midnight nightmare

oO 9 Oo

George

Je sort de ma voiture, et me dirige, le sourire aux lèvres, sur la plage. Au loin, près de l'eau, se trouve Dream. Je m'approche, petit à petit, et juste avant que je n'arrive près de son oreille pour lui chuchoter un petit : Boo ! Il se retourne vers moi.

- Salut !
Lui lançais-je, déçu de ne pas avoir réussi à lui faire peur. Je viens à ses côtés, et me demande si je pose ma main sur son épaule, je ne toucherai rien, ou il est vraiment là, physiquement, sans l'être réellement.

- Salut !
Me répond-Il sans me quitter des yeux. Je veux retirer son masque qui couvre ses expression faciales.. Mais il ne voudra pas... C'est peine perdu.

- Regarde comme le soleil à l'air si près de nous, mais il est si loin de nous...
Souffle-il.

« Regarde comme le soleil à l'air si près de nous, mais est si loin de nous ! »

- Il réchauffe beaucoup aussi...
Répondis-je dans un murmure. Je fronce des sourcils. C'est étrange ça... Je me retourne vers lui, et l'admire. Je devrais voir son visage... Peut-être qu'il me serais familier lui aussi... j'approche ma main vers lui, mais il se décale. Je soupire, et abandonne.

- Ça n'aboutit à rien.
Chuchotais-je.

- Arrête de faire ton grognon et attend encore un peut.
Me dit-il.

- Je fait ma mon grognon !
M'exclamais-je en portant mes bras contre ma poitrine. Dream tente de retenir un rire, mais n'y arrive pas.

- Arrête, je vois pas se qu'il y a de drôle...
Je soupire, et m'assois sur le sable. Dream m'imite, nous ne somme qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Mon cœur s'emballe face à cette remarque. Mes joues commence à me chauffer. Pourquoi je réagi ainsi ? Nous restons en silence quelques instants. Je voudrait être encore plus près... Sentir ses doigts entre les miens, sentir son corps contre le miens... Ses lèvres sur les miennes... Je secoue de la tête pour faire fuir mes pensées.

- Tu sembles plutôt absent aujourd'hui.
Me lance-t-il. Je lui lance un regard bref. Je ne répond pas, et profite de sa présence.

- Tu as apprécier se que j'ai fait cette nuit ?
Dit-il avec de l'amusement dans la voix. Je rougie, et tourne la tête vers la gauche puisqu'il se tien à ma droite.

- Tait toi...
Répondis-je, se qu'il lui fait rire. Je sens sa présence s'envoler, et disparaître. Il est partit... Je me retourne pour confirmer, et je ne le vois plus. Envoler... Je soupire. Je pose ma main là ou il était assis, et m'imagine qu'il est toujours à mes côtés. Je soupire.

- Arrête de disparaître comme ça...
Chuchotais-je. Je me lève, et commence à marcher le long de la plage. Le vent souffle fort aujourd'hui... je me sens libre... Comme si le monde m'appartenait, comme si seul moi et Dream y habiterais. J'aimerais bien... J'ai l'impression que quelqu'un glisse sa main dans la mienne, mais il n'y a personne. Je continu à marcher, je sens sa présence. Je ferme les yeux pour profiter de se moment. C'est différent... Je ne le vois pas, mais je le sens. Son odeur m'enveloppe... J'en perd la tête. Je veux absolument le voir et pourvoir sentir son corps contre le mien, c'est un de mes rêves les plus fou...

oOo

Assis sur le sofas, le journal de Dream à la main, les deux chats à mes côtés, je m'apprête à me plonger dans ma lecture. A l'extérieur, le temps est gris. Encore une semaine d'achever. Je ne cesse de penser à lui.... Je tourne les pages du journal jusqu'à la troisième.

28 mai ——

Aujourd'hui, j'ai réussi à gagner le sourire. Ça faisait un moment que je ne m'étais pas senti aussi heureux. Se matin, je suis aller sur la falaise, et j'ai pu y voir George sur la plage. Il parlait au téléphone, avec ses parents si j'ai bien compris. Sa voix est toujours aussi mélodieuse, mais seulement plus grave. Il semblait heureux d'un événement où je ne sais pas, mais dégageais une énergie très positive et ça m'a affecter. Il y a quelque jour, je me suis trouver un travail à une crémerie en ville. Ce n'est qu'une demi heures de marche, mais sa me permet de respirer une nouvelle air. Aujourd'hui, en arrivant à mon travail, mon sourire éclairais ceux des clients. Et alors que j'étais à ma pause, Il est entrer, un sourire aux lèvres. Je me demande toujours qu'est-ce qui a pu le rendre de si bonne humeur. Alors qu'il allait partir, je lui ai dit bonne journée, par pur politesse parce que l'autre qui travaillais pendant ma pause ne l'avais pas fait, il est du genre grognon. Mais, avant de traverser la porte, il m'a dit : À vous aussi ! Avec beaucoup de joie dans la voix, se qui m'a réchauffer le cœur. C'était la première fois que l'ont me répondais avec autant d'enthousiasme. Il ne m'a pas vu, ni regarder, mais ça a fait ma journée entière. Mise à part ça, je n'aime pas trop être entourer, mais nous sommes très peux derrière le comptoir alors j'ai quand même de l'espace, et les clients ne reste que quelques minutes, même voir quelques secondes. Et se soir, lorsque je suis revenu, il était encore là, assis sur le sable. J'ai sourie, et je suis rentrer. J'aurais aimer entendre sa voix plus longtemps, mais on a pas tout ce que l'on veut dans la vie, n'est-ce pas ?

Je me souviens de cette journée. Je n'avait que vingt ans, je venais d'emménager il y avait quelque mois. Mes parents venaient de me dire qu'il viendrait me rendre visite. J'avait été heureux, mais ce n'était pas la raison de ma si grande bonne humeur. Je venait d'apprendre que mon père qui avait été gravement malade sortait de l'hôpital, en parfaite santé. Ça avait illuminer ma journée, et m'avait donner de l'espoir pendant les semaines qui suivait. J'avait très hâte de les voir. Et savoir que les miracles existait, c'était la plus belle chose que l'ont pouvais me dire. J'aimerais qu'un miracle puis-ce ramener Dream vivant... J'aimerais tellement lui dire que la vie a toujours une issue de secours, et qu'il faut savoir la prendre dans une situation délicate. Si nous nous serions parler et rapprocher, j'aurais pu lui dire, et tout sa ne se serais pas produit... Parfois la vie ne nous donne pas tous se que l'ont veux en effet... Et il faut savoir vivre avec...