Chapitre 25

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Le gnouf était caché dans un coin sombre, en direction du nord. Un simple cube en bois, avec plein de fenetres sur la vue de devant. Il pouvait faire passer des choses comme la nourriture, ou quoi que ce soit par les fentres. C'était juste des trou.

-Voila ce que sa fait de enfreindre les règles, Tommy. 

-Oui je sais. 

Newt lui lança un sourire.

-Je t'aime bien. Mais je suis obligés d'applliquer une certaines discipline. Je vais te laisser te reposer.

Newt s'en alla. 

La premire heure, il ne fesait strictement rien, il regardait le paysage par les fenetres. La deuxième heure, il voulu se cogner la tete contre les murs. La troisième heure, il se dit qu'il preferait encore déjeuner avec Gally en compagnie des Griffeurs. C'était absurde.

Heuresement, Chuck arriva à midi avec le repas.

Chuck lui donna sa nourriture ; Des morceau de poulets et un verre d'eau. Et il s'asseya, a ne rien dire.

Thomas était en train de devorer son repas, quand soudain, Chuck prit la parole :

-Tu sais, je me sens bizarre en ce moment. Sa fait tellement mal de ne pas savoir ou on vient. Je ne supporte plus d'etre içi. Je voudrais rentrer chez moi, et revoir ma famille.

Thomas était assez surprit, Chuck ne lui en parlait jamais. Il s'arreta de manger.

-Je te comprend, murmura Thomas.

Thomas aperçut que Chuck tremblait. 

-Je pleurais beaucoup, tu sais. Tous les soirs.

-Ah bon ?

Chuck ne répondit pas, il prefera garder un moment de silence. Il fixait le sol.

-Thomas ? Demanda chuck

-Oui.

-Tu crois que j'ai des parents ?

Thomas fut surprit par la question.

-Bien sur que oui, tocard ! 

Chuck soupira.

-C'est pas ce que je voulait dire. Tu crois que j'ai un père et une mère qui m'attendent, a la maison ?

Thomas aperçut maintenant qu'il avait les yeux remplies de larmes. 

Pour la premiere fois, il éprouvait une envies de meurtres. Chuck aurait du se trouver a l'écoles, chez lui, entrain de jouer avec ces copains. Il eprouva de la haine a ceux qui l'ont mis içi, il ne méritait pas sa. Pas lui.

-Ecoute, commença Thomas. Je suis sur que tu as des parents. Je parie meme que ta mère pleure tous les soir sur ton lit, entrain de serrer ton oreiller. 

Chuck baissa les yeux et regarda encore le sol, quelques goutes coulait sur son visage. 

-Je les verrai jamais sans doute, dit Chuck.

-Quoi ? Demanda Thomas.

-Mes parents, je les verrai peut-etre jamais.

Thomas voulut le prendre dans ses bras et le calmer. Mais il pouvait que le calmer en lui disant des réponses vrai.

-Arrete de dire sa, je suis un coureur, maintenant. Si on n'arrive a trouver une sortie, je t'y enmène.

Chuck se tourna vers Thomas et le fixa dans les yeux, plein de larmes. 

-Tu crois franchement que moi, je vais survivire dans ce truc ? (Il s'arreta et renifla) La mort m'attend, j'en suis sur.

Thomas se jeta sur les fenetres et serra les barrière faite en bois.

-Dis jamais sa, Chuck ! Ne baisse pas les bras, surtout pas. Je ferait tout pour que tu retrouve ta chambre, compris ?

Il était sincère.

Chuck s'essuya la figure plein de larmes, et il lui lança un sourire.

-J'éspère que tu as raison, fit Chuck d'une voix tremblante. Merci Thomas, merci.

-Je te le jure Chuck, murmura-t-il. Va te reposer un peu, tu en as besoin. 

Chuck se leva et commença a partir en gardant le sourire.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant