Matin en Italie-Tom Holland

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ecrit par heavenlyhollqnd

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Vous entendez le cris des oiseaux au petit matin, une légère brise qui passe par l'arche ouverte menant au balcon, et la chaleur du soleil qui frappe votre visage à travers les minces rideaux blancs de la chambre d'hôtel dans laquelle vous résidiez. Alors que tu reprends tes esprits, que tes yeux s'ouvrent lentement et que tu clignes des yeux pour éclaircir ta vision larmoyante, tu sens un poids sur ton estomac, tu baisses les yeux pour voir le bras protecteur familier enroulé autour de ta taille.


Souriant à la sensation de l'homme torse nu derrière toi, pressé contre ton dos, sentant chaque once de sa peau douce et chaude sur la tien, tu frottes vos pieds l'un contre l'autre, sentant la fraîcheur des draps de coton sous vous, et pliez doucement tes genoux pour frotter les tibias de Tom avec tes pieds, te blottissant davantage dans son étreinte. Tu l'entends inspirer et expirer lourdement, resserrant son étreinte autour de toi, et t'attirant plus près de son corps, et posant sa tête dans le creux de ton cou, avant de revenir à des respirations lentes.


Tu fais de ton mieux pour te rendormir, sachant bien qu'il est trop tôt pour se réveiller pendant tes vacances, et avec la sensation de chatouillement que procurent les boucles désordonnées de Tom qui effleurent ta joue et ton cou, tu te déplaces sous le bras de Tom, roulant sur l'autre côté de façon à faire face à ton petit ami adoré. Tom ajuste sa position, s'allongeant pour que sa tête repose sur son propre oreiller, plutôt que de partager le tien - te donnant une vue délicieuse du garçon brun qui semblait aussi angélique que jamais, se reposant paisiblement.


Tu souris paresseusement en admirant Tom, en écartant de son visage quelques boucles qui étaient tombées sur son front, avant de commencer à tracer ses pommettes et sa mâchoire, ainsi que son nez. Ton léger contact avec sa peau, qui l'envoyait dans des spirales chaque fois que tu le caressais, le faisait lentement bouger dans le lit, étirant ses bras pliés au-dessus de sa tête et arquant son dos, avant que le sourire que tu aimais tant n'apparaisse sur son visage et que ses yeux ne commencent à s'ouvrir, immédiatement concentrés et hypnotisés par toi, allongée en face de lui.


"Tu sais, ce n'est pas très gentil d'interrompre les gens pendant leur sommeil", a-t-il dit en se réveillant, affichant son sourire fatigué mais lumineux, ce qui t'a fait hausser les épaules et froncer le nez en riant. "Comment crois-tu que j'arrive à être aussi beau quand je voyage autant ?" te demanda-t-il d'un ton taquin, en penchant la tête sur le côté, en gloussant avant de se précipiter vers toi, en passant par-dessus ton corps, et en s'allongeant sur toi, juste assez pour ne pas t'écraser, mais en parvenant à passer ses bras sous toi, en t'étreignant et en enlaçant ses jambes avec les tiennes. Plaçant des baisers épars et délicats contre ta peau, allant de tes joues à tes oreilles, et descendant jusqu'à ta clavicule exposée, tu poses deux mains sur ses joues douces, repoussant son visage loin de toi, ne pouvant t'empêcher de ricaner. Il se place au-dessus de toi, ses deux mains de chaque côté de ton visage, t'admirant d'en haut.


"Est-ce que la princesse a besoin de son sommeil de beauté ?" tu lui demandes d'un ton taquin, à travers des rires ininterrompus et une moue.


Il t'a fait une grimace amusante, "d'accord, c'est ça." avant de t'attaquer avec les mêmes baisers éparpillés et ses mains trouvant tes côtes, te chatouillant. Tu te tortilles sous lui, essayant de lui échapper, mais luttant à cause de la quantité de chatouilles.

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