Thomas fut déçu de voir le conseil se terminer aussitot, il aurait preferer rester un peu plus de moments avec Teresa. Quand Newt sortit de la ferme, il sut que sa pause était finie.
Newt les aperçut et les rejoignit en boitillant. Il s'arreta devant devant leur bac et les toisa tous les deux, les bras croisés.
-Ton truc, c'est complétement cinglé, tu en es conscient ?
Thomas aperçut une lueur de triomphe dans son regard. Il se leva et se hocha légèrement la tete.
-Sa veut dire qu'ils ont dit oui ?
Newt hocha la tete.
-Oui, sans exception. Sa été moins difficile que je ne le craignais. Mais comme ils disent, mieux vaux essayer de sortir que se laisser bouffer par eux.
Teresa se leva a son tour.
-Tu crois qu'ils nous suivront ?
-Pas tous, il y a beaucoup de peureux içi, tu sais.
-Et Alby ? S'inquiéta Thomas.
-Va savoir, je crois que ce tocard a peur d'affronter les Griffeurs. Mais je réussirai à le convaincre.
-Comment tu comptes t'y prendre ? S'inquit Thomas.
Newt s'esclaffa.
-Je lui raconterai que après sa, on vivera tous une vie avec plein de bonheur, et tout le tralala qui suit.
Thomas sourit de suite.
-J'ai promis à Chuck de le ramener chez lui, tu sais ? Ou du moins, trouver un endroit ou il sera en sécurité.
Newt recula d'un petit pas et se toucha les cheveux.
-Bon, on va dresssa la liste de ceux qui partent et de ceux qui restent. On s'équipe : Provisiosn, armes, ect. Thomas, je voudrait bien te mettre chef car c'est ton idées mais, je crois que les autres hésiteront de te suivre. On vous laissera vous occuper du code.
Cette suggestion convenait parfaitement a Thomas et à Teresa.
-Parfait. Au travail !
*
Les heures suivantes furent frénétiques.
Pour finir, la plupart des blocards accèptèrent de venir. Meme Alby décida de risquer le coup. Personne ne voulait l'admettre, mais sa les rassurer qu'il y aurait qu'une victime par nuit. Ils se disaient qu'ils auront de bonne chance de ne pas etre celui qui doit mourir. Les autres, qui ne venaient pas, étaient dans leur coin entrain de dévisagea tous les matons en leur montrant que c'était du suicide.
Quand a Thomas et les autres, ils avaient une tonne de choses à faire.
Il fallut commencer par remplie les sacs à dos. Poele-à-frire porta toute sorte de nourriture et les partagea a tous les matons. Newt avaient décidé d'apporter quelques Sérum. Thomas ne lui disa pas non, mais il ne pensait pas qu'ils se feraient piquer.
Chuck était chargé de remplir les gourdes et de les distribuer. Teresa lui donna un coup de main. Thomas fut ravie que Chuck était pret a risquer sa vie, il voulut le sortir de là.
Minho partit pour la Falaise avec un groupe de coureurs. Ils emportèrent des cordes de lierre tressé et des pierres afin de tester une dernière fois le trou invinsible des Griffeurs. Ils espéraient tous que les créatures respecteraient leurs horaires habituels et ne sortirait pas dans la journée.
Thomas aida Newt à distrubirer les armes. Ils avaient laisser quelques armes a part pour que ceux qui ne viennent pas, puissent se défendre un minimum. Tous les matons étaient en train d'ameliorer leur armes pour combattre les Griffeurs. Les batons furent taillés en pointe pour devenir des épieux. Les couteaux furent aiguisés et fixés au bout de branche solides ; on colla des morceaux de verre sur des pelles avec du ruban adhésif. A la fin de la journée, les blocards s'étaient transformés en une petite armée.
Quand Teresa avait finit d'aider Chuck. Thomas et Teresa se retirèrent au fond du terminus pour parler du poste informatique et de la manière dont ils envisagaient d'y taper le code.
-Il nous faudra du soutien au cas ou ils nous arriverait quelque choses, répliqua Teresa.
-Oui, Newt et Minho connaissent le code. Si on a des problèmes, ont leur demandera de le taper.
Teresa hocha la tete et leva lentement la tete vers le ciel.
-Au fond, c'est tout simple.
Thomas ne voulut pas penser à tout ce qui était suscpetible de leur arriver.
-Tout simple. On affronte les Griffeurs, on tape le code, on s'enfuit par la porte. Et on s'occupe des Créateurs.
Teresa arracha avec ses mains des fines herbes pour montrer qu'elle était pret a y aller.
-On va reussir.
