midnight nightmare

oO 22 Oo

George

Le souffle court, la tête tournante, j'ouvre les yeux, et me retrouve dans ma chambre. Il fait noir, j'entends seulement que le souffle de Dreamy. Je respire difficilement, je ne vois pas ce qui se trouve à mes côtés. Je cherche mon cadran du regard, et constate qu'il est trois heures du matin. Mon cerveau ne me permet pas de penser à autre chose que Dream. J'espère simplement qu'il va bien, et qu'il s'en sortira plus vivant que jamais. Je m'en fait beaucoup pour lui. Ce qu'il a vécu n'est pas facile, je peut avouer, mais je ferai tous se qui est en mon possible pour l'aider. Il n'en a pas eu auparavant, mais maintenant, ça va changer. Il mérite de vivre une vie stable, comme tout le monde devrais le mériter. Je trouve injuste que d'autre vive une vie parfaite, mais que les plus gentils et vulnérables vive une vie instable. C'est vrai quoi. Ceux qui vivent de la violence au foyer ont toujours un bon fond, seulement, ils croient que c'est ainsi, la vie. Ceux avec des difficultés monétaires ne veulent que de l'aide. Ceux qui ont un passé sombre, ne veulent pas nécessairement faire subir aux autres la douleur qu'ils ont endurés, ils ne veulent qu'une vie ensoleiller. C'est tout simplement injuste. Je me lève de mon lit, après m'être calmer, et me dirige vers ma fenêtre. Le tonnerre gronde. Les éclaires se défoules. La pluie pleure. Je soupire, mais continu de regarder se spectacle sombre, gris, et triste. Je me demande si Karl a passer une excellente soirée. Je prend mon téléphone, et regard mes messages. Je n'est rien. Dreamy saute en bas de mon lit, et se glisse entre mes jambes. Je sourie et la prend dans mes bras.

oOo

Ont frappe à la porte. Il n'est que dix heures. Habiller d'un simple jogging, j'hésite à aller me chercher un t-shirt. Je soupire, et oubli l'idée, ont me trouvera stupide c'est pas plus grave que ça. J'ouvre la porte, et découvre un Karl plutôt souriant. En général c'est bon signe. Je le laisse entré, et nous nous installons dans le salon.

- Explique moi cette soirée.
Dis-je simplement, souriant à mon tour.

- Alors, pour commencer, nous nous sommes rendu chacun de notre côté à son restaurant préféré. Il était plus beau que jamais. Pendant le dîner, nous avons discuté, j'en passe, par la suite, nous avons décider d'aller marcher un peut dans les rues. Tout allais bien, il faisait beau et chaud, et puis d'un coup, il s'est mis à pleuvoir. Donc j'ai pris mon mentaux pour nous protéger de la pluie. Nous étions plus tôt près. Nous avons continuer de discuter en se dirigeant vers chez lui. En arrivant, il m'a proposer de passer la nuit chez lui. J'ai donc accepter. Mais à la place de rentrer, nous nous sommes regarder un moment dans les yeux. Le silence n'était pas gênant. Et ont s'est embrasser. Nous sommes rentrer, et nous avons continuer à l'intérieur, direction sa chambre, et ça c'est terminer un pas dessus l-

- Je t'arrête maintenant Karl, je ne veux pas plus de détails.
Il se met à rire, visiblement embarrasser.

- C'est... Très romantique.
Dis-je simplement. Il rougie.

- George tu crois que c'est une erreur ?
Me demande-t-il. Je fronce des sourcils.

- Pourquoi ça le serais ?

- Et bien, et si... Il ne m'aimais pas vraiment ? Je veux dire-

- Si il ne t'aimerais pas, sa ne se serais pas terminer comme ça.
Dis-je. Il soupire.

- J'ai peur... Et si c'est été trop vite ?

- Tu l'aimes depuis combien de temps ?
Demandais-je. Il arrête de parler, et me regarde. Je ne dit rien, et attend sa réponse.

- Je- Je sais pas ! Peut-être un an, voir même un an et demi ?
J'hoche de la tête. Nick l'aime depuis beaucoup plus longtemps. Je le connais assez pour l'avoir remarqué. J'ai remarquer comment il le regardait, comment il lui parlait, comment il agissait. Il me l'a jamais assumer, mais ça a toujours sauter aux yeux. Je suis surpris de savoir que Karl me s'en ai jamais rendu compte.

- Et si je te dit que ses sentiments à lui date depuis beaucoup plus longtemps ?
Répondis-je simplement pour rompre le silence. Karl ne dit rien, seulement, il me regarde, attendant la suite.

- Ce qu'il a fait, et ce que tu as fait, hier soir, est réfléchi depuis longtemps. Ne t'inquiète pas, ce n'est pas un coup d'un soir, que vous aller regretter par la suite. Sapnap a dû passer la meilleure soirée de toute sa vie. Et elle était passer avec toi.
Karl ne fait qu'hocher de la tête.

- Il t'aime depuis environ deux ans, même voir trois, alors ne doute pas.
Un sourire s'affiche sur son visage. Sa joie est difficile à manquer. Je suis content de le voir heureux.

- Et comment ça c'est dérouler se matin ? Est-ce parce qu'il s'est passer quelque chose se matin que tu doutes ?

- Non, au contraire. Se matin, c'était des mots doux et des petites affections.
J'hoche de la tête. Il a le regard perdu. Un sourire est dessiner sur son visage, je le vois bien qu'il est amoureux.

- Ah oui, je voulais te demander. Toi et Clay ?

- Moi et Clay ?
Demandais-je. Juste repenser à lui me fait sourire.

- Oui, toi et Clay.
L'image de moi et lui, sur de sofas, à regarder un filme me passe par la tête. Je sens mes joues se mettre à bouillonner, alors je baisse la tête afin d'éviter le regard de Karl.

- Je vois pas de quoi tu voudrais que je parle à son sujet. Mise à part le fait qu'il sort de l'hôpital demain.

- C'est génial, tu vas pouvoir le voir dans d'autre circonstances.

- Qu'est-ce qui te fait croire que j'ai envi de le voir en dehors de l'hôpital ?

- Ton rougissement peut-être.
Je rougie de plus belle. J'arrive pas à le cacher. C'est vrai, Dream m'attire, et, mon cœur s'emballe chaque fois que je le vois, je pense tout le temps à lui, je m'imagine des moments avec lui, m'imagine mon future avec lui, je veux à tout pris l'aider, je me souci beaucoup de lui, mais ça ne veux pas pour autant dire que je l'aime.. Enfin, ont va dire juste un peut...

- Lorsque qu'il sortira, propose lui un rancard, que ce sois une semaine plus tard je m'en fou, seulement, je veux t'entendre dire que tu as eu un rencard avec lui, au moins une fois. Si tu le fait pas, je vais composer son numéro, et te redonnerai ton téléphone lorsqu'il aura décrocher. C'est compris ?
Je soupire, et hoche de la tête.

- Et oubli pas de te mettre un t-shirt à se moment là.
Je roule des yeux et lui lance un oreiller en pleine tête, se qui lui fait rire.