Epilogue

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"Harry,

Tu sais, la première fois que je t'ai vu, j'ai tout de suite su que rien ne serai normal avec toi.

Enfin, le mot normal pour moi n'est certainement pas le même que pour toi.
De toute façon que veut réellement dire le mot "normal"?
On peut très bien dire "ce chien étrange" ou "cette personne bizarre".
Pour certaines personnes tu peux être qualifié "d'étrange" ou de "normal" en fonction de leur point de vue, de leur croyance, de leur façon de vivre.

Alors voilà, moi, dès que je t'ai vue, toi, cet magnifique homme avec une carrure bien porté, c'est magnifique cheveux bouclés et ses hypnotisant yeux verts, je me suis dis qu'il y à quelques choses qui cloche en moi.
Je buvais tes paroles, je me perdais dans tes yeux et je louchais sur tes lèvres.
Depuis le début.
Même si j'étais froide envers toi, je me renfermais, c'était simplement car j'avais peur.
Et oui peur, cette forme si primitive qui te protège en te faisant fuir.
Je n'avais jamais connu se sentiment d'être aimé, apprécier pour moi.
J'avais toujours était le vilain petit canard qui ne savais rien faire. Qui était exclu, qui était seule.

Seule, Voila se que j'étais.
Enfaite, si j'ai terminé comme cela ça remonte à tellement longtemps.
Mes parents.
Oui, c'est être qui t'amène bonheur et amour, santé et sécurité.
Ils m'ont toujours poussé à faire le mal.
Je ne pouvais pas jouer avec des poupées comme toutes les petites filles.
Je ne pouvais pas avoir d'amis comme tout les petits enfants.
Je devais les effrayer.
Alors j'étais renfermé, mais parents n'étaient jamais heureux, fière quand je ramenais mes bonnes notes et je récupérais toute leur haine.
Ils étaient carrément fous.

Je n'étais qu'une prisonnière,
Prisonnière du chagrin,
Prisonnière jusqu'à la fin.

Alors quand j'ai pus, j'ai décidé de me venger.
Et c'est comme ça que tout à commencé.
Et si tu savais comme je m'en veux d'avoir enlevé le bonheur à des familles qui n'avait rien demandé car tout simplement je ne l'avais jamais eux.

Toute cette culpabilité est arrivé quand j'ai commencé a te laisser entrer dans ma vie.

Et si je te raconte pourquoi j'en suis arrivée la, c'est que tu le mérite.
De savoir pourquoi ça doit se finir comme ça.

Au moment ou je t'ai laissé entrer en moi.
Tout à basculer.

Je commençais à sentir la joie, le droit de rire, de sourire, d'aimer.
De se sentir aimer, d'être soi même.

Si tu savais en se lapse de temps, comme j'ai était heureuse.

J'étais tellement perdue que j'ai réussi à trouver l'introuvable, toi.

Mais voilà, je n'avais pas le choix.
Je suis un monstre.
Un jour au l'autre tu aurais souffert.
Et de toute façon je ne méritais pas de vivre.

Tu étais trop impliqué dans me vie et si tu savais comme je suis désolée.
Tu me pardonnera certainement jamais et j'en suis consciente mais je m'excuse encore une fois.

Tu sais, toutes les histoires ne se terminent pas en contes de fée comme le laisse croire les dessins animés pour enfants et il faut voir la vie comme elle est, détruite.

Si tu ne m'avais jamais rencontré tu aurais pu vivre une vie calme est paisible, comme dans un conte de fée.

Mais dans notre histoire Harry, il y à une chose qui fait partie des contes de fée,
Je t'aime.

Allison."

PrisonnièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant