Chapitre 27

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Thomas le fixa dans les yeux.

-Je suis pret.

-Alors, allonsAprès cette nuit, Minho vint le reveiller. Tout excité de commencer son entrainement, il se réveilla aussitot. Il enleva ses couvertures et suivit Minho. Le bloc était paisible, aucun bruit.

Il se rendirent derrière la ferme. Minho sortit une clef de sa poche et ouvrit la porte. Thomas aperçut des cordes, des chaines et d'autres équipement qu'il ne connaissait pas. Minho passa devant toutes les équipement et s'arreta devant une caisse de chaussures.
Thomas voulut rire.
-Tu as sous les yeux le matériel les plus précieux qu'on nous envoie. Tu fais quelle pointure ?

-Ma pointure ? Aucune idée.

Il enleva les chaussures et regarda a l'interieur.

-Du 44.

-Waouhh, des grands pieds.

Minho trouva la chaussure de Thomas et lui donna.

-Elle me plaisent bien, dit Thomas.

Thomas sortit du cagibi et se mit a terre pour les assayer. Minho avait trouver quelques choses d'autre pour lui.

-Seuls les coureurs ont des chaussures comme ça.

Avant que Thomas finissent d'enfiler ses chaussures, une montre lui tombait sur les genoux. Elle afichait l'heure en digitaux.

-Ne t'en sépare jamais. Elle pourrait te sauver la vie.

Thomas boucla la montre a son poignet puis entreprit de lacer ses chaussures.

Minho continua :

-Un sac à dos, des bouteilles d'eau, une gamelle, quelques shorts et tee-shirt.

Thomas les prit et les mit dans son sac à dos.

-On peut demander d'avoir des équipement, on n'aura le temps de réflechir.

-Quoi ? Ont peut réclamer des choses ?

-Bien sur. Il suffit de déposer une liste dans la Boite, et hop !

Pourquoi ceux qui les ont envoyé içi se montraient aussi accommodants ?

-Vous avez déja pensé a demander un plan ?

Minho éclata de rire.

-Oui. On a meme réclamé une télé, mais pas de bol. Les bouffons ne veulent pas nous montrer la nouvelle technologie.

Thomas, qui avait finit de se preparer, se releva.

-Je suis pret.

Minho lui lança un regard dégouté.

-T'es débile. Tu veux y aller le ventre vide, sans armes ni provions. T'es un suicidaire ou quoi ?

Thomas se figea.

-Des armes ?

-Oui, confirma Minho. Je vais te montrer.

Thomas suivit Minho dans le cagibi et le regarda pousser quelques cartons. Une petite trape était caché dans le sol. Minho la souleva, plein de poussière s'en allait.

-On les mets içi, comme sa les tocards du genre Gally ne peuvent pas mettre la main dessus. Amène-toi.

Minho passa en premier, qui lui toussa une fois. Thomas avait a peine descendu la première marche qu'il toussait a plusieurs reprise. Il y avait trop de poussière. Mais au bout d'un moment, il commença a s'habituer.

Ils déscendirent une douzaine de marche qui grinçaient sous leur poids.

Une fois descendu, Minho appuya sur un boutons et des lumières apparut. La cave était plus grand que s'imaginer Thomas. Il avait plusieurs table qui comportait plein d'armes et d'instruments menaçant. Sur les murs, s'était tous ce qui était a distance, remarqua t-il.

-Choisis deux couteau, ordonna Minho. Et assure toi qu'il coupent bien, hein ? Ensuite, on ira prendre le petit déjeuner et emporter de quoi manger.

Thomas opta pour un court poignard en inox avec un manche en caotchouc. Puis un autre plus long. Il était excité d'y aller. Le labyrinthe ne lui fesait pas tellement peur.

-C'est bon ? Demanda Minho. Je vais te presenter la salle des cartes.

Thomas hocha la tete. Il était ravie de decouvrir la salle. Il suivit Minho.

*
Minho se trouva devant une porte pleindée. Thomas avait hate de découvrir cette salle qu'ont lui caché autant. Thomas était tellement dans ses pensée qu'il ne regarda pas Minho ouvrit la porte.

-Après toi, dit Minho.

Thomas s'executa. La salle baignait dans une odeur acre et humide.

Minho appuya sur un interrupteur et plusieurs tubes fluorescents s'allumèrent en
clignotant.
Au centre, il se trouvait une grande table ayant des feuilles et des crayons. Il y avait a peu près cinq chaises.

-Bienvenue dans la salle des cartes, déclara Minho.

Thomas était déçu, il s'attendait a meilleurs.

-Domme que cette salle pue autant.

-Moi, j'aime bien cette odeur, retorqua Minho en tirant deux chaises. Assieds-toi.

Thomas s'installa sur sa chaises. Minho prit une feuille et un crayons et se mit à dessiner. Il dessinait un grand carré sur presque toute la page. Il le remplit ensuite de neuf autres carré plus petits, en trois rangées de trois, comme une grille de morpion. Il écrit le mot "Bloc" dans le carré central puis numérota les autres de 1 à 8.

-Ce sont les portes, expliqua-t-il. Tu connais déja une porte, celles du Bloc. Mais il y en n'a quatres autres dans le Labyrinthe, qui mènent au section 1, 3, 5 et 7. Elles restent toujours à la meme place, meme si les chemins changent toutes les nuits.

La feuille finit, Minho mit la feuille sous les yeux de Thomas. Il était stupéfait de tous sa, il connaissait a peu pres toutes les positions des sorties.

Nous avons donc le Bloc, entouré de huit section. (Il montra les carré un par un) Comme tu le sais sans doute, les murs se déplacent tous les soirs à la meme heure que les portes. On du moins, c'est ce qu'on croit.

Thomas leva les yeux, heureux de connaitre toutes ces choses sur le Labyrinthe.

-Je n'ai vu aucun mur bouger la nuit ou nous sommes restés coincés.

-Les couloirs principaux des sections ne changent jamais.

-Oh, fit Thomas.

Thomas regarda la feuille, et essaya de décrire quelques choses.

-Il y a toujours huit coureurs au minimum, commença Minho. Un par section, il faut une journée entière pour explorer chaque section, après quoi on la dessine sur une feuille.

Minho se leva de sa chaise et prit un coffret qui était assez profond pour comporter quatres grandes piles de cartes. Dans une cartes, au coin supérieur droit, on voyait écrit Section 8, suivi de Hank, du mot Jour et d'un numéro. La carte la plus récente indiquait Jour 749.

Minho continua :

-On s'est rendu compte que les murs se déplaçaient. On a pensé qu'en comparant les plans jour après jour, ou d'une semaine à l'autre, on verrait un schéma. Et c'est le cas : les carrés se reconsitutent a peu près tous les mois. Mais personnes n'arrive a déchiffrer autres choses.

-Deux ans..., murmura Thomas. Vous en avez pas un peu marre de rester las-bas toute une nuit ?

Thomas aperçut une lueur de colère dans le regard de Minho.

-C'est tout ce que t'a a dire ? On se défonce un par un pour trouver la sortie et c'est comme sa que tu nous remercie ?

Thomas rougit, il était désolé.

-Désolé.

-ça va (Il rangea les cartes dans les coffrets) Bon, trainons pas. Les premiers jours, tu va te contenter de me suivre. On y va ?

Thomas sentit sons pouls s'accelerait.

-Euh... oui.

-J'ai pas comprit, retorqua Minho. Oui ou non ?

Thomas le fixa dans les yeux.

-Je suis pret.

-Alors, allons-y !

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant