𝔍𝖚𝖘𝖙 𝖛𝖊 𝖒𝖎𝖓𝖊~ (Dabi x oc)

𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 10

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Pdv Dabi

Ca fais 3 jours que les héros on récupérés maïko. Ils n'ont pas tenter de nous rechercher, ce qui nous arrange. Ces derniers jours je n'ai pas fais grands chose, c'est limite si je ne tournais pas en rond. Ma distraction préféré n'est plus à ma portée.

Et puis avec l'ennuie et la lassitude s'accompagne la réflexion. Depuis qu'elle n'est plus ici, il y a comme un manque, je pense souvent à ce qu'elle fait depuis qu'elle n'est plus sous notre emprise.

J'y pense beaucoup trop à mon goût.

Je recommence à l'observer à son insu mais ça n'a plus la même signification. Avant je faisais ça pour tout connaître d'elle, pour tenter de cerner cette femme afin de s'en prendre à elle mais désormais j'y vais car j'en ai peu être simplement envie. Mon esprit me force à se poser des questions sur elle mais aussi a aller chercher les réponses.

Je n'ai pas vraiment été discret hier soir et j'ai bien cru qu'elle m'avait vue.

Comme durant son enlèvement il m'est arrivé de m'égarer dans mes pensées et de me remémorer de son visage, ses yeux cette air apeurer qu'elle tentait de cacher par une attitude de femme forte.

Le temps passe et me voilà une nouvelle fois au abord de sa maison, je l'entends souffler de mécontentement. Quelque chose là perturbe et j'aimerais bien savoir quoi.

Je la vois préparer des affaires et sortir de chez elle. Visiblement elle retourne dans son lycée adorée. Je ne vais pas rester plus longtemps, je ne compte pas me faire avoir bêtement.

J'ai l'impression de passer ces derniers jours en fonction d'elle. Je n'aime vraiment pas ça.

Arrivé à la base il y avait toga qui m'attendais un grand sourire aux lèvres.

Toga : alors, comment ce porte ma meilleure amie maïko ^^?

Dabi : ...

Toga : oh ca va ! On sait tous que tu pars voir ce qu'elle fait trois fois par jour. C'est trop mignon ~

Dabi : la ferme toga, va faire joujou ailleurs. Répète encore ça et je fais brulé tes organes degueulasse.

Toga : tu te laisse aller en ce moment, mademoiselle serait-elle la cause de ta baisse de niveau, de cruauté ?

Dabi : où tu va chercher ça.

Toga : je ne suis pas la seule à le penser ^^

Dabi : ma cruauté se porte à merveille, et il n'y a aucun rapport avec cette gamine.

J'ai quitté la pièce.

Au fond je sais très bien qu'elle a raison, c'est de sa faute si je ne suis plus comme avant.

Ça ne fait même pas une semaine qu'elle est parti et me voila a la voir dans mes rêves. Dès que je ferme les yeux sont visage apparaît. Ses formes, ses mains, tout. J'ai l'impression d'être complètement dingue d'elle, alors que je m'en fou. Elle pourrait crever je ne pense pas que ça me fasse grand chose. Mais voilà, il y a cette putain d'obsession qui fait que je ne peux plus me la sortir du crâne.

Et comme si ça ne suffisait pas les autres notes des faiblesses de ma part. Je deviens évasif presque absent. Ma seule activité est d'observer cette brune à certains moments de la journée, comme si elle était la seule chose qui m'intéressait.

Je n'ai presque pas dormi de cette nuit la, bien trop occupé à débattre avec moi même.

Pdv maïko

Je viens de finir mon deuxièmes jours de travail après ma pause forcé. Tout est redevenue comme avant, je vais parfaitement bien, nous n'avons plus de nouvelles des vilains. C'est parfait quoi.

Il est temps de rentrer.

Comme d'habitude je passe par le même chemin à chaque fois. Mais en arrivant devant le parc je me suis rappelé sans aucune raison de ce relou qui avait voulu m'attraper.

Finalement je pense que je vais passer pars les rues. Ça ne change pas grand chose, ici aussi c'est vide, personne n'est dehors. Encore une fois mon frère décampe et vas dormir chez « son pote » donc je n'ai pas besoin de me presser, personne ne m'attend.

Je regarde sur ma droite. En général ces ruelles accueillent des sans abris, mais ce soir il n'y a personne. Je passe devant la dernière ruelle, et en l'espace d'un instant je me retrouve plaquer au mur dans cette allé sombre et abandonnée.

J'ai ouvert les yeux que j'avais fermé par automatisme. Devant moi se trouvait la personne qui hante mes pensées. Il était là à me regarder dans les yeux avec colère. J'ai immédiatement pensé qu'il allait me ramener chez les vilains, mais il ne bouge pas.

J'arrive pas à regarder ailleurs que ses yeux cien, brillant de je ne sais quelle pensée. 

Sans vraiment avoir de réponse au pourquoi du comment, je n'ai pas envie d'utiliser mon alter. Chose très stupide et imprudent.

Il rester bien deux longues et interminables minutes à me vixer, ça peut paraître très court mais essayez de compter 120 seconde.. c'est si long.

Au bout d'un moment il semblait hésiter et son regard descendait lentement et me détaillait de haut en bas.

Je n'ose pas dire un mot, je le laisse me dévisager le souffle lourd. J'aillais enfin me décider quand je l'ai vue fermer fort ses paupières, il les a réouvert, fronça les sourcils et sans attendre il plaqua ses lèvres avec violence sur les miennes.

C'était pour moi impossible de bouger, mon corps refuse de m'écouter. D'un côté j'ai envie de le repousser violemment de lui en coller une et de me casser, mais de l'autre... ça ne me déplaît pas. C'est comme si  c'est ce que j'attendais depuis un moment mais qu'au fond de moi je sais pertinemment que c'est mal.

Il agit violemment, je ressens sa rage et son désir de s'en débarrasser. Ce baiser est comme pour lui une façon de tenté de faire évanouir ses émotions qui semble le perturber.

A force de réfléchir je n'avais même pas remarqué que dabi c'était écarté de moi et c'était remis à me fixer.

Sans dire le moindre mot, encore une fois, il parti en laissant échappé un soupir.

Quant à moi je suis toujours dans cette rue, les yeux grand ouvert, la bouche encore tremblante que je mort et ma respiration forte qui comble le silence.

Qu'est-ce qu'il vient de se passer au juste ?

Comme une idiote je me suis mise à rougir. Comme pour me faire revenir sur terre j'ai massé mes joues et les ai claquées au passage.

Bon.. je vais commencer par rentrer chez moi et manger, j'ai la dalle. De toute façon j'ai toute une nuit pour penser à cette instant.

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