, à paine visible sur l'épaule gauche de son interlocutrice.
