Un coup de trop... Drarry

Chapitre 9

La première chose qui traversa l'esprit des deux garçons sonnaient en grand dans leur esprits ; Ron.
Rapidement et avec sa main valide, Draco prit le poignet de Harry et avant que celui-ci ne put dire un mot, il l'entraina vers la porte. Regardant une dernière fois le rouquin regarder entre les allées, Draco tourna la poignée et sortit à la volé.

Entre temps, Harry avait entendu les paroles de son ami et était en rogne. Comment osait-il ?! Il ce laissa, trop obnubilé par ses pensées, traîner hors de la salle.

Quand les deux furent enfin dans le couloir, Draco s'écarta de Harry et épousseta sa robe avant de déconcentrer son attention sur la personne devant lui. Il fut troublé de tomber sur un Harry rouge, non d'embarras, mais de colère. Le blond tenta alors une approche en faisait un pas en direction du jeune homme.

Celui-ci était dans une émotion jusqu'à là inconnu vis à vis de son supposé meilleur ami. Comment avait-il le culot de penser le mettre avec la rouquine, encore ?! Que devra t-il dire pour que cela rentre dans leurs tête, une bonne fois pour toute ?! Il remarquera alors Malfoy faisant un pas vers lui et prit dans un sentiment de colère, ce recula avant de cracher froidement au Serpentard :

« Ose m'approcher encore une fois Malfoy et je te jure que ce sera la dernière action que tu feras dans ta vie ! » Draco s'arrêta.

Sur ce, Harry ce retourna fou de rage et ce dirigea vers la cabane d'Hagrid, laissant un Draco désemparé seul dans le couloirs vide de vie. C'est alors que décida Ron pour sortir de la pièce, tombant nez à nez avec un Malfoy presque pétrifié sur place. Riant intérieurement de là vision qu'il avait, il ce plaça devant le blond et avec un rire moqueur, commença à parler :

« Alors, si ce n'est pas la fouine que voilà. Tu fous quoi, t'a vu un p'tit fantôme ? » Annonça Ron en riant. Malfoy, lui, reprenait peu à peu ses esprits de ce que son brun lui avait dit pour regarder l'infâme créature devant lui, qui ce payait royalement sa tête. Un sourire narquois ce dessina alors sur les lèvres du Serpentard.

« Ne serais-ce pas la belette qui pollue cette air qui ose ce tenir devant moi ? Tu veux quoi encore ? »

Ahuri devant la remarque du blond, Ron prit quelque temps à répondre.

« En quoi ça te concerne et pour ta gouverne, le seul polluant cette école, c'est toi ! » répliqua t-il avant de tourner les talons, juste avant de s'arrêter suite au ouïes dire du blond.

« Tu cherche Potter, c'est ça ? » S'exclama t-il avec un grand sourire au visage. Le jeune Weasley ce retourna et regarda le Serpentard, un air de défi dans le regard.

« Tu sais où il est ?! » Questionna Ron, troublé. « Que lui a tu fais Malfoy ?! » Grogna t-il.

Le prénommé le regarda avant de ce retourner et de dire :

« Tu vois Weasmoche quand tu écoute. » Il partit.

...

Harry marcha d'un pas enragé jusqu'à la cabane d'Hagrid, ne croyant guère pouvoir être plus fâché qu'à cette instant. Cependant, son chemin croisa celui de deux personnes qu'il aurait voulu éviter plus que tout et qui dès que la vue du jeune homme apparu dans leur champs de vision, ce mirent à courir après lui.

« Harry, attend ! » Ginny suivait du mieux qu'elle pouvait son amour, mais celui-ci ne semblait pas enclin à ralentir. Au contraire, le brun accéléra le pas, malheureusement rattrapé par Hermione qui le stoppa d'une main.

« Ou étais-tu, on t'a chercher partout ?! » S'exclama t-elle, la mine mi-soucieuse et mi-colérique. « Dis moi où tu te trouvais ? » Requerra t-elle.

Ginny arriva alors à la hauteur des deux amis et ce cramponna autour du jeune homme, comme si sa vie en dépendait.

« Il faut me le dire quand tu es stressé, amour. Je peux t'aider, tu sais. » Répondit-elle d'une voix qui ce voulait séduisante. Elle devança Hermione et ce mis face au brun. Son brun.

Harry lui, la regardait dégoûté et plus que tanné, écarta Ginny et poursuivi sa lancée vers le lieu de sa destination. Mais avant, il regarda avec dégoût les deux jeunes femmes ce tenant devant lui.

Ébahis du caractère du brun, les deux filles restèrent pétrifiées. Au bout d'une longue minute, Ginny éclata de ce qui semblait être de la peine mais aussi de l'amusement sous le regard perplexe de Hermione, mais très vite interrompu par l'arrivée de Ron à bout de souffle. La brunette aurait dit qu'il venait de piquer un sprint, vu son air et allure.

« Sa va, Ron ? » Questionna Hermione, soucieuse. Ginny aussi s'était approché de son frère.

« Sa va, ne t'inquiète pas. Vous avez trouver Harry ? » Demanda Ron en regardant aléatoirement les deux jeunes filles.

Elles pointèrent les deux le chemin qu'avait prit Harry.

« Il est parti par la. » Répondit calmement Ginny après avoir essuyé du revers de sa main ses larmes. « Toi, pourquoi es-tu si essoufflé ? » Demanda t-elle.

« Je viens de croiser Malfoy et vous, il c'est passé quoi avec Harry ? » Questionna le rouquin en faisait une grimace suite à l'annonce du nom du blond.

« Et bien, disons que... » Ginny recherchait ses mots et ce fut finalement Hermione qui parla « On la accostées et il nous a, comment dire, snobé et est parti voir Hagrid. Je ne sais pus quoi faire. »

« Je sais Mione, je sais ... »

...

Après la confrontation avec le rouquin, Draco c'était dirigé d'un pas lent vers son dortoir, repensant au paroles du brun. Et c'est avec le cur brisé qu'il pénétra dans sa chambre.

Théo, en voyant Draco dans cette état, ce rapprocha de lui avant de passer son bras autour de ses épaules, le dirigeant alors vers un lit.

« T'a quoi, mec ? » Demanda Théo, calmement. C'était la première fois qu'il voyait son ami dans cette état, et il n'aimait pas ça.

« J'ai rien. » Répondit Draco en baissant le regard, ce délongeant ainsi de l'emprise de son ami. « Seulement exaspéré de la belette. » Dit-il avec un air moqueur, faisant rire Théo.

« Si tu le dis, sinon, prépare toi, ont a DCFM dans une vingtaine de minutes. » Proclama le Serpentard en se levant, laissant avec inquiétude son ami blond assit sur le lit, le regard dans les vapes.

Une chose obnubilait les pensées de notre cher blond, ou plutôt, une personne qui malgré lui, était toujours présente. Et de tout cela, une chose resta dans son esprit. Deux iris vertes ...