Chapitre 57

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L'heure suivante passa comme un tourbillon  d'images et de sons pour Thomas

Le  chauffeur conduisait à une vitesse incensée, à travers des villages et des villes difficilement visible à travers le rideau de pluie. Par moments, des gens affluèrent autour de bus, criant sur eux, il avaient une sacrée dégaine ; ils couraient comme des zombies, crachant du sang de touts leurs  corps.

Le bus ne ralentit pas. Teresa ne parla pas du tout.

Thomas trouva enfin assez de cran pour s'adresser à la femme assise de l'autre coté de l'allée.

-Ils se passe quoi, içi ?

La femme se tourna vers lui. Ses cheveux trempés pendant en mèches noires autour de son visage.

-Longue histoire, commença-t-elle, très longue histoire.

-Je vous en prie, intervint Teresa. Racontez-nous.

La femme les regarda tour à tour, avant de de soupirer.

-Eh bien, tout cela est a cause des éruptions solaire, répondit-elle.

-Qu'est-ce que... ? demanda Teresa.

La femme se mit à raconter.

-Oui, des éruptions solaire. La chaleur n'était plus qu'a quelques mètres de la terre. Les Satellites ont brulé en premier. Puis des milliers de gens sont mort tout de suite, et des millions en quelques jours. Puis la Terre à commencer a se transformaient en déserts. Et la maladie.

Elle fit une pause, puis répond a la questions de Thomas et Teresa.

-La Braise, c'est une chose horrible. Seuls les plus riches peuvent avoir les moyens de se payer un traitement. Il n'y aucun remède, ou du moins, pour l'instant.

Thomas arreta la Femme.

-La braise ?

-Oui, la maladie détruit l'humanité de la victime. Tout ça se déroule entièrement dans le cerveau. La braise, (elle marqua une pause) vit dans votre cerveau.

La femme croisa les mains sur ses genoux.

-Bon, on vous en dira plus un peu plus tard. Nous vivons loin dans le Nord. Il y a des milliers de kilomètres entre les Andes et nous. On appelle ça la Terre Brulée ; Un désert de poussière, infesté de sauvages contaminés par la Braise. Nous assayons de la traverser, pour aller à la recherche du remède. J'éspère que vous déciderez de vous joindre à nous, et de combattre le WICKED.

La femme s'arreta de parler, et se tourna vers le chauffeur.

Thomas adressa un regard inquisiteur à Teresa. Celle-ci se contenta de secouer la tete avant de fermer les yeux.

-Je suis trop fatiguée pour réfléchir, dit-elle. Pour l'instant, je suis simplement heureuse d'etre en sécurité.

-J'éspère qu'on l'est, murmura Thomas.

Puis Thomas ferma ses yeux, s'adossa contre la vitre et continua a penser a toutes ces choses ; La Braise, la Terre Brulée, le Wicked et les tests.

Mais sans oublier Chuck. Sa tete revenait toujours dans ces pensée, quoi qu'ils pensent, il apparaissez.

*

Deures heures plus tard, le bus s'arreta.

Ils se trouvaient sur un parking boueux devant un batiment banal qui comportait plusieurs rangées de fenetres. Leurs sauveteurs conduisait les garçons et la fille à l'interieur et les firent monter à l'étage.

Ils était allaient dans un dortoir ou des lits superposés s'alignaient le long du mur. Des placards et des tables bordaient le mur d'en face. L'endroit était très coloré ; les murs jaune vif, les couvertures rouges, les rideaux verts... On aurait qu'ils étaient conduits au coeur d'un arc-en-ciel.

On leur attribua leurs lits, on leur distribua des habits et un nécessaire de toilette et on leur servit une diner. De la pizza. Une pizza bien grasse à s'en mettre plein les doigts. Thomas en savoura chaque bouchée, commes la plupart des autres blocards. La tention était palpables ; la plupart réstait silencieux et dévorer leur pizza. Mais on voyait sur chaque blocards un leger sourire.

Quand on vint leur dire après le repas qu'il était l'heure d'aller au lit, personnes ne protesta.

Thomas pouvait très bien dormir pendant dès mois.

*

Il partaga un lit superposé avec Minho, qui insista pour dormir en haut ; Newt et poele-à-frire étaient juste à coté.

La chambre était silencieuse, personnes ne parlaient. Tous le monde dormaient, à l'exception de Thomas. Il lutta contre le sommeil, il prefera parler avec Teresa.

-Je me demande ce qui nous attend demain, commença Thomas.

-De meme, répondit Teresa d'une voix faible.

-Je te dérange ? Demanda Thomas.

-Non, je suis juste fatiguée, répliqua-t-elle. Je commence a en avoir marre de tout sa.

-Moi aussi, j'éspère que s'en est finie.

-On verra bien demain, répondit Teresa. Je préfère te dire déja bonne nuit, ils nous faut du sommeil pour demain.

-Très bien, murmura Thomas. Bonne nuit.

Thomas aurait voulu parler plus avec elle, mais il n'incista pas.

-Bonne nuit, dit-elle alors que les lumières s'éteignaient.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant