Elle s'assit sur lui et enfuis ça tête dans son cou rouge, il se leva la tenant fermement, il la déposa sur le lit doucement et s'allongea près d'elle, le silence était roi dans cette nuit froide a l'approche de l'hiver.
Aizawa- Tu te souviens de notre dernier promesse?
Bakugo- Même si les oiseaux ne vole plus, le ciel devient gris, notre cœur est à des kilomètres, qu'on ne se revoir plus jamais... on s'aimerais à jamais. Dit-il les joue rouge écarlate.
Aizawa- Si tu meurt, emporte moi avec toi, je pourrais pas vivre sans t'es bras... la seule chose que je veux c'est ton bonheur pour le miens.... On était des vrai poète.
Bakugo- ouais...
Aizawa- et pourtant... mon cœur était tient, il est tient... il est redevenue tient. Dit-elle en rougissant furieusement. Et il restera tient.
Bakugo- j-je...
Il se tourna brusquement et tourna la tête de la louve et l'embrassa, ils partageait tout leurs sentiments, leurs peur et joie. Juste de la passions, énormément de passions. Elle lâcha ses lèvres avant de s'asseoir toussent, elle mis ça main sur ça bouche du sang coulait abondamment, elle blond s'assit inquiète et la regarda choquer.
Aizawa- Shota! Cria-t-elle en se levant.
Elle courait à pas lourd suivit du blond, les gens sortir dans les vape et vit quelqu'un courir, arriver en bas la louve tomba à genoux, ses yeux la brûlait extraordinairement au point d'hurlée de douleur, tout le bâtiment était réveillé, Aizawa qui avait entendu les cris était immédiatement venu voir. Il restais figé regardant la floque de sang qui était sous la louve qui avait les mains sur son visage dégoulinant de sang, les cris étaient remplacé par de rire glauque et des supplications.
Aizawa- le traitement était un échec! Je suis toujours ahah malade... ahah! J-je veut mourir...ahah.
Elle retira ses mains pour laisser voir son visage remplis de griffures et un sourire tiré en un énormément rictus, elle crachait du sang en même temps qu'elle rigolais, elle avait le regard rempli de douleur et de tristesse mais une expression joyeuse. Le blond au cheveux rouge, marcha vers elle, le sang au contact de son pied le fit frémir avant sa genouillère devant elle, il la regarda avant de la prendre dans ses bras, elle lui rendit en le serrant, lui greffent le dos.
Aizawa- ça fait mal...
Bakugo- Je portait ta douleur avec toi. Chuchota-t-il tendrement.
La louve crachait toujours du sang, ses plaie saignant sans arrêter, elle avais trop mal pour se faire cicatrisé, elle se pencha légèrement en arrière en fermant les yeux, une larmes tomba dans la marre de sang avant qu'elle ne tombe dans un cauchemar.
PDV MIKASUKI.
Mais... C'est vraiment la fin? Je vais mourir comme ça? Il ne sera pas fière de moi... Comment? Et pourquoi... Je comprends même pas se que je raconte.
- Une vie de malheur, j'ai une maladie assez spéciale... je pensais que le traitement avait fonctionné...
Je me leva de ma chaise et regarda la pièce noire où j'étais... C'est ma conscience?
- exactement... comment va tu Mikasuki Toria.
- parfaitement bien mais Toria c'est du passé.
- Quel passé? Celui où Katsuki et toi était naïf et "amoureux" ou celui où tu servait de rat de laboratoire?
-les deux...
-et maintenant alors... qui est tu dans tout ça? C'est quoi ton but au juste?
Mon but? Je me souviens pas quand... j'avais pas de but... je n'étais qu'une marionnettes.
PDV EXTERNE
- Elle fait une crise cardiaque! Cria l'homme en commençant un massage cardiaque.
Après plusieurs minutes, un sont continue annonça un silence cruel.
- heure du décès 23h 45.
PDV Mikasuki.
NON! JE MOURAIS PAS! JE VEUX VIVRE!
- JE SUIS MIKASUKI AIZAWA! ET JE DEVIENDRA LA FEMME DE BAKUGO QUOI QU'IL ARRIVE! LA MORT PEUT ALLER SE BRANLE SUR ÇA CHAISE! Hurla-je sur ma conscience fière.
-j'ai crû que c'était la fin... voilà ton but, devient l'officiel.
PDV EXTERNE.
La femme ouvrir les yeux, les machine redémarrant, toute les médecins présents était aussi blanc que de la neige, il ouvrir le baz à oxygène et l’endormi la louve.
~~~
Tout les lycéens de la seconde A regardais l'endormir, elle ouvrir timidement les yeux avant de le refermé aussi tôt, elle lâcha un petit soupire de soulagement.
Aizawa- content de voir que je suis pas encore morte... se serait dommage.
Mina- aizawa ça va? Tu te sens comment?
Aizawa- comme ressuscité. Dit-elle avec des sous entendu qu'elle pouvait qu'elle même comprendre.
- effectivement. Dit un médecin en entrant. Tu es morte 4minute. Dit-il en prenant se constante. Comment va ta gorge?
Aizawa- parfaitement bien.
- t'es yeux?
Aizawa- fatigué...
- ta qu'elle age?
Aizawa- bientôt 17 dans... dans...
Elle regarda le vide avant de regarder autour d'elle, elle ne savait plus quand était son anniversaire.
Bakugo- dans quelques jours, le 20 décembre.
Aizawa- oui! J'avais oublié.
-hmm... regarde moi.
Il mis une faible luminosité dans les iris de la louve, elle lui prit le poignet avec force et poussa ça main, elle se redressa en frottant son œil, elle regarda l'appareil dans la main du médecin avec mépris.
- c'est juste un laser, je suppose que tu n'a pas aimé la sensation.
Aizawa- non! C'est très désagréable cette lumière.
- manger ça. Dit-il en lui donnant un bonbon.
Elle le prit avec gourmandise quand, elle le porta à ça bouche quand une odeur salé vient chatouiller ses narine, elle mis le bonbon dans ça bouche et le mis sous ça canine et le tranché d'un coup, elle sentais le goût de plusieurs aliments quand ça peau prit une couleur rouge et commença à gonflé légèrement.
- tu fais un relation allergique...
Sero-ta tête! Une tomate trop mûr!
Mina- faite une photo!
Jiro- sourit! Dit-elle en fessant la photo sur le regard rempli de colère de la femme.
Kaminari-tu partager!
Ochacho-moi aussi!
Mineta-ouais à moi aussi.
Momo- envoie à tous le monde.
Aizawa- je vous...vous détester.
Après un moment, le médecin calma l'allergie de la louve puis poursuivi ses tests, elle n'arrêtait pas de réfléchir au futur, comment devait t-elle faire?
VOUS LISEZ
Un jour, ton coeur redeviendra mien.
FanfictionJuste un amour d'enfance, un amour enfantin, mais si pur et réel pour le jeune Katsuki. Malgré les jours, les semaines, les mois et les années, il l'aimait encore. Juste un amour d'enfance, un amour enfantin, mais si pur et réel et douloureux pour...