Chapitre 54

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Le Griffeurs s'était éteints presque aussitot : il avait rétracté son instruments, coupé sa lumière.

Thomas ressentit une énormes joie ; il poussa un petit cri, et rit.

Teresa serra dans ses bras Chuck.

-Bravo, chuck. On étaient tellement occuper par ce fichu code qu'on n'a meme pas penser à se dernier mot, la dernière pièce du puzzle.

Thomas riait toujours.

-Tu nous as sauvé, mec ! Je t'avait bien dit qu'on avait besoin de toi !

Puis soudainement, il entendit quelqu'un glisser par l'ouverture : c'était Minho et tous les autres.

-Vous n'avez rien de grave ? Demanda Thomas.

-On a perdu plein de gars... Plein de sang... Mais tous les Griffeurs ce sont éteint, comme sa.

-Oui, commença Thomas. On a réussi a passer le code. Ou du moins, Chuck a réussi.

Tous les blocards regardèrent Chuck, les yeux grand ouvert.

-Chuck ? Demanda Newt.

-Oui, Chuck, dit Thomas. C'est graçe à lui qu'on est tous vivant.

Les blocards regardèrent Chuck sans faire d'éxpression. Puis Newt se mit à avoir un leger sourire sur son visage.

-Bravo, Chuck ! Je ne sais pas ce que tu as fait mais, si Thomas le dit, c'est que c'est vrai !

Chuck regarda Thomas et lui lacha un leger sourire. Thomas lui en jeta un aussi et leva le pouce.

-Bravo, répéta Thomas. Maintenant, sortons d'içi, suggera-t-il.

-Mais par ou ? Demanda Minho.

Thomas indiquait le tunnel.

-j'ai entendu une porte s'ouvrir de ce coté-là.

-Eh bien, allons y, s'impatienta Minho.

Et ils s'éloignèrent dans le tunnel. Thomas était le dernier à passer, ils leur avait dit qu'il prefera regarder au cas ou il y aurait des Griffeurs.

Au bout d'une ou deux minutes, Teresa s'arreta et montra un toboggan. C'était bien une sorte de jeu, en fin de compte, se dit Thomas.

-Allons y, dit Minho. J'ai envie de voir ce qui nous attend après cette amusement.

Minho vint devant Teresa et se jeta sur le toboggan. Puis, Newt, Chuck, poele-à-frire et les autres blocards.

Il réstait plus que que Teresa et Thomas.

-J'imagine qu'on n'a pas le choix, lui dit-elle mentalement.

Thomas lui hocha la tete. Puis Teresa se mit a glisser dans la pente avec un leger sourire au lèvres. Thomas la suivit sans réflechir aussi.

Le toboggan  était enduit d’une substance grasse à l’odeur nauséabonde:  un  mélange  de  plastique  brûlé  et  d’huile  de  moteur.  Il  descendit pieds devant, puis essaya de se ralentir avec les mains. Peine perdue,  les  murs  étaient  recouverts  de  la  même  substance,  et n’offraient pas la moindre prise.

Le  tunnel  se  mit  à  tourner  en  une  spirale  grossière,  juste  assez pour  les  ralentir,  et  les  pieds  de  Thomas  vinrent  cogner  la  tête  de Teresa. Ils descendaient toujours. Le temps semblait s’étirer à l’infini.

C'est au bout de plusieurs minutes que le toboggan fut finit. Les blocards étaient tous tomber sur l'un et l'autres. Tous les blocards se mirent à grognaient et à se tortillaient pour s'extraire de la masse. Thomas n'eut pas du mal a se défaire du groupe, il était étalée sur tous les locards, vue qu'il était le dernier a passer. Il se pressa a regarder aux alentours avant tout le monde ; Ils se trouvaient dans une immense salle souteraine, qui aurait pu contenir neuf ou dix fermes comme celle du bloc. La salle était envahie par toutes sortes de machines, de cables, de tuyaux et d'ordinateurs. Devant eux, se trouvaient une vingtaines de vitres barraient le mur du fond à l'horizontale. Derrière chacune, une personnes se tenait assise et observait les blocards.

-C'est eux, murmura Thomas.

Les Créateurs étaient devant eux.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant