Imagines

Sweetheart-Remus Lupin

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"Chérie, arrête." Insista Remus alors que son rire euphorique résonnait dans le couloir creux de leur appartement. "Je suis conscient que c'était drôle mais ça ne veut pas dire que tu peux te moquer de moi de cette façon, mon amour." Il remarqua, se laissant aller à rire en même temps qu'elle.

Elle était allongée sur leur grand lit, enveloppée dans des draps caramel qui sentaient beaucoup trop comme lui, et gloussait vivement à sa propre gêne.

"C'est pas juste, chérie." Il s'est mis à grimper dans le lit, il la dominait plutôt maladroitement, mais ça ne la dérangeait pas du tout, elle trouvait ça trop drôle. "Tu ne vas pas t'arrêter de rire, n'est-ce pas, ma chérie ?" Il s'est réjoui, "Eh bien, ça me va."

Les mains de Remus se sont instantanément dirigées vers son estomac, chatouillant ses cotes alors qu'elle se tortillait sous son brusque contact. "Je ne peux pas respirer, tu es un idiot !" Elle s'est écriée, essayant d'échapper à son emprise tout en étant presque convulsée de rire.Ce n'est que lorsqu'elle fut presque à bout de souffle qu'il céda, s'effondrant sur elle, sa tête sur sa poitrine chaude, Remus était concentré à écouter les battements de son cœur à plusieurs reprises tandis que ses mains se dirigeaient vers ses cheveux doux et ébouriffés.

Remus releva lentement la tête de sa poitrine, reconnaissant qu'elle n'ait pas retiré ses mains prudentes de ses cheveux, et pressa ses lèvres soyeuses contre les siennes, et elle lui rendit son baiser avec plaisir. L'agitation et les papillons présents lors de leurs premiers baisers à Poudlard, furent remplacés par une paix intérieure et une félicité apaisantes, un sentiment serein d'être en sécurité, trempé dans des gouttelettes de nectar.L'euphorie ardente était encore fondue dans leurs lèvres, depuis le tout premier baiser, mais ils étaient tellement plus à l'aise l'un avec l'autre depuis leurs premières rencontres à l'école, les baisers étaient devenus plus savoureux, plus doux, plus légers et plus glissants.

L'étincelle et les papillons étaient beaucoup plus gentils avec eux, c'était relaxant. Peu importe le nombre d'années qu'ils passaient ensemble, il semblait toujours que ses baisers apaisaient tous les petits problèmes qu'elle avait. Tout devenait plus facile autour de lui, les choses étaient paisibles.

Ses lèvres laiteuses se sont engouffrées dans les siennes, sentant la texture douce de sa bouche et le goût de sa langue comme un bonbon au caramel qu'elle avait acheté à Honeydukes (la boutique est situé dans la grand-rue de Pré-au-Lard, à proximité des Trois Balais).Il a pressé son corps contre le sien alors qu'elle laissait échapper un gémissement tranquille et heureux, la fermeture l'enivrant de la meilleure façon possible. Il a pressé son corps contre le sien alors qu'elle laissait échapper un gémissement tranquille et heureux, la fermeture l'enivrant de la meilleure façon possible. Et quand il s'est éloigné de son confort, il a senti son souffle sur son visage et a souri en sachant que maintenant elle avait le même goût que lui.L'air, auparavant rempli du clapotis des lèvres qui se touchaient, était maintenant vide du silence confortable installé entre les deux. La jeune fille a enroulé ses jambes autour de son corps et a soupiré de contentement.

"On va s'en sortir, ouais ?" Elle a marmonné, "Tu sais, avec tout le truc d'emménager ensemble, finir l'école et entrer dans l'Ordre." Elle respirait prudemment.

Il s'appuya sur son coude et passa les doigts de son bras libre sur ses joues, embrassant sa mâchoire très légèrement. "Bien sûr, je vais m'occuper de toi et toi de moi, d'accord ?". Il marmonna en souriant, il se cacha dans le creux de son cou et le silence s'installa autour du couple.

(Y/N) sourit, satisfait, "J'aimerais bien, Remus." Mais Remus se perdit dans ses pensées en inspirant et expirant son parfum. Elle était la créature la plus envoûtante sur laquelle ses yeux s'étaient posés, il le savait depuis le CP, quand il l'avait vue sourire alors que le chapeau de triage la classait.