Chapitre 50

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Juste avant l'heure de la fermeture des portes, Poele-à-frire prépara un dernier dernier pour que tout le monde tienne pendant la nuit. Les blocards mangèrent dans une atmosphère sinistre. Thomas se retrouva assis à coté de Chuck.

-Tu sais, commença Chuck, je n'ai pas beaucoup peur. Les dernières nuits qu'on a passées dans la ferme, à attendre qu'un Griffeurs s'amène et emporte l'un de nous, sa c'était vraiment l'horreur. Alors que là, on essaie de s'en sortir. Et au moins...

-Au moins quoi ?

Thomas ne croyait pas une seconde que Chuck n'avait pas peur.

-Tout le monde dit qu'il y aura qu'une seule victime. C'est peut-etre dégeulasse, mais je trouve sa plutot encourageant.

-Encourageant de quoi ?

-Eh bien, si il y a qu'une victime, cela veut dire que la plupart d'entre nous vont s'en sortir. Sauf une personnes, ce n'est pas si mal.

Thomas était malade de voir toutes ces personnes croire en ce qu'il avait dit. Peut-etre qu'il se tromper, qu'il y aura plus qu'une victime. Mais il essaya de garder sa pour lui-meme.

-Oui, qu'une personna va y passer, conclut Thomas.

Chuck vint directement baisser les yeux et avala une bouchée de sa purée. Thomas put reconnaitre dans son visage qu'il était inquiet.

-Chuck ? Demanda Thomas.

Chuck avala sa bouchée de purée et renifla légèrement, mais tout en continuant de regarder son assietes.

-Oui ?

-N'oublie pas ce que je t'ai promis.

-J'oublie pas, tu sais. (Il hésita de prononcer le dernier mot) Merci.

Thomas avala une gorgée d'eau.

-Tu n'a pas a me remercier. C'est nor...

-Normal, tu dit ? L'interpella Chuck. Tu es la seul personne de tous le bloc qui veut me proteger. Tous les autres se fiche de moi, je parie qu'ils me laisserait creuver là-bas.

Thomas le dévisagea.

Non, Chuck. Minho, Newt, et tous les autres que tu connait ne te laisseront pas. (Il avala sa salive) Et puis tu sais, je suis la. Je serait a tes coter, tu peut me croire.

Chuck hocha la tete et commença a lever un petit sourire que Thomas aperçut. Il répéta le mot "Merci" a voix basse que Thomas eut du mal a comprendre.

Après leurs conversations, un attroupement atirra son attention. Newt et Alby annonçaient aux blocards qu'il était temps de partir. Thomas regarda la mine d'Alby ; il était fatiguée de tout sa, ces cernes se voillait a merveille.

Thomas attrapa son sac, Chuck l'imita aussi et tout le monde se dirigea vers la porte ouest, elle qui menait à la Falaise.

Thomas y retrouva Minho et Teresa, en train de revoir ensemble leur plan succint concernant le code d'évasion.

-Vous etes pret, les tocards ? Leur lança Minho en les voyant s'approcher. Thoma, si ton plan échoue, sache que je tuerai de mes propres mains.

-Comprit, dit Thomas avec un léger sourire que Minho ne remarqua pas.

Newt, qui était dérrière, eu rassemblé tous le monde, puis il réclama le silence.

-Nous sommes quarante et un.

Thomas longea tous le groupes des matons.

-Assurez-vous de ne pas oublier vos armes. Vous connaissez tous le plan : On passe par le trou des Griffeurs, l'ami Tommy rentre son petit code magique dans l'ordinateur et on part faire la peau aux Créateurs.

Newt s'avanca lentement vers la porte ouest.

-C'est au tour des Créateurs de prendre chère, maintenant.

Thomas  se  sentait  prêt.  Il  rugit  avec  les  autres  blocards.  Sans doute  aurait-il  mieux  fait  de  rester  discret,  d’éviter  d’attirer l’attention, mais il s’en moquait. Les dés étaient jetés.
Newt brandit sa massue et cria :

— Vous entendez ça, les Créateurs ? On arrive !

là-dessus,  il  pivota  et  courut  dans  le  Labyrinthe,  en  boitillant  à peine. L’air gris paraissait plus sombre que le Bloc.  Autour de Thomas,  les  autres  blocards  ramassèrent  leurs  armes  et  le  suivirent  au pas de course. Thomas leur emboîta le pas, entre Teresa et Chuck; il tenait à la main une sorte d’épieu avec un couteau attaché au bout. La responsabilité qui le liait à ses amis l’écrasa brusquement et lui coupa les jambes. Il continua néanmoins, déterminé à remporter la victoire.

« Tu peux le faire. Il suffit d’arriver jusqu’à ce fichu  trou », se dit-il.

Le LabyrintheOù les histoires vivent. Découvrez maintenant