chapitre 17

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Heyy! Je vous informe d'une petite chose avant ce chapitre.

Je suis vraiment hyper touché que vous soyez autant à suivre cette histoire.

Mais d'une autre part, je me met beaucoup trop la pression pour écrire la meilleure version de mon histoire.

Cependant, je reprends les cours comme beaucoup de gens ici, et je vais suivre une école vraiment intransigeante.

C'est pour cela que pour l'instant je veux plus me concentrer sur mes études.

Et avec toute franchise, j'aime toujours autant Rafe et outer banks mais cet univers m'a rapidement lassé. (niveau écriture)

Cependant, je continuerai l'histoire! Mais je ne ferais pas 40 chapitres comme prévu, avec un tas de retournements de situations et des complications, mais plutôt une histoire plus courte et qui se terminera dans 5 ou 6 chapitres avec bien sûr un gros avancement entre la situation Rafe-Florence et Florence et tous ses proches pour ne pas vous laissez sur votre faim.

Je suis vraiment désolée car c'était totalement stupide de ma part de poster cette histoire alors que c'était utopique de la finir avant la rentrée. (Ce que je pensais faire)

J'espère que cela ne va pas trop vous décevoir, et en tout cas je continuerai à écrire! Mon propre roman je pense, et cette fois-ci prendrait mon temps et le publierai lorsqu'il sera terminé.

Je m'excuse encore une fois, car c'est vraiment navré vous qui êtes
tellement dans cette histoire!

Si l'envie m'en prend, vu qu'il manquera une grosse partie à l'histoire je ferais éventuellement une seconde partie dans quelques temps.

En tout cas bon chapitre quand même :)



Florence rentra chez elle fatiguée, elle n'avait pas sommeil non, elle était fatiguée d'autre chose.

Quelque chose de plus profond, quelque chose qu'elle ne maîtrisait pas apparemment.

Elle faisait passé le besoin des autres avant les siens pour au final, ne rien avoir en retour. Même pire, pour que au final toute la merde de ces histoires reviennent sur elle.

Mais cette fois-ci, elle ne pleura pas. Au bout de quelques minutes elle rentra chez elle, complètement trempé sans dire un mot.

Son père inquiet, encore une fois prêt à l'engueuler vint jusqu'à elle. Florence savait pertinemment ce qu'il allait faire.

Alors elle resta là, planté sur le palier, ses cheveux blonds dégoulinant sur le sol et son mascara qui avait coulé étalé sur ses joues.

Son père ne l'avait jamais vu dans un tel état malgré les dernières conneries, qui ne lui ressemblait pas du tout, qu'elle avait pu faire depuis son arrivée ici.

À la place de ça, lui demanda:

- Tout va bien?

Elle lui répondit que oui d'un simple mouvement de tête et monta directement à l'étage.

Elle prit une douche bien brûlante et alla directement se coucher.

Cette fois-ci elle ne trouva pas le sommeil, mais elle s'efforça à essayer de dormir.

Cela l'étonnait que son père ne lui avait pas fait la moral. Ce soir, elle n'était pas triste ou une pleurnicharde du point de vue de certaines personnes, elle était seulement agacée.

Finalement le lendemain matin, elle fut réveillé par la lumière du jour. La date indiquait qu'on était Vendredi, ce qui se traduisait aussi par le fait que Florence devait aller garder Wheezie.

Elle se prépara en ayant l'intention de rester dans sa chambre jusqu'à ce soir.
Mais dans les alentours de 13h, elle entendit de gros klaxonnement en bas de chez elle.

Elle se pencha par la fenêtre et vu la personne qu'elle s'attendait à voir, Rafe.

En la voyant par la fenêtre, il klaxonna une nouvelle fois, ce à quoi elle lui tendit son majeur avant de fermer la fenêtre.

Bien sûr cela énerva le blond, et il continua à agacer tout le voisinage
, jusqu'à ce que le père de Florence lui ordonne d'aller voir ce que Rafe pouvait bien lui vouloir pour faire un boucan pareil.

Elle descendit alors, d'un pas nonchalant pour aller voir dehors. Elle ouvra brusquement la porte passager de son pick up.

- Quoi encore? Tu n'en n'a pas assez fait comme ça? demanda-t-elle

- Monte.

- Mais tu penses vraiment que je vais encore monter après ce que tu m'as dis? Sans même m'avoir expliqué quoi que ce soit?

- Je t'ai dit monte.

Cette fois-ci, en lui demandant il l'a regarda dans les yeux. Ce qu'il n'avait pas fait depuis la fois où il l'avait ouvertement insulté.

Finalement elle monta tout de même, curieuse de voir ce qu'il avait à dire pour se défendre. Il démarra et avant qu'elle ne parle il commença:

- Alors oui je sais ce que tu vas dire. « Mais Rafe franchement j'hallucine, qu'est-ce qui t'a prit? Et puis depuis quand tu prends cette merde? Et oui aussi t'a pas un nouveau polo car il te va vachement bien!? »

- Tu te fout de moi en plus de ça?

- Ah merde j'avais oublié de prévoir cette phrase sur mon discours.

Florence encore une fois agacée prête à ouvrir la poignée pour partir, Rafe continua:

- Plus sérieusement, oui je sais je suis un connard depuis le début avec toi, et oui je sais que hier tu m'as sauvé la vie et que je t'ai remballé comme une merde. Cela confirme que dans l'histoire, c'est moi le petit con et que je mériterai des baffes. Enfin, le fait pas vraiment. Mais en tout cas de je suis désolé.

- Ah oui tu es désolé? Pas croyable.

- Ok, je m'excuse tu as gagné.

- Non je te crois pas Rafe. Tous tes actes ne sont pas stable, un moment je crois parler au vrai Rafe Cameron, celui qui a un coeur qui est sympa par moment. Puis la seconde d'après revient l'autre Rafe, qui n'est plus du tout le même et que je n'aime particulièrement pas.

- Car tu en aimes un maintenant?

- J'ai pas dit ça.

-Tout ça c'est compliqué..

- Mais qu'est-ce qui peut être si compliqué Rafe!?

- Mais par ce que même moi je ne me reconnais pas! Normalement je suis Rafe le petit con mais je sais pas avec toi c'est bizzare, c'est parfois différent car j'ai envie de changer. C'est parce que tu me rends fou Florence, tu me rends fou.

Sur ces mots elle se stoppa net, et non pas qu'au sens figuré. Les deux étaient stoppés, et ne disaient plus un mot. C'était le temps de quelques secondes mais qui paraissaient interminables.

Aussitôt le blond regretta son choix, puis finalement non il devait le dire. Il se força à s'assurer que oui. Et après tout c'était Rafe Cameron non? Alors il prit les devant, avec celle qui était bouche-bée de son annonce, celle qui pensait qu'il l'a détestait de toute son âme, et posa ses douces lèvres contre les siennes, passant d'un simple baisé en un plus passionné.

Elle n'en cru pas un geste, elle resta encore une fois figée. Pas qu'elle n'apprécie pas le fait de ce qu'il avait dit mais plutôt car elle ne savait pas où elle en était.

- Je suis désolée. annonça-t-elle avant de descendre en vitesse de la voiture

- Florence attends!

tentation - rafe cameron (obx)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant