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Dream

Nous sommes tout les deux assis sur le sofas... enfin presque. George est coucher, la tête sur un oreiller, qui se trouve sur mes jambes. Nous regardons la télévision, mais la fatigue s'empare de moi. Je n'ose pas me lever, pour ne pas déranger George. Les deux chats se trouve sur le dossier du sofas, à côté de ma tête. Je peut entendre leurs ronronnement. Mes yeux se ferme, petit à petit. Je combat la fatigue. George s'endort, le rythme de sa respiration me le prouve. Je commence à lui caresser la joue, et replace une de ses mèches de cheveux. Comment il fait pour être si mignon ? Son visage détendu le rend encore plus irrésistible. Ne pouvant plus combattre la fatigue, je ferme les yeux, et adosse la tête contre le dossier du sofas, et m'endors paisiblement.

oOo

Je sens George bouger, se qui me réveille. J'ouvre difficilement les yeux, et le retrouve, à moitié endormi lui aussi. Le soleil illumine à l'extérieur. Il doit être tôt étant dit qu'il est encore bas à l'horizon.

- Bon matin.
Me dit-il la voix encore endormie en se redressant. Je ne sais pas pourquoi, mais elle me provoque un léger frisson. Je repense à se qui c'est passer hier, dans la ruelle. Au moment où il s'est reculer, je m'apprêtais à déposer mes lèvres sur les siennes. J'imagine qu'il l'a remarquer et que c'est la raison pour laquelle il s'est reculer. C'était plutôt gênant comme moment, et ça l'est encore maintenant. C'était prévisible, je n'arrive pas vraiment à cacher mes sentiments. Lorsqu'il a resserré ma main alors que je l'avais prise inconsciemment, j'avais envie de disparaître tellement j'étais gêner. Lorsque ses mains étais dans mes cheveux, j'avais envi de fondre littéralement.. Je ne sais toujours pas pourquoi il a fait ça d'ailleurs.

- Bon matin..
Dis-je lorsque je reviens à la réalité. Dreamy saute sur mes genoux, et s'endort sur l'oreiller qui s'y trouvais. Dans exactement deux jours, j'obtiendrai vingt et un ans, ça me fait étrange. Je m'imaginais terminer ma vie à vingt ans. Je repense au cinq juin. Lorsque j'ai plonger... je me souviens seulement de George qui lutte pour me sauver. Je revois en boucle le moment, alors ma respiration commence à saccadée. Je revois le moment lorsque j'ai appris la mort de mes parents. Mon séjour à l'hôpital, mon séjour en psychiatrie... je revois tout les mauvais moment, et oubli complètement les bons moments. J'ai chaud, j'ai la tête qui tourne, mes mains tremble, un cillement me casse les oreilles... je retiens mes larmes. Je sens une main sur mon épaule, se qui me sort de mes pensées.

- Hey, respire, je suis là, concentre toi sur le moment présent.
Me conseil George, accompagner d'une voix calme. J'écoute son conseil, et énumère se qui se passe en se moment. Je vais avouer que je me concentre plus sur le fait que je suis avec lui, depuis le temp que j'en rêve. Est-ce que si je n'aurais pas fait une tentative, j'aurais eu le cran de lui parler ? Ou je me serais tout simplement contenter de le regarder venir à la plage, tous les soirs ? J'adosse ma tête contre son épaule, et il me caresse la mienne. Ça détend. J'enfoui ma tête dans son cou, et cherche du réconfort. Ça me rappelle des moments passer avec ma mère. A chaque fois que je faisait une crise de panique, c'est exactement se qu'elle faisait. Sur cette pensée, je ne peut m'empêcher de sourire.

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- Ça va mieux mon grand ?
Me demande-t-elle. J'hoche simplement de la tête, et éssais de respirer a un rythme régulier. Elle continu de me caresser l'épaule, alors que mon père entre dans la pièce. Il s'approche de nous, et s'accroupie devant moi et le sofas.

- Si tu veux, ont ira se balader sur la plage, tout les trois ?
Je sourie à sa proposition, et hoche de la tête, une énième fois....

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Je vais mieux, mais je profite du moment. George positionne sa tête sur la mienne, et continu de caresser mon épaule. L'odeur de George imprègne mes narines, il sent vraiment bon. Les yeux fermer, je me concentre sur ses caresses. Chacun de ses mouvement me procure des frissons. Nous restons dans cette position encore quelque minutes, avant que l'ont frappe à la porte.

midnight nightmareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant