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George

En arrivant à l'hôpital, je vais voir la réceptionniste, pour savoir quelle est ça chambre.

- Vous êtes de la famille ?

- Non je suis celui qui l'est amener ici, en quelque sorte.

- Oui alors, il est dans la salle 169. Aviez vous besoin de quelque chose d'autre ?

- Non merci.

- Merci à vous Monsieur Davidson.
Je lui sourie et me dirige vers sa chambre. En entrant, je peut apercevoir un sourire alors que l'infirmière lui lance une blague. Le voir sourire me cause le même effet apparement. Je frappe à la porte, et entre.

- Oh ! Bonjours monsieur Davidson, merci d'être venu.
Lance l'infirmière.

- Il n'y a pas de quoi....
Mon regard descend vers son badge au niveau de sa poitrine, et remonte à son visage.

- Nicki.
Finissais-je de dire. Elle me sourie, et sort de la pièce. Mon regard se pose sur l'homme. Ses yeux d'un jaune qui me laisse en douter qu'il serait peut être plus vert, me regarde, les joues un peut rosé, auquel plusieurs point de rousseur y son marquer. Sa chevelure est d'un blond incroyablement beau. Son corps est visiblement beaucoup plus musclé que le mien, et sa grandeur est beaucoup plus élever que la mienne.

- Bonjours.
Dit-il d'une voix calme et rassurante. Je regarde ses lèvres bouger lorsqu'il dit se simple mot. Elle sont légèrement généreuse, mais ça lui donne un charme.

- Euh- Bonjours, je m'appelle Geo-

- George Davidson.
Fini-il à ma place. Je le regarde choqué.

- Et je suis Clay, ou D-

- Dream ?
Lui demandais-je. Il me sourit, et hoche de la tête. Tout me reviens maintenant. Le voyage en Floride alors que j'avais huit ans, nos souvenir, notre amitiés... Et étrangement, ce sentiments.... Ce sentiments si fort.... Je sens mes joues se chauffer, alors je détourne le regard, se qui le fait sourire.

Il est mignon quand il sourit...

- Pardon ?
Me demande-t-il. Je reviens à son regard, et la panique monte.

- Quoi ? Qui ? Hein ? Non rien ! J'ai rien-.... Dit...
Son rire me coupe entre ma dernière phrase, et je n'arrive pas à m'empêcher de sourire malgré que je suis complètement rouge par la timidité.

- Je l'est dit à voix haute n'est-ce pas ?
Demandais-je craignant la réponse.

- Oui !
Dit-il en arrêtant de rire, et en séchant une larme sur le coin de son œil. Nous nous regardons quelques instants, et j'ignore le fait que je rougisse. J'hésite à lui poser des questions... je ne voudrais pas lui rappeler tout ses problèmes...

- Tu peux les posés tes questions, tu sais ?
Me dit-il. Pendant un instant, je doute qu'il puis-ce lire dans mes pensées, mais trouve vite cette idée stupide.

- Je voudrais savoir.... Pourquoi est-ce que vous-

- Je t'en pris, ne me vouvoie pas... Et tu veux savoir pourquoi j'ai fait une tentative de suicide, c'est ça ?
Je ne répond pas, mais hoche simplement de la tête, incertain de ça réaction.

- Et bien, si je pourrais la faire courte.... Depuis que je suis jeune, je me cache du monde, j'ai toujours eu cette phobie.... Et j'ai la fâcheuse habitude de me dire que tout est de ma faute. Depuis ma jeunesse, je n'est eu qu'un seul ami, et après son départ pour retrouver son chez sois, tout a commencer à se compliquer. J'ai eu plusieurs problèmes de santé, j'ai passer beaucoup de temps à l'hôpital, et lorsque je suis revenu chez moi, j'ai eu du rattrapage à faire niveau scolarité. Mes parents m'ont fait les cours à la maison, à ma demande bien sûr, se qui ne m'a pas permis de socialiser, alors c'est pour ça que je me suis retrouver seul. Mes grand parents son décéder il y avait de ça quelques temps, et je n'est pas pu assister à leur funérailles, à cause de mon séjour à l'hôpital. J'ai donc pris beaucoup plus longtemps qu'à la normal pour faire mon deuil, parce que je ne comprenais pas encore que je ne les verrais pas une dernière fois. J'ai continuer a grandir, et j'ai commencer à avoir quelque trouble psychologique... enfin, c'est se qu'ils ont pensé pendant un long moment. Je pouvais voir mes grand-parent encore se promener dans la maison, et me parler, alors parfois, mes parents me retrouvais en train de discuter tout seul, devant mon mur. Ils ont donc décider de me faire consulter, et il m'ont fait séjourner dans une hôpital psychiatrique, par cause d'hallucinations fréquentes. Mes parents ont eu beaucoup de peine lorsque j'étais là bas, alors je ne m'y suis jamais pardonner. Lorsque je suis revenu à la maison parce que tout ça avait cesser, j'ai du prouver que j'étais complément normal pendant plus d'un an avant de ravoir la confiance complète de mes parents. Nous nous sommes rapprocher, parce que ça faisait longtemps que nous n'avions pas socialiser et passer du temps ensemble. Un jour, j'ai décider de leur payer deux place au concert de leur chanteur préférer, pour Noël, et la nuit de ce concert, ils sont mort dans une accident de voiture. J'ai donc commencer à penser que tout était de ma faute. Que si ils sont mort, c'était à cause de moi, parce que si je ne leur aurais pas donner ces billets, rien de tout ça ne se serais arriver. Que si je suis seul, c'est parce que je n'est jamais voulu socialiser avec le monde. Avant leur mort, mes parents n'avaient pas signé de testament, alors je n'est pas eu leur argent, je n'est pas eu de parent tuteur, ni rien. J'ai donc vécu seul un an de temps avant ma majorité. Comme je n'avait pas suivi de véritable court, je n'est pas pu passer mon diplôme et commencer à étudier pour un travaille. Je me suis donc trouver un travaille dans une crémerie, et j'ai donc payer mon épicerie seul, payer la maison seul, payer l'électricité seul, en gros, tout faire seul... Je n'arrivais pas à faire mon deuil, et je n'arrivais pas à comprendre que leur mort n'était pas ma faute, alors j'en suis venu à bout, et voilà pourquoi j'en suis là aujourd'hui.
Je ne répond pas, je reste silencieux. Je ne m'attendais pas à ce qu'il répondent si franchement, ni à tout ça. Ses yeux son humide, j'aurais aimer lui faire un câlin et le consoler, mais je n'ose pas... Je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire... c'est une situation délicate.

- Est-ce que quelque chose aurais pu te sauver ?
Lui demandais-je imprudemment. Je regrette tout de suite cette question, mais il ne semble pas la trouver déplacer.

- Si... Cet ami d'enfance dont je t'es parler... Il était la seul personne qu'il me restait. Il était réapparu comme ça, d'un seul coup, il y a déjà quatre ans déjà. Je ne connais pas la raison de son retour, mais si j'aurais eu le cran de venir le parler, il
aurait peut-être réussi à me sauver... Je l'ai toujours considéré comme mon chevalier qui venait à ma rescousse. Ça peut paraître stupide, mais c'est à peut près ce qu'était ma situation.
Je cligne plusieurs fois des yeux avant de poursuive mon interrogatoire.

- Et qui était cette personne ? Quel est son nom ?
Demandais-je. Il rougi légèrement.

- G-George Davidson....
Dit-il avant de détourné le regard. Je sourie, légèrement amusée.

- Moi ?!
Demandais-je, toujours aussi souriant et amusé.

- O-oui...
Je ne me moque pas, je trouve ça seulement très mignon... Je l'avait complément oublier, mais il a continuer à pensé à moi... J'aurais voulu le sauver... En même temps, c'est bien se que j'ai fait... mais, j'aurais voulu qu'il n'est pas du à avoir sauter de cette falaise avant de pourvoir le faire.

- Et maintenant, que penses tu de tout ça ? Vas-tu mieux ?

- Un peut, je trouve ça absurde... Si je suis sur cette terre, c'est bien pour y rester. Si j'ai été sauver, ce n'est pas par pur hasard.
Dit-il en croisant mon regard. Mon cœur se met à battre. Ce sentiments... est si fort... Si fort que j'ai l'impression qu'il fera exploser la terre même.... Pourquoi m'attire-t-il autant ? Je m'approche de lui, et m'assois sur une chaise à ses côtés.

- Quand vas-tu pouvoir quitter l'hôpital ?
Lui demandais-je.

- Dans quelques jours, c'est ce qu'ils m'ont dit... Mais j'en doute... à cause de mes sois disant antécédents trouble mentaux, j'hésite à croire que je vais y séjourner à nouveau.
Je soupire, se qui lui fait sourire.

- J'aurais aimer te voir dans d'autre circonstances....
Dis-je dans un murmure, même si je sais qu'il m'a entendu.

- Patience encore un peut, George...
Me répond-il sur le même ton de voix. Une impression de déjà vue me parcours, mais je n'y prête pas attention. Sa main viens sur la mienne, je la regarde alors qu'un léger frisson envahit mon corps. La sensation n'est pas désagréable.

- Je voulais te remercier d'être venu me voir, à part toi et Nicki, personne n'est venu... c'est un des désavantage d'avoir la phobie du monde.
Me dit-il. Je sourie, alors que l'infirmière entre dans la salle.

- Bonjours George ! Je suis désoler, mais je vais devoir passer quelque teste, pour savoir s'il se rétabli bien, alo-

- Je vais vous laisser seul alors.
Dis-je en me levant de ma chaise, un sourire aux lèvres.

- Ah oui, appelez moi si il y a un problème, si possible bien sûr.
Demandais-je. Elle hoche de la tête. Je leur dit au revoir et je laisse mon numéro de téléphone à la réceptionniste.

- Et si possible, passer le à Clay.
Dis-je en faisant un clin d'œil, se qu'elle trouve visiblement drôle. Je quitte l'hôpital, et va retrouver mon chats.

midnight nightmareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant