Chapitre 2

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PDV Allison

Laissez moi rire. Regardez-moi moi tout ces gens, s'activant, courant dans tous les sens.
Et moi je suis ici, attendant, de toute façon je n'ai pas bien grand chose à faire, assise sur ce banc de bois dur, mes mains attachées avec ces vieilles menottes rouillées, qui m'appelle, me juge.
Mais à quoi bon attendre?
On sait tous ce qui va se passer. On va ressortir tous ce que j'ai fait, ces satanés juges vont "délibérer" et ils vont revenir pour dire que je suis condamnée à perpétuité dans cette prison psychiatrique nommé, si je me rappelle bien, Fohal. Quel nom stupide!

Je fus arrêté dans mes pensées par un bras qui me força à me lever:
"Dépêche toi! Je n'ai pas que ça à faire!"
Bien sur, c'est ton métier non?
"Écouter, traiter moi correctement je vous prie, vous savez je suis une personne très gentille, en règle générale, mais je n'aime pas trop qu'on me manque de respect." dis-je en m'arrêtant et le regardant droit dans les yeux.
Ce bonhomme détourna le regard et ne répondit même pas. Quel petit joueur! Ce n'est pas comme si j'allais le tuer. Je continua donc à marcher derrière lui. Plus en s'approchait et plus le brouhaha ce faisant intense.

Et  comme par magie, quand je pénétra a l'intérieur de la salle d'audience, silence de mort. Je pouvais presque entendre la mouche, si il y en avait une, voler. Tout les regards étaient braqués sur moi.
Et puis, à gauche, un éternuement. Je tourna la tête, et entra en contact visuel avec un petit garçon. Je lui souriait et lui lança la main. Mais ce que j'eus en retour fût le petit en pleure se cachant derrière, ce que je suppose, sa mère. Je perdus mon sourire mais je n'eus le temps de faire quoique ce soit, qu'on me traina au centre.

Tout le monde se rassirent et le juge commença à rabâcher tout ce que je savais déjà.

Puis vint le moment des photos, et là : cris d'effroi dans la salle. Je retenue un rire tout le long du diaporama, si vous auriez vu la tête des gens! C'est pas comme si cela était vraiment horrible.
"Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense?"
À quoi bon que je dise quelque chose, ils sont persuadés que c'est moi la coupable, et ils ont peut-être raison. Alors je le regarda, avec mes yeux verts perçant, droit dans les yeux et lui répondit fermement:
"Non."
Puis, comme je l'avais dis, ils s'éclipsèrent pour "délibérer". Pas longtemps de toute façon, on connaît déjà tous la sentence.
Ils revinrent et déclarèrent d'une voix légèrement tremblante:
"Condamné à perpétuité dans la prison psychiatrique Fohal, jusqu'à la mort."
Tiens, je ne mis attendais point.

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Alors voila le chapitre 2, j'espère qu'il vous plaît.🙊 je ne vais pas faire de blabla mais juste n'hésitez pas à aimer, commenter, partager.
Sur ceux à bientôt.💗

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