Nouvelle Vie

Chapitre 9 : Un rêve devenu réalité

Elle essaya de rassembler ses souvenirs ses souvenirs de sa septième année, mais elle n'en avait pas beaucoup, juste des cours. Pourtant, Lily s'était mise en couple avec James pendant les vacances, donc elle aurait dû en avoir...

Elle descendit pour tomber nez-à-nez avec sa mère. Elle tenta de ne pas pleurer, car dans son futur, elle est morte...

- Que se passe-t-il maman ? Dit-elle en ayant l'air endormi.

- Ma chérie, sourit-elle. Tu m'as dit que ta baguette était cassée et que tu devais en acheter une nouvelle. Tu n'en as pas eu besoin des vacances, mais demain c'est la rentrée.

- Ah oui, ma baguette, fit semblant de se souvenir Mya. Rappelle-moi déjà pourquoi elle est cassée ?

- Tu m'as dit que c'était un accident, que quelqu'un avait marché dessus ! Tu ne t'en souviens plus ?

- Mais oui c'est vrai ! Excuse-moi maman, j'ai un peu la tête ailleurs en ces temps-ci... Je vais aller me préparer pour aller au chemin de Traverse et je reviens vite d'accord ? Enfin, pour le déjeuner.

- D'accord ma chérie. Nous mangeons à 12h30, soit à l'heure.

- Je le serai ! Merci maman ! Je t'aime !

Et Mya se prépara en vitesse puis transplana à Londres. Elle alla d'abord aux Trois-Balais pour tenter de digérer ce qu'il venait de se passer... Elle avait voyagé dans le temps par Merlin ! Elle commanda une Bièraubeurre tout en réfléchissant. Avant de partir, elle avait regardé toutes les affaires qu'elle avait. Elle avait toutes ses fournitures, sauf sa baguette. Mya portait une salopette jaune, en honneur à sa maison.

Madame Rosmerta vint la voir.

- Tiens donc, Mya ! Ça faisait longtemps !

- C'est vrai madame, sourit-elle. Je voulais passer du temps avec mes parents, avant que cette situation n'empire. Mais je dois aller acheter quelques trucs.

- Je comprends. Tu n'es pas avec tes amis ?

- Non, ils doivent sûrement apprécier leurs derniers moments de vacances, alors je les ai laissés.

- Je vois... Alors bon retour dans le monde magique !

Mya la remercia, et après avoir payé, elle alla chez Olivander.

Elle entra dans la boutique et elle se rappela la première fois qu'elle était venue ici.

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- Bonjour mademoiselle...

- Allen, monsieur, Mya Allen. Je suis une Née-Moldue.

- Je vois... Vous êtes étrangère au monde magique alors ?

- Un peu. J'ai quand même lu quelques livres, mais ils ne peuvent décrire la magie aussi bien qu'avec des yeux.

Olivander sourit et lui tendis une baguette. Ce fut au bout du deuxième essai que le résultat fut concluant.

- Bois de saule, crin de licorne, facile et souple à manier... 27,2 cm. Je crois que vous avez trouvé votre baguette miss Allen.

- Merci beaucoup monsieur !

La jeune fille partit en souriant.
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Mya sourit à ce souvenir.

- Miss Allen ! Déclara Olivander. Que me vaut le plaisir de vous revoir ?

- Le malheur est arrivé monsieur, j'ai cassé ma baguette.

- Je comprends, ça arrive à tout le monde. De plus, je pense que vous avez beaucoup changé depuis la dernière fois que je vous ai vu, alors votre baguette changera aussi.

- Vous ne savez pas à quel point, dit Mya en souriant.

Remonter dans le temps la faisait à nouveau vivre. Certes, elle avait une mission, mais elle se devait d'apprécier le passé.

Cette fois-ci, les trois premiers essais ne furent pas concluants. Olivander avait un grand doute mais lui donna tout de même une baguette qui se mit à scintiller au contact de Mya.

- Ma chère Mya, vous êtes promise à de grandes choses... Si ce n'est déjà fait...

- Comment ça ?

Mya fronça les sourcils.

- Bois de chêne blanc, crin de Sombrals, 30 cm.

- Ah. Je vois... Vous allez me poser des questions n'est-ce pas ? Sur comment j'ai presque frôlé la mort ?

- C'est exact. Vous n'êtes pas du genre à foncer droit dans le danger.

- En vérité monsieur, c'est le danger qui venait à moi, mais vous n'en saurez pas plus.

- Je comprends. Mais je n'ai donné aucune baguette avec du bois de chêne blanc. La seule personne connue qui avait une baguette en ce bois est...

- Merlin, je sais, sourit Mya. J'ai fait mes devoirs. Mais merci beaucoup monsieur, je tâcherai de ne pas la casser celle-là !

Et elle sortit de la boutique, comme elle l'avait fait longtemps auparavant.

Elle alla ensuite dans un autre endroit qu'elle appréciait particulièrement, le magasin de Quidditch. Elle le regarda pendant un petit bout de temps quand elle décida d'aller chez Fleury et Bott. Bien sûr, elle avait tous les manuels de septième année, mais elle avait laissé son livre préféré dans le futur, alors elle l'acheta. Elle retourna chez elle juste pour le déjeuner et trouva son père.

Le lendemain, elle était prête pour retourner à Poudlard. Quoiqu'elle ne l'avait jamais quitté.

Elle descendit les escaliers avec toutes ses affaires.

- Tu es enfin prête ! S'exclama sa mère.

- Oui, dit-elle simplement. Elle ne voulait pas quitter ses parents alors qu'elle venait de les retrouver.

- Tu vas bien ma chérie ? Demanda Anna. Tu m'avais dit que ça n'allait pas trop avec cette Lily.

- Je sais maman, mentit Mya n'ayant aucune idée de quoi elle parlait. Mais j'espère que ça va s'arranger. Je ferai tout pour ! Mais... Papa n'est pas là ?

- Non, il a dû aller travailler, expliqua sa mère.

- D'accord... Soupira Mya. Je vous envoie une lettre quand j'arrive à Poudlard.

- Tu ne veux pas que je t'accompagne à la gare ? Demanda Anna. Même si je ne peux pas traverser.

- Tu veux bien ? S'étonna Mya. J'avais peur que tu me dises que je suis assez grande pour y aller toute seule...

- Tu n'es jamais trop grande ma chérie.

Ainsi, mère et fille allèrent à la gare ensemble.

- Je te revoie bientôt maman ! Dit bonjour à papa de ma part ! Lui lança Mya.

Et cette dernière traversa le mur pour atterrir à la

plateforme 9 ¾. Elle regarda autour d'elle, c'était comme dans ses souvenirs.

Mya réfléchit à ce qu'avait dit sa mère. Apparemment, Lily et elle n'étaient pas proches, donc ça devait être la même chose avec James... Elle essayera de tirer les choses au clair. En tout cas, elle était sûre d'être amie avec Remus et Sirius, alors elle essaya de les trouver.

Elle trouva d'abord Remus et elle courut vers lui en se jetant dans ses bras. Elle venait de le voir mourir, mais ici, il était bien vivant (logique).

- Remus ! Cria-t-elle.

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Salut la compagnie !

Je viens de rentrer de vacances, je pète la forme, et j'ai fini d'écrire cette histoire !

Vous n'en saurez pas plus.

J'espère que vous allez bien, et je vais de ce pas publier un autre chapitre. Après, j'essayerai d'en publier un par jour.

Bye !
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