Thomas resta sans voix. Tout serait différent maintenant. Plus de soleil, plus de provions, plus la moindre protection contre les Griffeurs.
Alby désigna la fille, en lui montrant du doigt.
-Qu'on l'enferme !
Thomas voulut réagir, mais rien ne parvenait. Il eu de la peine pour Teresa. Avant qu'il ne prononce un mot, Newt vinrent devant lui et lui lança un regard de peine.
-Ne cherche pas, Tommy.
Thomas ne chercha pas, il baissa les yeux. Newt se retourna et regarda Teresa du meme regard qu'il avait fait a Thomas.
-Désolé, mais c'est pour le bien de tous le monde. (Il marqua une pause) Enfermez-là.
-Viens me voir, l'implora-t-elle mentalement.
Thomas ne répondit pas. Il prefera la laisser. Et puis, elle serra en sécurité au gnouf.
*
Une demi-heure s'écroula dans une grande agitation.
Meme si il n'y avait pas eu de changement, une ombre qui fesait tous le bloc s'étaient abattu sur eux. Newt et Alby avait distribué a tous les blocards une lampe torche. Il prévoyait de les faire dormir a l'interieur de la ferme.
Tous le monde était agitée, il tournait en rond. Thomas se dirigea vers Newt. Il devait lui parler.
-Newt ! Cria-t-il.
-Newt s'arreta brusquement.
-Fais vite, grogna Newt.
-Il faut que tu libères la fille.
Il était convaincu qu'elle pouvait les aider, elle savait presque tout.
-Donne moi une explication de la libèrer, tocard.
Thomas s'empressa de lui dire ce qu'il pensait.
-Je crois qu'on est là dans le cadre d'une expérience. Sa doit bientot se terminer. Newt, on ne va pas rester içi indéfiniment, ceux qui nous y ont envoyés veulent que sa se termine.
Thomas se sentit soulagé de lui avoir expliquer sa pensée.
-Et c'est tout ? retorqua Newt. Tu crois qu'avec ces arguments là je devrait la laisser partir ?
-On l'a envoyée comme un indice, commença Thomas, et je suis sur que moi aussi. Depuis qu'ont est arrivé içi il se passent beaucoup de choses. Je parie qu'on n'est la pour nous aider a sortir.
Newt jeta un coup d'oeil au gnouf.
-J'ai d'autres soucis pour l'instant. Elle peut très bien passer la nuit là-dedans, elle y sera plus a l'abri que nous.
Thomas hocha la tete.
-Très bien, et demain on aura le temps de s'occuper d'elle. De prendre une décision.
Newt ricana.
-Si on n'est toujours là, Tommy.
Thomas ne rigolait pas, Newt s'arreta de rigoler et le dévisagea.
-Suicidaire, va. Ont peut que la liberer demain.
Newt s'éloigna et cria aux blocards de regagner la ferme.
Thomas se dépécha d'aller vers le gnouf. Il s'arreta devant.
-Teresa ?
Elle sortit de l'ombre si brusquement qu'il recula d'un pas.
-Tu m'a fait peur...
-Je sais, ricana-t-elle.
-Bon, j'ai réflechi. Il y a forcement un moyen de s'échapper de cet endroit. On n'as assez d'indices : Ce que tu avais écrit sur ton bras et ce que tu m'as dit à propos d'un corde, ça doit bien avoir une sens, non ?
-Oui, je me suis fait la réflexion. Mais d'abord, tu peut pas me laisser sortir ?
-Newt a dit qu'on pourrait te liberer peut-etre demain. Tu va devoir passer une nuit au gnouf, mais tu y sera en sécurité.
-Merci d'avoir demandé. Je sens que je vais bien dormir par terre, sans couvertures. Mais je pense pas qu'un Griffeurs pourra passer cette porte. J'ai pas a me plaindre, non ?
Thomas pensa au Griffeurs. Comment povuait-t-elle connaitre les Griffeurs alors qu'elle n'en n'a jamais vue ?
-Teresa, tu es sur d'avoir tout oublié ?
Elle reflechit un instant.
-C'est drole, je me rappelle de certaines choses. Des trucs logiques, comme si je connaissait tout.
Thomas ne répondit pas, il était perdu dans sa tete.
-Tom ? Fit Teresa.
-Oh, oui ? Désolé.
-C'est pas grave, jusqu'une nuit. Sa va aller.
Thomas se demanda si elle avait lu dans ses pensée. Mais il s'arreta de penser a toutes ces choses, il devait partir.
-Je vais veillir à ce qu'on te libère demain.
Elle lui sourit.
-Promis ?
-Promis. Et puis si tu te sans seul, parle dans ma tete. J'essaierai de te répondre.
Thomas rigola, il ne savait pas comment faire pour lui répondre, mais il allait assayer.
-Tu devrais y aller, commença Teresa. J'ai pas envie d'avoir ta mort sur la conscence.
Thomas executa, il l'aimait beaucoup. Il s'éclipa dans la direction de Newt et des blocards qui allait vers la cabane.
A l'instant ou il était dans la porte, Thomas crut entendre le cri plaintif des premières Griffeurs.
La nuit commençait.
