Dream
Tout es silencieux dans la voiture de George. Je regarde le paysage, par ma fenêtre, et lui reste concentrer. Je lui jette quelque coup d'œil, parce qu'il est trop mignon quand il est concentré. George a dû venir me chercher à l'hôpital , puis-ce que je n'avais pas de transport. Pendant mon séjour là bas, je me suis inquiété pour Patche. Ils ont affirmer qu'un policier l'a amener avec lui pour s'en occuper, et me la rendrais si je reviendrais à mon état normal, et non pas entre la vie et la mort. Nous sommes déjà été la chercher, mais je redoute mon arriver chez moi. Elle va tout simplement me rappeler des souvenirs que je veux oublier. J'entends George soupirer à mes côtés, toujours aussi concentrer. Je tourne la tête vers lui, et le questionne du regard.
- Okay... J'ai une question à te poser. Est-ce que retourner chez toi te rappellerais certain souvenir désagréable ?
Me demande-t-il. Je le regarde encore quelque seconde, sans rien dire, avant de me décider à répondre.- En quelques sortes, mais il faut s'y faire.
Dis-je simplement.- Veux-tu qu'ont aille chercher tes affaires, et tu passera quelques temps chez moi pour commencer ? Tu vie une situation délicate, et j'imagine que t'arracher à ta routine pourrais te faire un peut de bien ?
Je ne répond toujours pas, je le regarde. Il est si beau... comment refuser ? En plus, il n'a pas tord.. Mais si je fait quelque chose de mal, il pourra très bien me balancer à la porte... Et le je serai réellement seul... Mais, passer quelque temp hors de ma routine pourrais probablement m'aider, et devoir socialiser pourrais m'aider à guérir ma phobie du monde...- Ça ne te dérange pas ?
Demandais-je surpris. Il secoue de la tête.- Je veux dire, tu vie seul depuis je ne sais combien de temp, et savoir que tu va devoir partager ton appartement avec un dépressif, sa ne te dérange pas ?
Il rie, ma question lui fait rire. C'est comme une mélodie... ça me fait sourire...- Bien sur que non, et si ça pourrais t'aider, je ferai tout mon possible pour que tu ailles mieux.
- D'accord, alors pourquoi pas.
Dis-je d'une voix calme. Je retrouve du regard, le paysage à l'extérieur. Le soleil brille de tout est éclat aujourd'hui. Aucun nuage a l'horizon. Enfin arriver chez moi, je prend une grande inspiration, et dépose Patche sur le banc arrière. Je rentre, accompagner de George qui me suis de près. Il ne me semblait pas aussi petit lorsque j'étais assis sur mon lit d'hôpital, mais ça le rend encore plus craquant. J'essaie de regarder le moins de chose possible afin de n'avoir aucun souvenir, mais ma respiration est courte. Il l'a remarquer. Il semble inquiet. Je prend un sac sous mon lit, et commence à y mettre des vêtements, je prend le stricte minimum, je sais que je reviendrai un jour. A cette simple penser, la panique souhaite monter, mais je la repousse. J'ouvre un de mes tiroirs de ma table de chevet, et retrouve une photo de George étant plus jeune, ainsi qu'un bracelet qu'il m'avait fait. Il fixe le bijou, et sourie, le regard absent. J'imagine qu'il vient de se rappeler d'un souvenir. Je le prend, et l'observe. George ne le quitte pas des yeux non plus. Je sourie, et décide d'essayer de le mettre. Il est petit, mais il me va toujours, ce qui fait sourire celui qui fait battre mon cœur. Je ne sais pas comment ça va se dérouler, mais j'espère le mieux et redoute le pire. Après avoir fini, nous remontons dans sa voiture, direction chez lui. Je regarde le bracelet à bille verte et bleu, me rappelant tous mes souvenir passer avec lui, étant plus jeune, lors de son voyage. Enfin arriver, il me fait visiter, et me montre la chambre que j'utiliserai. Il affirme que s'en ai une de trop, et qu'il n'a jamais su quoi en faire.- Si il y a quoi que se sois, qu'il sois jour ou nuit, tu me le dit. Que je dorme ou pas, tu viens me voir. Dès que tu auras besoin de moi, je serai là, occuper ou non. D'accord ?
J'hoche simplement de la tête.- Je ne veux pas que tu te gêne.
- D'accord.
Dis-je simplement.oOo
Vers vingt-deux heures, nous sommes tous les deux en train d'écouter un filme, côte à côte. Je vois bien qu'il est fatiguer, mais il ne veut pas me laisser seul. Il n'arrête pas de me le dire. J'ai fini pas céder, et le laisser. C'est un filme romantique qu'il ne semble pas vraiment apprécier. George pose sa tête sur mon épaule, et ferme les yeux. Je le regarde quelque secondes, avant de me concentrer sur le filme. Ses cheveux me chatouille le coup, se qui me fait frissonner. J'évite de lui caresser l'épaule, ou d'entourer mes bras autour de son cou, et le laisse s'endormir paisiblement. Au bout de quelques minutes, alors que je suis entièrement sur qu'il s'est endormie fermement, je le prend dans mes bras, et va l'apporter jusqu'à son lit. J'apporte ses couvertures jusqu'a son cou, et va fermer la télévision. Dans le coin du salon, Patche et Dreamy dorme un à côté de l'autre. Je sourie, et me dirige à ma chambre. Je regarde le plafond, et fait une légère prise de conscience. J'ai essayer de me retirer la vie parce que je n'avais aucune aide, et que je croyais être seul pour le reste de ma vie. J'ai survécu, parce que j'ai été sauver par l'homme qui m'est le plus cher dans ma vie. Maintenant, je suis chez lui, et je vais passer quelques temps avec lui, temporairement... Je suis fou ou quoi ? Comment je vais réussir à cacher mes sentiments ? Comment je vais faire pour ne pas avoir tout le temp envie de lui donner un câlin, ou de l'embrasser ? Comment je vais faire pour ne pas sortir quelques mots doux et attentionnée ? J'ai passer ma journée, le cœur battant, à m'imaginer beaucoup trop de scénario, et chacun se produisais avec lui.. Vais-je un jour avoir le cran de lui dire ? De lui dire que je l'aime d'un amour inconditionnel ? Que je me vois finir ma vie avec lui ? Je me souviens... lorsque je l'est revu, il y a quatre ans déjà, une voix dans ma tête m'avais murmuré que c'était l'homme de ma vie, mais j'ai trouver ça ridicule.... Mais j'aimerais tellement que se sois vrai...
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midnight nightmare
FanfictionGeorge ne dors plus beaucoup depuis quelques jours, le même rêve s'avère répétitif, et le terrifie de plus en plus. Mais viens un moment ou le personnage de son cauchemars n'apparaît pas seulement à ces moment là. George le vois partout, peut sentir...