Chapitre 8

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Epuisé, il voulait se reposer un bont moments.

Il revut Newt allongait par terre, levant les yeux au ciel. Il avait plein de questions a lui poser. Il ésperait juste ne pas le déranger.

Il s'était assis a coter de lui. Newt se releva directement.

-Toi, tu veut savoir quelques choses. Vu que je ne suis pas occupé, je veux bien en répondre.

Thomas fut content par sa réaction.

-Bon, alors, parle moi des coureurs, suggéra Thomas.

Newt le devisagea d'un air soupconneux.

-Ce sont les meilleurs d'entre-nous. Tout repose sur eux.

-Pourquoi tu n'en est pas un ?

Newt regarda sa jambe droite en la touchant.

-Je l'étais. Je me suis bléssé il a quelque mois.

-Comment est-ce que tu t'es fait ça ? demanda Thomas.

-En voulant échapper aux griffeurs. Ils étaient a deux doigt de m'avoir. J'ai failli avoir la transformation.

La transformartion était le sujet idéale pour obtenir des réponses.

-Parle moi de ça, tiens. On n'est obliger de devenir cinglé, comme Ben ?

-Lui, c'était un cas. Je croyais que tu voulait parler des coureurs ?

Thomas comprit sur le ton de Newt qu'il ne fallait pas insister.

-D'acord, je t'écoute.

-Les coureurs sont les meilleurs. Nous ne passons pas d'épreuves, courir n'est pas le plus important. (Il enchaina directement a la questions évidente de Thomas). Quand je dis "Les meilleurs", c'est dans tous les domaines ; Il faut etre astucieux, rapide et fort.

-Mais les griffeurs viennent que la nuit, répliqua Thomas, pourquoi est-ce si terrible que sa ?

Newt soupira.

-La préssion, le stress. Les murs change tous les jours, c'est impossible de former un bon plan. Ce n'est pas un boulot pour les petites tete ou les enfants gatés. Pourquoi toutes ces questions ?

Thomas hésita a lui dire.

-Je veux devenir coureur.

Newt le dévisagea bien en face.

-Tu as déja envie de mourir, tocard ?

-Je suis sérieux.

Cela paraissait absurde, meme a ses yeux. Mais il était décidé a en etre un.

Newt continua a le fixer.

-Moi aussi, laisse tomber. Personnes n'est devenu coureur dès le premier mois, encore moins dès la premiere semaine.

Thomas se leva.

-Je ne rigole pas, Newt. Je ne vais pas arracher de mauvaises herbes toutes la journée, je deviendrais cinglé. J'en suis capable.

Newt le dévisagea.

-Je ne dit pas le contraire. Mais oublie pour le moments.

-Mais...

-Ecoute, Tommy. Si tu commence a raconter a tous le monde que tu est le plus fort, tu te feras pleins d'énnemis. Laisse tomber.

-Très bien, j'en parlerais a Minho quand il rentrera.

-Bonne chance. 

Thomas était sur de lui, il allait en devenir un.

Il finirent par aller vers poele-à-frire pour manger. Mais ils entendit Chuck courrir derrière eux, il était éssouflé et avait un regard de tristesse.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant