La lune et les étoiles

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Ecrit par vamprid

avertissements : abus, mentions de sang, légère dépression, mentions d'alcool

résumé : vous avez des parents violents. ils rentrent à la maison ivres une nuit et te battent jusqu'à ce que tu t'évanouissais presque. Tu cours vers l'escalier de secours, ta cachette secrète, où Peter te trouve en train de pleurer.

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Tu avais regardé vers la lune et les étoiles, elles étaient la seule vraie chose qui t'apportait plus de bonheur. Ils t'ont donné de l'espoir, contrairement à tout le reste de ta vie. Tu étais seule au monde.

Tu as essuyé la larme qui était tombée gracieusement sur ta joue meurtrie. C'était allé trop loin ce soir, mais comment as-tu pu rendre tes propres parents ? Les seules pensées qui te traversaient l'esprit étaient comment tes parents pourraient-ils ne pas se soucier de toi ? Etais-tu importante pour eux ?

Tu laisse échapper un sanglot étranglé, te rappelant les nouveaux souvenirs de la nuit. Les bouteilles de bière, les coups de poing, les bousculades, les cris, c'était comme s'il s'agissait de cadavres sans âme.

Tu pleurais si fort que tu n'avais même pas remarqué que Peter t'appelait de l'autre côté de la rue calme mais animée. "Y/N!" cria-t-il finalement, attirant ton attention.

Tu as sursauté un peu, espérant que ce n'était pas ton père de retour pour une autre série d'abus. En regardant autour de toi, tu avais remarqué que Peter sortait presque de sa fenêtre et te regardait fixement.

Il t'a donné le signal pendant "une seconde", et a quitté la fenêtre. Quelques instants plus tard, tu avais regardé Peter traverser la rue et monter l'escalier de secours jusqu'à ton étage.

« Qu'est-ce qui s'est passé – qui t'a fait ça ? Il a presque sauté de sur ta peau quand il a remarqué l'œil au beurre noir et de nombreuses coupures sur ton visage.

"Mes parents." Tu reniflai, les larmes piquant quelques coupures alors qu'elles coulaient sur ta joue. Il a toujours légèrement pressé sa main sur le côté de votre visage.

"Pourquoi ?"

Tu poussais un cri avant de répondre. Personne ne s'est jamais assez soucié de demander ce qui se passait à la maison. Il a enroulé ses bras autour de toi et ne t'a pas lâché.

"Personne," Il embrassa légèrement tes cheveux. "Je ne les laisserai plus jamais faire ça."

Tu ne le savais pas alors, mais Peter allait bientôt devenir ta lune et tes étoiles.

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